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La finance participative est dans la place

La finance participative est dans la place
Etant par monts et par vaux ces temps-ci afin de parler CoRévolution, je peux vous assurer que ça bouge dans les territoires : en ces temps de crises, un vent de changement et d'enthousiasme souffle chez les acteurs de l'économie collaborative. Une preuve encore en ce jeudi 11 octobre avec le forum FinPart qui se tenait non loin de Limoges, à la Fondation La Borie, afin de promouvoir ces nouvelles formes de financement. Le B.A.BA de la finance participative Infographie du crowdfunding, réalisée par Julien Ledru et Pauline Le Gall - Avril 2012 Le crowdfunding (de "crowd", la foule) est un mécanisme de financement, via Internet, de projets d’innovation et de création permettant de collecter les apports financiers d’un grand nombre d’épargnants. Pour illustrer le propos, prenons quelques exemples : depuis 2007, le site MyMajorCompany vous donne la possibilité de soutenir des artistes et des projets culturels. Un mouvement de fond

Entre nous, le bonheur est dans le prêt Crédit: Colcanopa Voilà qui confirme ce que je vous racontais en octobre dernier : la finance participative est non seulement dans la place, mais elle est aussi en mesure de remplacer votre banquier ou de lui donner de bonnes idées. Preuve en est avec quelques plateformes lancées récemment ayant pour but de proposer de nouveaux types de financement à vos projets. Pour celles et ceux qui ne vous veulent que du bien Si les québécois préfèrent le terme de "socio-financement" à celui de crowdfunding, c'est bien parce que cela permet de redynamiser l'économie sociale et locale. A la différence de KissKissBankBank, où les donneurs sont remerciés par des contreparties non financières, Hello Merci repose sur une logique d'emprunt à taux zéro. Pour Vincent Ricordeau, "Hello Merci est le cousin de KissKissBankBank. La finance solidaire en bas de chez soi Autre tendance qui se développe depuis quelques mois : le financement participatif local de commerces physiques. C'est arrivé près de chez moi

Vers de nouveaux indicateurs pour mesurer la richesse | In Principo Qu'est-ce qu'une entreprise créatrice de valeur ? Plus simplement qu'est-ce qu'une entreprise riche ? Celle qui affiche le meilleur résultat financier pour ses seuls actionnaires ? Celle qui rémunère ses salariés et dirigeants plus que la moyenne du marché ? Celle qui crée le plus de valeur ajoutée ou qui emploie le maximum de salariés ? Celle qui dure, qui survit et essaime ou encore celle qui crée en permanence de nouveaux produits et services qui répondent à de nouveaux marchés ? Comprendre la nature de la richesse que l'on crée et plus profondément la nature de sa richesse réelle en tant qu'organisation dans son écosystème devient fondamental.Cette richesse s'inscrit-elle dans une dynamique durable pour soi, pour son écosystème et au-delà pour la planète ? Il se trouve que la notion de « Richesse » commence petit à petit à être repensée. Au sein des entreprises le sujet est traité jusqu’à présent sous l’angle de la prise en compte du capital immatériel.

Finance participative : pourquoi elle peine à émerger en France - Ouishare Entre vide juridique, conservatisme, protectionnisme des autorités monétaires et lobbyisme des acteurs traditionnels… la finance de demain peine à se développer en France… A tel point que les entrepreneurs du secteur unissent leurs forces pour tenter de sensibiliser les décideurs. Alors que la crise financière continue son bonhomme de chemin et que les perspectives pour l’économie mondiale s’assombrissent, la finance collaborative se développe en France et propose des alternatives aux méthodes financières traditionnelles. Du crédit entre particuliers à l’investissement collectif dans des startups, en passant par le micro-crédit solidaire ou le financement participatif, voici autant d’initiatives qui semblent montrer la voie pour la finance traditionnelle : plus de pouvoir aux citoyens, moins d’intermédiaires, et des pratiques plus responsables. Défier le monopole bancaire Les co-fondateurs de Prêt d’Union en savent quelque chose : cette autorisation n’est pas facile à obtenir.

Découvrir les sites du web : Nouveaux articles, promotions, emplois, évènements, Interviews - Costaud.net Antonin Léonard: 4 outils pour cultiver l'économie collaborative dans les territoires Les auteurs participeront au Forum de l'économie collaborative se tiendra à Cenon (33), les 4 et 5 juillet prochains. Programme et inscriptions gratuites ouvertes en ligne sur www.bordeaux-economie-collaborative.org/ Le premier forum de l'économie collaborative et des territoires soutenu par la Communauté urbaine de Bordeaux et le Conseil général de Gironde s'ouvre aujourd'hui. Cette économie émergente rassemble désormais de nombreux acteurs aux statuts variés, de la coopérative à la start-up en passant par l'entrepreneur indépendant, l'association et même certaines grandes entreprises. Nous sommes convaincus que les territoires qui cultiveront un terreau fertile pour cette économie collaborative seront plus résilients face aux crises et plus agiles face opportunités du monde qui nous entoure. 1- Créer une base de connaissances pour partager les "codes sources" de projets collaboratifs 2- Créer des incubateurs d'un nouveau genre pour des entrepreneurs collaboratifs Envoyer une correction

Vous êtes une école Lancer un club de troc dans votre école, un projet pédagogique vivant ! Le club de troc représente un lieu de vie et d’éducation clé et fédérateur pour les élèves et les enseignants. Il est un lieu de rencontres où l’on échange biens et services, sans argent. Il stimule la capacité d’entreprendre, l’expression des talents et des savoir-faire. Les objectifs COMPRENDRE : alphabétisation économiqueS’ENTRAIDER : coopération, partage et lien socialENTREPRENDRE : lancer son activité, devenir un entrepreneur socialETRE acteur du changement, favoriser des modes de consommation plus solidaires et plus respectueux de l’environnement Exemple : une boucle d’échanges dans une école primaire Pour en savoir plus :

Fiches pratiques Une infographie est une représentation visuelle et graphique d’informations et de données. Reprenant l’adage « une image vaut mieux que mille mots », elle permet à l’internaute de visualiser en un coup d’œil toutes les données relatives à un sujet. Les outils de création d’infographie sont accessibles à tous sur le web. On en a sélectionné cinq, parmi les plus utilisés, pour réaliser sa propre infographie. Une infographie, pour quoi faire ? C’est une manière innovante de communiquer sur une thématique. Elle peut avoir diverses utilités, vous pouvez par exemple présenter : L’histoire de votre association,La structure de votre association,Un compte-rendu sur une action, ou une campagne que vous avez menée etc. Cinq outils pour créer une infographieNotre liste d’outils à connaître, pour réaliser une infographie en toute simplicité. Infogr.am permet de créer des infographies et des diagrammes interactifs. Avantages Inconvénients Piktochart Inconvénients Easel.ly Visual.ly Many Eyes

Deux jours de forum sur l'économie collaborative ou l'économie de partage à Bordeaux société Prêts de voiture, échanges de logements, partages de connaissances en ligne, financements participatifs...La crise incite à aller vers de nouveaux modes de consommation. Anne-Sophie Novel, docteur en économie est l'invitée du 19/20 ce soir sur France 3 Aquitaine. Par CA Publié le 04/07/2013 | 15:07, mis à jour le 04/07/2013 | 18:15 Ce forum sera l'occasion d'analyser les tendances du secteur, son expansion et ses applications à l'échelle locale. "La crise économique et sociale que nous traversons est, au-delà, une crise de civilisation. Le socialisme du XXIème siècle "Elle peut être une source d'inspiration pour donner priorité à l'être sur l'avoir et plus largement pour prouver aux acteurs économiques que parier sur l'humain, c'est aussi faire le pari de la réussite", ajoute-t-il. Le poids de ce secteur du partage pourrait atteindre 3,5 milliards de dollars en 2013. Infos pratiques

Le crédit sans les banques débarque en France Alors que les banques, frileuses de prendre davantage de risque dans cette période d’incertitudes économiques, sont en train de couper depuis quelques mois déjà les robinets du crédit, voici une nouvelle forme de financement qui ne devrait pas connaître la crise : le crédit entre particuliers. Ce n’est pas parce que les banques ne veulent (ou ne peuvent) plus prêter qu’il n’y a pas, dans l’économie, des épargnants prêts à prendre des risques pour faire fructifier leur argent. De l’autre côté de la chaîne, ce n’est pas parce que les banques freinent le prêt aux particuliers que la demande de crédit, elle, n’existe plus. C’est même plutôt le contraire. A l’instar des autres secteurs de l’économie collaborative, le prêt d’argent entre particuliers est aujourd’hui permis grâce à Internet et à l’émergence des plateformes Peer-to-Peer. Ce nouveau secteur profite évidemment de la crise économique et financière. L’agrément de la Banque de France Investir dans l’économie réelle Pertes partagées

Les nouveaux financements de l’économie sociale et solidaire Malgré sa notoriété nouvelle et sa taille – environ 10 % du produit intérieur brut et 10 % des emplois – le secteur de l’économie sociale et solidaire a toujours du mal à intéresser les investisseurs. La structure capitalistique des acteurs – associations, coopératives, fondations, mutuelles – ne leur permet pas de faire des plus-values, ce qui fait hésiter les investisseurs. Le 31 mai dernier, le ministre en charge du secteur Benoît Hamon, avait annoncé la création de quatre dispositifs innovants, pilotés par la Banque publique d’investissement et la Caisse des dépôts. Mardi 2 juillet, lors d’une rencontre à Bercy, il en a précisé les contours, en compagnie de Nicolas Dufourcq, directeur général de BPI France et de Stéphane Keita, directeur du développement territorial de la Caisse des dépôts. Quatre grands dispositifs ont ainsi été présentés : – Création d’un Fonds d’innovation sociale. – Création du prêt participatif social et solidaire.

Le Blog d'Olivier Berruyer sur les crises actuelles Le crowdfunding peut-il remplacer les services publics ? Le financement participatif (crowfunding ou “financement par la foule”) est un marché en pleine expansion, expliquait le rapport de Crowdsourcing.org. Les 452 plateformes de financement participatif dénombrées dans le monde en avril 2012 ont récolté 1,1 milliard de dollars de fonds en 2011 pour les projets qu’elles accueillaient – dont plus de la moitié pour des projets hébergés par des plateformes européennes. Comme quoi, le modèle du financement participatif n’est pas un phénomène uniquement lié aux modes de financement anglo-saxons, que l’on dit traditionnellement plus sensibles au mécénat et à la prise de risque que l’Europe. Peut-être parce qu’en fait ce financement participatif fonctionne plutôt de plus en plus comme un système de prévente que comme un système de prise de risque ? Image : Répartition des 450 plateformes de crowfunding dans le monde selon le rapport de Crowdsourcing. Kickstarter en ses limites Le financement participatif : plateforme de services urbains ?

Menteurs, voleurs, tricheurs : tout est bon pour les voyous de la dette ! « Avant 1973 l’Etat Français opérait par avance de trésorerie auprès de la banque de France sans intérêt qu’il remboursait les années suivantes. Le déficit était alors insignifiant. » Avant 1973, l’Etat n’empruntait pas, tout simplement. Par ailleurs, le fait d’emprunter ne justifie en rien la situation actuel. Ce n’est évidement pas la voie choisie, qui a était celle de l’endettement massif auprès des marché financier par démagogie populiste (retraite à 60 ans, 80% de bachelier, 20% de hlm partout, nationalisation, rmi, etc, etc, etc,.). Si l’Etat emprunte à la BDF, comme ne 73, et bien les prix augmenteront pour annuler cette création monétaire, voila tout ! « Lorsque l’on parle de limiter le déficit à 3% du PIB cela représente un peu plus de 55 milliards par an de déficit supplémentaire pour la France. » L’on n’en « parle pas », c’est un engagement de la France depuis 10/15 ans, qu’elle n’a jamais tenu... Absolument pas. « L’indépendance économique des Etats !

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