Intéressé par un projet à Marseille ? Bonjour, Dans un ancien cloître situé dans le XIIIème arrondissement de Marseille, nous avons la possibilité de créer un pôle dédié à l'entrepreneuriat social à Marseille. Compte tenu du site, nous avons pensé à un lieu où les acteurs de l'agriculture et l'alimentation durable seront privilégiés, -avec un pôle de restauration- mais aussi des espaces de coworking, des bureaux, des ateliers, pour permettre à chacun de développer son activité dans les meilleures conditions possibles, riches de nos synergies. Notre enjeu principal est de permettre le développement de projets économiques qui mettent les personnes au cœur de la démarche. En coconstruction avec des acteurs emblématiques - Fondation des Apprentis d'Auteuil, Ashoka, ETIC... - le projet a donc pour objectif d'apporter des solutions concrètes pour une économie plus juste et plus consciente de son écosystème. Vos retours sont essentiels !
Collectif Soutien Migrants 13 / El Manba - Home L'ESS, béquille du capitalisme Bruno Frère est docteur en sociologie, chercheur qualifié du FNRS à l’Université de Liège, chercheur associé au Groupe de sociologie politique et morale (EHESS) et au Centre de Recherche et d’Information pour la Démocratie et l’Autonomie (CNAM). Il est l’auteur du "Nouvel esprit solidaire" (Desclée de Brouwer, 2009) et de l’ouvrage à venir "L’ESS, béquille du capitalisme ?" (Textuel, 2011) Dans quelle mesure l’économie solidaire plonge ses racines profondes dans les mouvements et les pensées révolutionnaires libertaires du milieu du XIXe siècle ? La question est très vaste. Économie sociale, économie solidaire, social business quelles différences selon vous ? Aujourd’hui nous sommes plusieurs à ne plus vouloir opposer économie sociale et économie solidaire (sauf naturellement lorsque l’on persiste à appeler économie sociale des banques tellement institutionnalisées et capitalisées qu’elles n’ont plus rien d’alternatif). Il y a deux questions dans cette question.
Les sociétés coopératives d’intérêt collectif (Scic) La particularité du statut Scic est de permettre l'association de divers acteurs autour d'un même projet de production économique et de production d'intérêt collectif. Cette forme de société coopérative peut être particulièrement intéressante pour des projets répondant à des besoins collectifs d'un territoire donné ou d'une filière d'activité donnée. Elle favorise en effet la meilleure mobilisation possible des ressources économiques et des compétences sociales présentes sur tel territoire ou dans telle filière. Sur les 117 Scic agréées depuis 2002, 103 sont en activité au 30 juin 2007. Les principales caractéristiques d'une Scic Le multisociétariat Le partenariat avec les collectivités locales Une ou plusieurs collectivités publiques peuvent entrer au capital de la Scic par accord contractuel (l'ensemble des collectivités territoriales ne peut détenir plus de 20 % du capital). Les principes coopératifs Le pouvoir L'agrément préfectoral Contact : 01 40 56 62 02 Des réseaux spécialisés
10projets-climat.edf Le dispositif « 10 projets pour le climat » vise à mettre en lumière et récompenser 10 projets innovants ayant un impact positif sur le climat. Pour commencer, voici plusieurs questions qui vous permettront de savoir si votre projet est éligible à cet appel à projets. Pour préparer votre candidature, n'hésitez pas à télécharger le guide d'inscription. Choisissez vos identifiants de connexion Champs requis Email invalide Vous avez déjà candidaté, merci de vous connecter Votre mot de passe doit :contenir au minimum 8 caractèrescontenir au moins une lettrecontenir au moins un chiffre Mot de passe requis Les mots de passe sont différents Concernant l'organisme Concernant le projet Merci de votre participation ! Nous avons bien pris en compte votre candidature. L’équipe en charge de l’analyse de votre dossier reviendra vers vous courant octobre pour vous informer des suites données à votre candidature. Encore merci ! A très bientôt, L’équipe [10 projets pour le climat] Précédent Enregistrer
The big mistake nearly every designer makes. And quite honestly, it’s not a mistake that is unique to the design profession. I’m guilty of it myself, and I see it all the time with very talented designers… If there is one change that you could make right now that will make the world of difference in your business, it’s this: Leave more margin. I stumbled upon the concept of margin while reading a post by Michael Hyatt, which led me to design my ideal week. Richard Swenson, M.D. “Margin is the space between our load and our limits. Margin is the opposite of overload. Last year I wrote about why booking too far in advance can be dangerous for your business, and this concept of margin so eloquently captures what I had recognized had been my problem: I was so booked up with clients that I wasn’t leaving any margin for error, growth, planning, or reflection. What if instead of booking up to 100% capacity (which more often than not ends up being closer to 120%), we only booked up to an 80% capacity? Write a book. But here’s the thing:
Il était une fois l’économie sociale et l’entrepreneuriat social C’est l’histoire de deux concepts: l’économie sociale et l’entrepreneuriat social. Souhaitable pour certains, imbuvable pour d’autres, leur aventure partagée depuis peu n’a en tout cas pas fini de faire couler de l’encre. Prenons cela comme un conte pour très grands enfants. Un conte compliqué, fait de rebondissements et de personnages complexes, aux contours parfois nébuleux. Au début, il y avait l’économie sociale. Une fois cela fait, l’économie sociale se trouva bien. Insécurité sémantique, es-tu là? Mais le conte n’est pas facile. Pourtant, si l’on veut généraliser, il est clair que l’entrepreneuriat social se situe plus du côté… entrepreneurial que l’économie sociale des débuts. Mouves, c’est le Mouvement des entrepreneurs sociaux, créé en France en 2010. © Lucie Castel Le «social business», cet épouvantail «L’entrepreneuriat social en tant que pensée n’est pas de l’économie sociale.» Il n’empêche, la naissance de Mouves a fait beaucoup de bruit en France. «Sortez de France»
La start-up du jour : Goodeed, quand les internautes font des dons sans dépenser d'argent La startup du jour Chaque jour, Frenchweb met en avant une jeune entreprise en croissance pour découvrir sa stratégie et ses objectifs de développement. Vous avez fondé une société en croissance? Faites vous connaître! Frenchweb vous propose aujourd’hui de découvrir Goodeed, une start-up fondée en février par Vincent Touboul Flachaire, Théophile Thiery et Shao-Yun Tang. Frenchweb : Comment avez-vous eu l’idée de votre société ? Romain Wu (fondateur ) : En prenant conscience de l’apport phénoménal que pouvait apporter le web au monde humanitaire. A quel besoin apportez-vous une réponse ? Nous permettons à n’importe qui d’effectuer des dons. Très simplement, comment gagnez-vous de l’argent ? Nous reversons 100% des revenus générés par les spots publicitaires. Qui sont vos compétiteurs ? Goodeed propose des services beaucoup plus diversifiés, une nouvelle expérience publicitaire à une audience avertie et active dans leur démarche, tout ça en finançant des dons. Goodeed : les données clés