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André Gorz

André Gorz
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Un autre monde est possible selon André Gorz (et le logiciel libre) Avant de se donner la mort en septembre 2007, le philosophe et journaliste André Gorz a transmis un dernier texte à la revue EcoRev’, qu’il avait parrainée lors de sa création, intitulé « La sortie du capitalisme a déjà commencé ». Nous le reproduisons ici pour alimenter le débat, en rappelant que le sous-titre de ce blog stipule que « ce serait l’une des plus grandes opportunités manquées de notre époque si le logiciel libre ne libérait rien d’autre que du code ». Ce texte ayant fait l’objet d’une version remaniée, nous avons choisi de mettre en ligne l’un après l’autre les deux articles, qui bien que très proches, offrent tout de même d’intéressantes nuances. Extrait de la version remaniée : Extrait de la version originale : Pourtant une tout autre voie de sortie s’ébauche. Un texte qui pour certains a valeur de référence et que nous souhaitions vous faire partager. Non seulement André Gorz[1] La sortie du capitalisme a déjà commencé (version 2) URL d’origine du document

Jacques Ellul Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Jacques Ellul dans sa maison à Pessac, en 1990. Jacques Ellul (né le à Bordeaux et mort le à Pessac) est un professeur d'histoire du droit, sociologue, théologien protestant et libertaire[1] français. Surtout connu comme penseur de la technique et de l'aliénation au XXe siècle, il est l’auteur d’une soixantaine de livres (la plupart traduits à l’étranger, notamment aux États-Unis et en Corée du Sud) et de plusieurs centaines d’articles. Ayant adopté comme devise « exister, c’est résister »[4], il disait lui-même de son œuvre qu'elle est entièrement centrée sur la notion de liberté[5] : « plus le pouvoir de l'État et de la bureaucratie augmente, plus l'affirmation de l'anarchie est nécessaire, seule et dernière défense de l'individu, c'est-à-dire de l'homme »[6]. Biographie[modifier | modifier le code] Origines familiales et jeunesse[modifier | modifier le code] Il réussit le concours d’agrégation de droit romain et d’histoire du droit en 1943.

Penser la sortie du capitalisme avec André Gorz Alors que « nous semblons attendre misérablement de l’avenir qu’il nous restitue le passé», nous devrions plutôt « rompre avec cette société qui meurt et qui ne renaîtra plus »: telle était la certitude du philosophe, disparu il y a tout juste cinq ans, rappellent Christophe Fourel , auteur d'André Gorz, un penseur pour le XXIème siècle, et Olivier Corpet (1). Il y a cinq ans, le lundi 24 septembre 2007, une dépêche de l’AFP annonçait en fin d’après midi que le philosophe André Gorz s’était suicidé en compagnie de sa femme. La nouvelle était presque passée inaperçue, même si le suicide d’un couple “ main dans la main ” n’est pas chose banale. Ce qui l’était encore moins, c’est qu’André Gorz avait eu la délicatesse de laisser entrevoir cette issue à ses lecteurs un an auparavant. « Nous aimerions chacun ne pas avoir à survivre à la mort de l’autre », écrivait-il à l’automne 2006 dans Lettre à D. (éd. Or, il est fondamental de revenir sur l’œuvre d’André Gorz aujourd’hui.

Edmund Burke Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Edmund Burke Philosophe irlandais XVIIIe siècle Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse[modifier | modifier le code] En 1747, il crée un club d'étudiants (Edmund Burke's club), qui donne naissance par la suite à la College Historical Society ; celle-ci existe toujours, et est considérée comme la plus ancienne association d'étudiants au monde. En 1756, il montre une certaine aversion à l'égard de l'idéologie des Lumières, et publie la même année un Coup d'œil sur les maux qu'a produits la civilisation ; les avis au sujet de cet ouvrage anonyme sont partagés : certains y voient une parodie de la manière d'argumenter de Lord Bolingbroke, d'autres le considèrent comme une approche de l'anarchisme philosophique. Carrière politique[modifier | modifier le code] En 1765, il devient le secrétaire particulier et l'ami du marquis de Rockingham, premier lord de la Trésorerie. Il est initié franc-maçon dans la loge Jérusalem 44 en 1769[2],[3].

Leur écologie et la nôtre, par André Gorz Evoquer l’écologie, c’est comme parler du suffrage universel et du repos du dimanche : dans un premier temps, tous les bourgeois et tous les partisans de l’ordre vous disent que vous voulez leur ruine, le triomphe de l’anarchie et de l’obscurantisme. Puis, dans un deuxième temps, quand la force des choses et la pression populaire deviennent irrésistibles, on vous accorde ce qu’on vous refusait hier et, fondamentalement, rien ne change. La prise en compte des exigences écologiques conserve beaucoup d’adversaires dans le patronat. Mais elle a déjà assez de partisans capitalistes pour que son acceptation par les puissances d’argent devienne une probabilité sérieuse. Alors mieux vaut, dès à présent, ne pas jouer à cache-cache : la lutte écologique n’est pas une fin en soi, c’est une étape. C’est pourquoi il faut d’emblée poser la question franchement : que voulons-nous ? Il vaut mieux tenter de définir, dès le départ, pour quoi on lutte et pas seulement contre quoi.

Richard Dawkins Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Dawkins. Il acquiert la consécration avec son livre de 1976 intitulé The Selfish Gene (en français : Le Gène égoïste), qui popularise la théorie de l'évolution centrée sur les gènes et introduit le terme de « mème ». Il est reconnu comme un ardent défenseur du rationalisme, de la pensée scientifique et de l'athéisme. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse et éducation[modifier | modifier le code] Richard Dawkins est né le 26 mars 1941 à Nairobi, au Kenya. Adolescent, il arrive à la conclusion que la biologie évolutive est une meilleure explication à la complexité de la vie, et devient athée[2],[3]. Dawkins fait ses études à l'Oundle School dans le Northamptonshire de 1954 à 1959, puis au Balliol College à l'université d'Oxford, où il étudie la zoologie avec pour tuteur le lauréat du prix Nobel de médecine spécialiste d'éthologie Nikolaas Tinbergen. Carrière académique[modifier | modifier le code]

Le philosophe André Gorz et sa femme unis jusque dans la mort | Rue89 Culture Dorine et André Gorz en 1947, devant l’usine de Billancourt (Suzi Pillet). Il avait dit de sa « Lettre à D. » qu’elle serait son oeuvre ultime. Ce lundi, André Gorz, 84 ans, et sa femme Dorine, 83 ans, se sont donnés la mort. Dans le milieu très sérieux de la pensée, André Gorz avait, il y a quelques mois, ému ses pairs. Le critique du capitalisme, l’existentialiste marxiste rendait hommage à sa femme malade dans des lignes amoureuses rares de justesse et de beauté. La sachant condamnée, l’amoureux fou avait pris sa plume pour lui dire combien il l’aimait, combien il regrettait de l’avoir négligée, combien il la trouvait belle. « Il fallait aussi que notre amour soit ’aussi’ un pacte pour la vie. Ayant tout quitté pour rester auprès d’elle, André Gorz était heureux. « C’est cela : la passion amoureuse est une manière d’entrer en résonance avec l’autre, corps et âme, et avec lui ou elle seuls.

Carlo Rovelli Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Carlo Rovelli, né en 1956 à Vérone en Italie, est un physicien italien spécialisé en gravité quantique. Biographie[modifier | modifier le code] Carlo Rovelli, le 6 août 2005 Carlo Rovelli a obtenu son doctorat en physique à l'Université de Padoue en Italie (1986). Il a travaillé en Italie, aux États-Unis et en France. En 1988, Carlo Rovelli et Lee Smolin ont présenté la gravitation quantique à boucles. En 1994, il a présenté une interprétation relationnelle de la mécanique quantique, basée sur l'idée que tous les états quantiques dépendent de l'observateur. Avec Alain Connes, il a formulé un modèle covariant de la théorie quantique des champs, basé sur l'hypothèse du « temps thermique ». Rovelli a aussi travaillé sur l'histoire et la philosophie de la science. En 1995, Rovelli a reçu l'International Xanthopoulos Award pour ses contributions à la physique théorique. Ouvrages[modifier | modifier le code] traductions = Qu'est-ce que le temps?

Andre Gorz, sortir du capitalisme (2 Penseur de l’écologie politique, André Gorz n’a eu de cesse de poser les fondamentaux de la place du travail et de l’individu dans le monde capitaliste. Et si, bien sûr, Gorz n’a pas inventé l’écologie, il lui a donné sa dimension politique dans « Ecologie et politique », un recueil de textes paru en 1975. Comme aujourd’hui, sur les questions du nucléaire, du gaz de schiste, de l’industrie automobile et chimique, André Gorz pose la question de « leur écologie et la nôtre ». En clair, le philosophe se positionne contre l’écologie de marché et en opposition frontale à cette sphère aussi restreinte que néfaste, celle qu’il nomme « l’expertocratie verte ». Aujourd’hui, deuxième volet de cet entretien de Daniel Mermet avec Christophe Fourel à partir d’archives de l’émission « A voix nue » (France Culture, 1991). Où comment comprendre et mettre en œuvre une écologie émancipatrice et clairement anti-capitaliste. Là-bas si j’y suis. A l’agenda :

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