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Les bienfaits - GameAddict - Addiction au jeu vidéo - Cyberaddiction

Les bienfaits - GameAddict - Addiction au jeu vidéo - Cyberaddiction
Amélioration des capacités visuelles. Des chercheurs du département cerveau et vision de l’université de Rochester (Etats-Unis) ont comparé l'acuité visuo-motrices de joueurs avec celle de non-joueurs (qui pour l'anecdote ont été plus difficile à trouver !). L'étude a montré que les joueurs présentaient une zone d’attention visuelle plus large, pouvaient capturer des images plus complexes et se laissaient moins distraire alors qu’ils étaient engagés dans une tâche complexe. Les jeux pourraient alors être utilisés en entrainement pour les pilotes de course ou d'avion mais pour les personnes ayant perdu une partie de leur acuité visuelle, comme certaines victimes d’Accidents Vasculaires Cérébraux. Le jeu en thérapie post-traumatique / anti-stress De manière plus simple, et plus habituelle, jouer sert d'anti-stress après une journée bien remplie. L'évasion Dr. Jouer ensemble Plusieurs partenaires de Game-Addict sont des groupements de joueurs, des "clans" ou "guildes"... Comprendre l'adversaire

Note: Cuisines de dépendances Pourquoi les jeux vidéo favorisent l’apprentissage | Santé mentale | Ma vie S’il est vrai que les jeux vidéo peuvent isoler les enfants de leur environnement social et les distraire de leurs devoirs scolaires, il semble bien qu’ils présentent certains avantages. Des chercheurs pensent que le cerveau des enfants qui jouent régulièrement à des jeux vidéos pourrait être plus développé que celui des autres. En outre, ces jeux améliorent la coordination œil-main, l’aptitude à comprendre les concepts scientifiques et même le QI. En 2009, des chercheurs du Mind Research Network du Nouveau-Mexique et de l’Institut neurologique de Montréal ont découvert que, chez les filles de 12 à 15 ans qui jouaient 30 minutes par jour à Tetris, certaines régions du cortex cérébral étaient plus développées que chez celles qui ne jouaient pas aux jeux vidéo. Certaines de ces régions sont associées à la pensée critique, au raisonnement et au langage. À quels jeux vidéo les enfants devraient-ils jouer? Best Health Magazine, Janvier/Février 2010

Les ados et la cyberdépendance - LE BLOG QUI MET UNE BONNE CLAQUE AUX ADDICTIONS Cyberdépendance et adolescence 1) Pensez-vous qu'il y a un lien entre la cyberdépendance et l'adolescence ? Oui, assez clairement. L’adolescence est par définition une période de transition délicate et parfois complexe à gérer pour certains. 2) Quelles sont les formes les plus communes de cyberdépendance chez les ados ? Les formes traditionnelles de cyberdépendance chez l’adolescent concernent tout d’abord la dépendance informatique, plus précisément l’addiction à Internet ou aux jeux vidéo en ligne, surtout lorsque ces derniers sont particulièrement immersifs (type jeux en ligne massivement multijoueurs par exemple). 3) Quelles sont les conséquences de cette addiction ? La principale conséquence d’une dépendance informatique et/ou téléphonique est la chronophagie, mais également le désengagement des obligations sociales. Cyberdépendance : une maladie ? 4) Les ados "atteints" de cyberdépendance sont-ils malades ? Ils ne sont pas malades au sens clinique du terme. Non, je ne le pense pas.

Jouer aux jeux vidéo rend-il plus intelligent ? Aussi fou que cela puisse paraître, plus on joue aux jeux vidéo, plus le cerveau grossit. Jouer aux jeux vidéo agrandit votre cerveau Plus jamais on ne pourra vous dire que vous vous abrutissez à force de jouer aux jeux vidéo. En effet, d’après une étude publiée dans le Journal Molecular Psychiatry, les jeux vidéo agiraient directement sur la taille de la substance grise, partie du cerveau responsable de la mémoire, du langage et des perceptions sensorielles. Pour déterminer précisément les effets de ce passe-temps, des chercheurs de l’Institut Max Planck pour le Développement humain et de l’Hôpital St Hedwig ont demandé à des adultes de jouer à Mario 64 sur Nintendo DS tous les jours pendant 30 minutes sur une période de deux mois. Et les résultats sont formels : la substance grise a significativement augmenté, précisément dans les zones de l’hyppocampus bilatéral et dans le cortex préfrontal droit. Test sur Mario 64 Maintenant, vous savez quoi dire Tancrède Blondé

Psy et Geek ;-) Les jeux vidéo nous rendent plus intelligents | Carrément plus net Enfin, une bonne excuse pour gamer! Selon une étude publiée sur Molecular Psychiatry, jouer à des jeux vidéo exerce notre cerveau et améliore ses capacités d’orientation spatiale, de formation de la mémoire, de planification stratégique et de motricité. Bref, les jeux vidéo font grossir notre cerveau et nous rendent plus intelligents! En effet, l’étude a comparé deux groupes d’adultes de Berlin, l’un ayant joué à Super Mario 64 pendant 30 minutes à tous les jours pendant deux mois et l’autre ne jouant pas du tout à des jeux vidéo. En comparaison, le groupe ayant joué a montré une augmentation de sa matière grise, dans laquelle les corps cellulaires des cellules nerveuses du cerveau sont situés. Les effets ont été observés dans l’hippocampe droit, le cortex préfrontal droit et le cervelet, régions du cerveau où sont impliquées les fonctions telles que la navigation spatiale, la formation de la mémoire, la planification stratégique et la motricité fine des mains. Sources :

Ou l’on reparle de l’addiction aux jeux vidéo Je dois avouer que parfois le découragement me prend. Le 23 novembre 2010, Le Centre d’analyse stratégique organise un séminaire intitulé “Jeux vidéo : Addiction ? Induction ? Régulation.” On peut lire que “ les jeux vidéo soulèvent au moins deux types de questions. il est possible que ces questions soient présentes dans l’espace public. Une association comme e-enfance a également sa part de responsabilité puisqu’elle est à l’origine de campagnes d’information nationale dans lequel un pédophile se fait passer pour quelqu’un d’autre. Enfin, les éditeurs de jeux vidéo ont été trop pusillanime. On est donc en train de demander aux industriels du jeu vidéo de mettre en place des “régulations” pour un problème qui n’existe pas. Par ailleurs, ces “régulations” sont mises en place avec les “familles, industriels et pouvoirs publics” c’est à dire sans les principaux concernés : les joueurs. WordPress: J'aime chargement…

Petite cuisine de la dépendance… aux TIC Sommes-nous en train de devenir dépendants des TIC ? Quel sens prend aujourd’hui l’insistance à développer les usages des TIC si ce n’est celui de nous amener à être encore plus dépendant ? Une éducation à un « usage raisonné des TIC » ou un enseignement de « l’informatique et des sciences du numérique » peuvent-ils amener à lutter contre cette dépendance ou à la renforcer ? La généralisation de l’idée que les TIC sont incontournables se traduit par des actions dans tous les domaines : enseignement scolaire, éducation populaire, enseignement supérieur, vie quotidienne, vie professionnelle, etc… Il s’agit de développer l’utilisation et la maîtrise de l’usage de ces technologies, projet qui envisage donc de permettre à chacun de ne pas être « esclave », « agent », mais bien auteur de sa destinée dans un monde de plus en plus numérisé. L’ambigüité des politiques qui promeuvent le développement des technologies est qu’ils évitent d’aborder cette question de la dépendance sur le fond.

La Cyberdépendance Je vais vous raconter un peu ma petite histoire vis-à-vis de l'Internet, vous verrez qu'elle n'est pas forcément très commune : Personnellement, je me suis mis à l'informatique il y a quelques années, je n'était pas vraiment accro, simple petit Internaute de passage, à une période où je n'était pas vraiment optimiste sur la vie malgré mes efforts, où j'était rejeté par quasiment tout le monde, où une amitié pour moi ne pouvait durer que quelques mois, pas plus, à part un très bon ami. Ce même ami venait de rentrer au collège, j'étais toujours en primaire. Le collège n'étant pas dans la même enceinte que le collège, autant dire que je passais mes journées à arpenter la cour de l'établissement seul à réfléchir sur ma situation sociale ou sur d'autres sujets venant s'immicier dans mon esprit. Alors je dis merci. Je ne suis pas ce qu'on pourrais appeler un accro, mais plutôt quelqu'un qui à quelque chose à rendre, un endetté. Alors juste un mot : Merci

Reflexions a propos de la synthèse INSERM 2014 Conduites addictives chez les adolescents L’INSERM vient de rendre une synthèse nommée Conduites addictives chez les adolescents Usages, prévention et accompagnement Principaux constats et recommandations dans laquelle on trouve des mentions sur les jeux vidéo. J’ai avec la synthèse de l’INSERM deux désaccords mineurs et deux accords majeurs 1) Les jeux vidéo sont définis avec imprécision Tout d’abord, le premier jeu vidéo n’est pas produit dans les années 1950. Les jeux vidéo ont été inventés à plusieurs reprises. Ces différentes naissances correspondent a différentes filières du jeu vidéo. On est étonné de lire que 39% les adolescents jouent à des MMOFPS. 2) La sociologie des joueurs est imprécise Il est dommage que l’expertise se base sur Escapad 2008 qui est à la fois juge et partie sous prétexte “ qu’il n’y a pas d’études épidémiologiques spécifiques sur cette thématique”. J’ai également deux accords majeurs 1) Il n’y a pas d’addiction à l’internet et aux jeux vidéo mais des usages problématiques WordPress: J'aime chargement…

GameAddict me semble être un site intéressant en ceci qu'il préfigue assez bien ce que pourrait être une approche "éclairée" des NTIC par ceux qui les utilisent. Mettant en avant les deux aspects positif et négatif de l'usage des jeux en ligne, il manifeste une prise de conscience de la part des jeunes quant aux risques potentiels encourus sans pour autant sombrer dans le catastrophisme. C'est, je pense, un message qui ne peut qu'être favorablement accueilli par les jeunes utilisateurs de jeux, et qui devrait être accompagné par tous ceux qu'intéresse cette question, tout en laissant aux jeunes la primauté de la liberté du dialogue et de l'effort de responsabilisation. by lethel_groupe1_psy Apr 10

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