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Manger 100% bio avec 10€ par jour, c'est possible

Manger 100% bio avec 10€ par jour, c'est possible
nature morte bio (Photo JH) Par jeu, nous avons tenté l’expérience pendant une semaine, histoire de voir si l’on trouve à Strasbourg tout ce qu’il faut pour se nourrir exclusivement avec des produits issus de l’agriculture biologique labellisés AB, Demeter ou UE . Et pour corser le tout, avec le budget alimentation moyen du tiers des ménages français les plus modestes : soit environ 10€ par jour. 10 euros par jour pour manger à deux un petit déjeuner et deux repas, ça ne fait pas lourd même en se nourrissant de produits dits conventionnels. Des courses un peu plus longues Avec un budget aussi ric-rac il fallait faire du shopping malin et tenter de trouver les produits les moins chers. On s’est approvisionnés dans 14 points de ventes différents. 2 magasins spécialisés : Le Serpent Vert, la Maison Vitale3 marchés : Neudorf, Montagne Verte et Kehl.6 enseignes de la grande distribution : Monoprix, Simply, Leclerc, Edeka, DM, Coop2 hard discounters : Pennymarkt, Lidl.1 boulangerie : Dolder Related:  Vivre sans argent?

Quand les magasins gratuits font commerce du don La crise économique et la prise de conscience sur la nécessité du recyclage et de la réduction des déchets ont favorisé le développement d’un nouveau système économique : celui du don. Face à ce constat, de nombreux magasins gratuits s’engouffrent dans la brèche et font commerce de vos dons. Enquête sur le phénomène. Des magasins qui font commerce de ce que vous leur donnez Les magasins gratuits, qui font commerce de vos dons, ne sont pas nouveaux mais sont en pleine renaissance. Cependant, ils connaissent un développement et une croissance continue. Mais face aux traditionnels « piliers », de nouveaux acteurs font leur apparition. Les magasins gratuits, comment ça marche ? L’idée est simple : venez et servez-vous! Oxfam France, des dons pour un monde plus juste (link is external)Oxfam est une ONG qui mobilise le pouvoir citoyen contre la pauvreté. ConsoGlobe – Vous faites commerce du don d’objets que vous font les gens : que vous rapporte ce nouveau genre de « commerce » ?

Dégustation de BonSens, Incredible Edible #StopGaspillage #DBS Dégustation de BonSens, Incredible Edible #StopGaspillage #OccupyBelgium et les mouvements Indignés du monde entier appellent à la RESISTANCE. Nous vous invitons à rejoindre nos actions pour la Liberté, l'Égalité, la Paix, la Justice et la Réelle Démocratie à travers le monde.

En Suisse, des stickers sur la boite aux lettres indiquent les objets que l’on veut bien prêter « Nous sommes partis du constat qu’il y a souvent en ville une certaine gêne à oser sonner chez ses voisins lorsqu’on requiert leur aide, » explique Sabine Hirsig. Elle est l’une des quatre jeunes créateurs à l’origine du projet Pumpipumpe (à prononcer « poumpipoumpé ») né à Berne en Suisse. Le principe est simple : cette initiative invite à coller sur sa boîte aux lettres des stickers indiquant les objets que l’on veut bien à prêter à ses voisins. Le nom du projet Pumpipumpe vient du dialecte alémanique et peut se traduire par « prête moi ta pompe à vélo ». Pour en savoir plus : Springwise

Espace de Gratuité La tendance des villes autosuffisantes | Les incroyables à la Une Enquête sur un véritable phénomène de société : "La tendance des villes autosuffisantes" par le site du développement durable et de la nouvelle consommation consoGloble. Dernièrement, on note une envie croissante de la population à consommer local, à privilégier les circuits courts et à s’approvisionner en réduisant les distances. Dans son sillage, émerge une volonté – utopique ? – de développer des villes autosuffisantes. Alors, est-il vraiment possible pour une ville d’être auto-suffisante, voire en autarcie ? N’est-il pas vain de croire que l’on peut y arriver ? L’autosuffisance, c’est quoi ? La ville de Todmorden a pour objectif depuis 2008 de parvenir à l’autonomie alimentaire d’ici à 2018. Le terme revêt plusieurs aspects qu’il paraît important de détailler. Elle distingue les grandes approches économiques du point de vue de la dépendance – indépendance vis à vis des ressources vitales ou jugées stratégiques pour les individus ou la collectivité. Autosuffisance énergétique

Peut-on vivre sans argent? Cet homme l'a fait INSOLITE - "Je suis sur le point de pénétrer un monde qui m'est quasiment étranger et, pour la première fois, je me sens vulnérable". Et il y a de quoi. Car le monde que l'idéaliste Mark Boyle s'apprête à découvrir ne connait pas l'argent. Au lendemain de la crise des subprimes, cet Irlandais de 29 ans a fait un rêve, vivre les poches vides pendant un an. Hasard du calendrier, quelques jours plus tôt sortait un autre récit d'expérience tout aussi radicale. Lire aussi:» Psychologie : comment l'argent influence notre comportement » L'argent qui corrompt : comment la pression des marchés dégrade la morale Cette expérience, il la raconte depuis 14 ans sur son blog qu'il alimente depuis une bibliothèque municipale. Et c'est tout ce qui le différencie de Mark Boyle. Le moyen de cette déconnexion? Débrouille Le projet est donc autant économique que social. Grâce à un site de partage, il dégote gratuitement une caravane. L’ameublement continue. Premier constat: tout prend du temps.

A fond pour vivre sans un rond : cinq exemples à suivre Image: zooboing Alors que le concept de revenu universel ou "de base" fait progressivement des émules, certain(e)s décident d'aller encore plus loin et de vivre volontairement sans argent. Pourquoi ? Comment ? Réponses avec cinq parcours de vie en France comme à l'étranger. Heidemarie Schwermer, vit sans argent depuis 17 ans C'est en 1996 que cette ancienne institutrice allemande âgée aujourd'hui de 71 ans décide de se passer d'argent. Pour elle, l’argent éloigne de l’essentiel: se débarrasser du superflu permet un mode de vie plus sain et heureux. Vivre sans argent, c’est possible par Gentside Daniel Suelo, vit sans argent depuis près de 14 ans Couverture du livre de Mark Sundeen qui retrace la vie de Daniel Suelo L'américain Daniel Shellabarger vit sans argent depuis septembre 2000. Il vit de cueillette, de glanage, de dons et ne propose rien en retour. Reportage pour la BBC The American Who Quit Money To Live In A Cave from David Eckenrode on Vimeo. Anne-Sophie Novel / @SoAnn sur twitter

Ils ont choisi de vivre sans argent Réagissez : Partagez : Instrument d’aliénation pour les uns, clé du bonheur pour les autres, l’argent régit nos vies quelle que soit notre relation avec lui. C’est avec lui qu’on peut se loger, se nourrir, s’adonner à nos activités, élever nos enfants. C’est aussi lui qui nous permet de posséder des biens sans d’ailleurs parfois ou souvent en avoir réellement l’utilité. Pour ne pas donner raison à notre société de consommation en masse, certains optent pour la sobriété volontaire. Heidemarie Schwermer, une Allemande d’une soixantaine d’années a décidé il y a 15 ans de « tout plaquer ». Le déclic, Heidemarie l’a eut un peu plus de 20 ans en arrière lorsqu’elle a divorcé. Mais dans cette ville importante de l’ouest de l’Allemagne, elle a été frappée par le nombre de sans-abri. Heidemarie s’est aperçue que finalement, ce n’étaient pas les déshérités, ceux qui vivaient dans la rue, qui franchissaient la porte de sa boutique. Ai-je vraiment besoin de toutes mes possessions ?

Comment vivre sans argent : le témoignage de Pavlik Elf Pavlik Elf était développeur web pour le secteur du luxe, avec ses vacances en yacht, ses jets privés, ses clubs. En rupture avec son entreprise, il se fait licencier et décide de quitter le système monétaire. Vêtements, transports, nourriture : il récupère, profite de la solidarité des amis, expérimente d’autres modes de fonctionnement. Son sac à dos, c’est comme sa maison. Tout bascule il y a cinq ans environ. Toutes ces choses auxquelles il assiste chaque jour, le mettent profondément mal à l’aise... Et c’est le début de son aventure sans argent. Reportage réalisé par le site SideWays, web-série documentaire présentant des initiatives solidaires, positives et originales, qui sont « des idées pionnières ou bien des remèdes au système actuel, dans lequel de moins en moins de personnes se retrouvent », expliquent les initiateurs du projet, Hélène Legay et Benoit Cassegrain de l’association Contre-courant. Pour en savoir plus : le site de SideWays.

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