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Formation : Pourquoi la place du concours ne peut être pour partie en M1 et pour partie en M2

Formation : Pourquoi la place du concours ne peut être pour partie en M1 et pour partie en M2
Pour le Groupe Reconstruire la Formation des enseignants (GRFDE), la formation à cheval sur la fin de M1 (admissibilité) et la fin de M2 (admission), telle qu'elle est proposée pour le concours de juin 2013 par le ministre, n'est pas souhaitable. Le GRFDE, qui regroupe de grands noms de la recherche, comme E Bautier, P Rayou, P Meirieu, JY Rochex, R Brissiaud, R Goigoux, F Dubet ou encore A Ouzoulias, craint que l'initiation à la recherche soit sacrifiée sans que pour autant la formation professionnelle soit de bon niveau. Le GRFDE demande que le concours soit installé au niveau L3 et soit suivi de 2 années de formation aboutissant à la délivrance d'un master. Le ministre de l’Éducation nationale, Vincent Peillon, a annoncé qu’une deuxième session de concours serait ouverte en 2013. Les épreuves écrites d’admissibilité auront lieu en juin 2013 et seront ouvertes aux étudiants de Master 1 au moins. Il n’est pas souhaitable pour de multiples raisons Liens : Le site du GRFDE Sur le Café

Formation : Le concours en fin de M1 Les concours de recrutement des enseignants auront lieu en fin de M1. C'est le cadre que Vincent Peillon a présenté aux syndicats le 16 octobre. Comment assurer une formation professionnelle dans ces conditions ? Le ministre a présenté les nouvelles Ecoles supérieures (ESPE) qui remplaceront dès la rentrée 2013 les IUFM. Les concours de recrutement auront lieu en fin de M1. Sur ce schéma les avis divergent. Pour le ministère, avancer le concours en fin de M1 a l'avantage d'augmenter le vivier potentiel de candidats. François Jarraud

Concours de recrutement des enseignants pour la rentrée 2014 : les réponses à vos questions Télécharger l'infographie au format PDF En quoi la prochaine session de concours est-elle de nature exceptionnelle ? Cette session est exceptionnelle car elle débute de manière anticipée par rapport aux dates habituelles des concours. Ainsi, les inscriptions aux concours 2014 sont ouvertes du 15 janvier au 21 février 2013, au lieu de juin-juillet traditionnellement.Les épreuves d’admissibilité se dérouleront, pour l’ensemble des concours hors les agrégations, en juin 2013, et non pas à l’automne 2013.Les épreuves d’admission se tiendront en juin 2014, au terme d’une année où seront proposés aux étudiants ayant été déclarés admissibles des contrats leur permettant d’effectuer des stages en responsabilité sous la forme d’un tiers-temps de service d’enseignement et rémunérés à hauteur d’un mi-temps. Pour pourvoir les postes à la rentrée 2014, y aura-t-il, en plus de la session 2014, une session de concours aux dates habituelles ? Le rythme d’une session de recrutement par an est maintenu.

Sujets des épreuves écrites et rapports des jurys des concours de recrutement de professeurs des écoles Sujets des épreuves écrites Rappel des trois groupements académiques : Groupement 1 : académies d'Amiens, Caen, Lille, Nancy-Metz, Reims, Rennes, La Réunion, Rouen, Strasbourg, Paris, Créteil, VersaillesGroupement 2 : académies d'Aix-Marseille, Besançon, Bordeaux, Clermont-Ferrand, Corse, Dijon, Grenoble, Limoges, Lyon, Montpellier, Nantes, Nice, Orléans-Tours, Poitiers, ToulouseGroupement 3 : académies de Guadeloupe, Guyane, Martinique Session 2015 Première épreuve d'admissibilité : français Sujet de la première épreuve écrite d'admissibilité du groupement académique 1 Sujet du groupement académique 1 Sujet de la première épreuve écrite d'admissibilité du groupement académique 2 Sujet du groupement académique 2 Sujet de la première épreuve écrite d'admissibilité du groupement académique 3 Sujet du groupement académique 3 Deuxième épreuve d'admissibilité : mathématiques Sujet de la deuxième épreuve écrite d'admissibilité du groupement académique 1 Sujet du groupement académique 1 Session 2014

COMPETICE Dans son modèle de compréhension pédagogique, Jean Houssaye définit tout acte pédagogique comme l’espace entre trois sommets d’un triangle : l’enseignant, l’étudiant, le savoir. Derrière le savoir se cache le contenu de la formation : la matière, le programme à enseigner. L’enseignant est celui qui a quelques enjambées d’avance sur celui qui apprend et qui transmet ou fait apprendre le savoir. Quant à l’étudiant, il acquiert le savoir grâce à une situation pédagogique, mais ce savoir peut être aussi du savoir-faire, du savoir-être, du savoir agir, du faire savoir… Les côtés du triangle sont les relations nécessaires à cet acte pédagogique : la relation didactique est le rapport qu’entretient l’enseignant avec le savoir et qui lui permet d’ENSEIGNER, la relation pédagogique est le rapport qu’entretient l’enseignant avec l’étudiant et qui permet le processus FORMER, enfin la relation d’apprentissage est le rapport que l’élève va construire avec le savoir dans sa démarche pour APPRENDRE.

Les secrets de l’éducation à la finlandaise : chaque élève est important | Kaizen magazine Depuis plus de dix ans le système éducatif finlandais fait figure de modèle en Europe et plus largement dans les pays occidentaux. Ce petit pays a obtenu des résultats faramineux aux évaluations internationales PISA[1] menées par l’OCDE (2ème mondial en Sciences, 3ème en lecture et 6ème en mathématiques en 2009, loin devant tous les pays occidentaux). Pour comprendre ce phénomène, Paul Robert, principal de collège dans le Gard, a participé à deux voyages d’étude en Finlande. Chaque élève est important Il y aurait beaucoup à dire sur le modèle finlandais, ses pratiques, sa structure et ses modes d’évaluation, mais ce qui fait le secret de son étonnante réussite réside peut être dans le choix du pays de replacer l’élève, et non les savoirs, au cœur du système scolaire. Pour cela tout un modèle s’est progressivement construit, réforme après réforme. Une structure d’apprentissage « comme à la maison » Des rythmes d’apprentissage adaptés Plus d’encadrants pour le même budget

Les grands pédagogues Passez votre souris sur l'image ci-dessous pour en savoir plus... Philippe Meirieu - Méthodes actives et pédagogie différenciée, l’éthique au cœur de la pédagogie. Cliquez pour en savoir plus Fernand Deligny - Regard critique sur la manière qu’a la société de traiter ses « enfants différents ». Cliquez pour en savoir plus Gisèle de Failly - L’éducation nouvelle dans la formation culturelle et pédagogique de tous les éducateurs. Roger Cousinet - Mise au point d’une méthode de «travail libre par groupe» annonçant la pédagogie de projet. Maria Montessori - La première à avoir souhaité que l’environnement éducatif s’adapte aux enfants. Fernand Oury - L’influence des pédagogies institutionnelles sur la parole de l’enfant. Francine Best - Pédagogie de l’éveil, projet d’activité dans tous les champs de l’éducation. Henri Wallon - L’importance du milieu dans l’éducation de l’enfant. Célestin Freinet - « Tâtonnement expérimental », travail individualisé et autonome de l’enfant-elève.

Si les profs pouvaient... | Stéphane Laporte | Stéphane Laporte Le professeur arrive, les élèves l'analysent. Ils le scannent de la tête aux pieds. Sa démarche, son habillement, ses cheveux, son poil aux oreilles, son manucure, ses mèches, son parfum, son accent, ses tics. Ils n'ont que ça à faire. Je me demande à quel point les profs sont conscients que l'école c'est eux. Mais on ne devient pas cuisinier si on n'aime pas manger. Combien d'heures j'ai passé à dessiner des bonshommes dans mon cahier parce que le prof lisait ses notes sans lever les yeux. Si j'aime autant écrire, c'est beaucoup à cause de Mme Lamoureux au primaire, M. Et il n'y a qu'une seule façon de le faire. Le Québec est le royaume du décrochage. C'est sûrement la plus noble des tâches. Si c'est le devoir des profs de stimuler leurs élèves, c'est le devoir de la société de stimuler les professeurs. Un professeur peut changer la vie de quelqu'un. C'est en aidant les professeurs à être meilleurs que les élèves le seront.

Portail IFP Lille Xavier Albanel, sociologue : «Evaluer les enseignants n’est pas une priorité. Ils ont besoin d’un accompagnement pédagogique» Propos recueillis par Isabelle Maradan | Publié le , mis à jour le Vous avez suivi les inspecteurs dans leur travail d’évaluation des enseignants dans le cadre de votre thèse de doctorat. Diriez-vous que l’inspection est aujourd’hui satisfaisante ? Le double rôle de l’inspecteur biaise tout. Les enseignants feraient-ils davantage confiance à un chef d’établissement, qui les connait mieux qu’un inspecteur, pour les évaluer - comme le prévoient les projets d'arrêté et de décret publié le 15 novembre dernier par le Café pédagogique ? Aujourd’hui l’avis du chef d’établissement compte. Ce n’est donc pas l’idée de réformer l’évaluation des enseignants mais la réforme proposée qui vous semble inappropriée… Les objectifs de l’évaluation sont aujourd’hui partiellement remplis, mais la réforme envisagée ne les amélioreraient en rien, surtout s’ils restent les mêmes. S’il ne vise pas une amélioration de l’évaluation des enseignants, quelle lecture faites-vous de ce projet ? Le projet est assez flou.

Légitimité des discours sur l’école, quelle place pour la parole des enseignants Tout un chacun a quelque chose à dire sur l’école. Pour la plupart ces propos relèvent de l’opinion et ne sont que rarement influencés par la parole experte et le discours scientifique. Cette situation porte préjudice à l’école, quelle est la part des enseignants dans cette situation? Car, c’est une autre constante des débats sur l’école, il y a en France, 62 millions de spécialistes de l’École. Tout le monde a une opinion sur l’école, point que notre vénérable institution partage avec Facebook. Pourquoi en est-il ainsi? Cela fait-il de nous des experts, comme le demande Philippe Watrelot ? Avouons qu’il n’y en a pas. Mais l’image des enseignants, à la différence de celle des plombiers, n’est pas bonne. Le malaise s’aggrave d’une crise d’identité qui ne touche pas seulement la profession mais sa raison sociale elle-même. C’est ainsi que lentement l’éducation dérive à l’écart du monde et de la modernité. Comment (r)établir la parole de l’enseignant dans sa dimension d’expertise?

Que disent les recherches sur l'"effet enseignant" ? (Note d'analyse 232 - Juillet 2011 En tenant compte de l'influence des autres variables explicatives, notamment le niveau initial et la catégorie professionnelle des parents, 10 % à 15 % des écarts de résultats constatés en fin d’année entre élèves s’expliquent par l’enseignant auquel l’enfant a été confié. Ces études livrent d’autres résultats intéressants : l’ampleur de l’“effet enseignant” est supérieure à celle de l’“effet établissement” : le professeur a davantage de poids sur la progression des élèves au cours d’une année donnée que l’établissement dans lequel ces derniers sont scolarisés ;la portée d’une augmentation de l’efficacité pédagogique d’un enseignant est aussi potentiellement supérieure à celle d’une diminution de la taille des classes ;l’effet de l’enseignant qu’a eu un élève une année donnée s’estompe assez vite une fois que l’élève change d’enseignant ; mais les impacts des enseignants successifs peuvent se cumuler. Au sommaire :

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