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The Principles

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La France recycle 52% de ses vieux papiers Ecofolio organise et finance en France la collecte et le recyclage des papiers. L'Etat lui a assigné un objectif de 55% de papiers recyclés pour 2016. Avec un taux de recyclage de 52% en 2014, l'éco-organisme se rapproche significativement de son but. Ce chiffre, explique l'entité, est le fruit des investissements des collectivités, opérateurs, et de tous les acteurs de la filière papier, dont les habitants. Les Français, explique Géraldine Poivert, la directrice générale de l'éco-organisme, "ont compris l'importance de trier leurs papiers, tant pour l'économie que pour l'environnement". Les campagnes d'information et de sensibilisation au geste de tri que l'éco-organisme mène depuis quatre ans "sont porteuses de résultats". A l'horizon 2025-2030, Ecofolio ambitionne d'atteindre les scores des voisins européens, "parmi lesquels l'Allemagne qui atteint un taux de recyclage de papier de 75%", précise l'éco-organisme.

La collecte des papiers de bureau : le chaînon-manquant Avec un taux de collecte assez faible, les papiers de bureau sont un gisement de déchets sous exploité. Pourtant, leur qualité attire les convoitises des recycleurs. A l'heure de l'économie circulaire, il est grand temps de fermer la boucle. Chaque année en France, un employé de bureau consomme 70 à 85 kg de papier. Pourtant ce gisement constitue une véritable mine de fibres de papier de qualité qui attire les convoitises. La société Le Petit Plus en a fait l'une de ses activités. Ce site de recyclage ne s'approvisionne qu'en papiers de bureau afin de pouvoir fabriquer du papier recyclé de haute qualité (usage graphique). Malgré une source de qualité, un blanchissement des fibres reste toutefois nécessaire.

« Les monnaies locales peuvent encourager la transition énergétique Le sol-violette à Toulouse, la Pêche à Montreuil (Seine-Saint-Denis), l’Eusko au Pays Basque… Une trentaine de monnaies locales complémentaires ont fait leur trou en France. Le principe est simple : on troque ses euros pour des espèces sonnantes et locales à dépenser dans les commerces de proximité. Selon le rapport remis le 8 avril à Carole Delga, secrétaire d’Etat chargée du Commerce, de l’Artisanat, de la Consommation et de l’Economie sociale et solidaire, ces monnaies pourraient permettre une « nouvelle prospérité ». Et si cette prospérité était aussi écologique ? A quelques mois de la COP21, les rapporteurs ont juxtaposé les contributions de deux économistes, Michel Aglietta et Jérôme Blanc, pour mettre en lumière la capacité des monnaies locales à favoriser la transition écologique. Terra eco : Votre proposition réconcilie monnaie et développement durable. Pourquoi avoir choisi les monnaies locales pour proposer une application de cette idée ? A lire aussi sur Terraeco.net :

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