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Œuvres sonnores et plastiques, un choix

Œuvres sonnores et plastiques, un choix
Dossiers pédagogiques - Collections du Musée Parcours dans les collections du Musée Définition Des œuvres difficilement pensables avant le 20e siècle Une frontière parfois floue Aperçu historique Les premières recherches : plasticiens et compositeurs Poésie sonore et musique concrète Œuvres sonores et plastiques Production de sons mécaniques : Jean Tinguely, Baluba, 1961-62 Production de sons matérialisés et répétitifs : Francis Alÿs, Cuentos patrioticos, 1997-99 Production de sons matérialisés par une cause dématérialisée : Vassilakis Takis, Musicale, 1977 Production de sons dématérialisés modulables par le spectateur, Robert Rauschenberg, Oracle, 1962-1965 Production de sons dématérialisés et programmés : Cerith Wyn Evans et Throbbing Gristle, A=P=P=A=R=I=T=I=O=N, 2008 Production de silence abritant un son potentiel et matérialisé, Joseph Beuys, Plight, 1985 Textes de référence Repères bibliographiques DÉfinition des œuvres difficilement pensables avant le 20e siÈcle Aperçu historique Related:  Arts et émancipation (1)

Parcours pédagogique : Sophie Calle Du 19 novembre 2003 au 15 mars 2004, Galerie 2, niveau 6 Du 19 novembre 2003 au 15 mars 2004, Sophie Calle s’expose au Centre Pompidou. Manifestation d’envergure, intitulée "M’as-tu vue", qui propose de réunir des travaux anciens comme Les Dormeurs (1979), peu montrés en France, et un important corpus d’œuvres nouvelles, telles que Douleur exquise (1984-2003) et Unfinished (2003), créées pour l’événement. Sous la forme d’installations, de photographies, de récits, de vidéos et de films, Sophie Calle construit, depuis plus de vingt ans, des situations où elle se met en scène sur un mode autobiographique et selon des règles précises. L’ART ET LA VIE • "M’as-tu vue" • "Comment je suis devenue artiste" • Le choix RE-PRESENTATION • De la narration PARCOURS • Mouvements • Vingt ans après "Bonjour. "M’as-tu vue" Sans point d’interrogation, le titre de l’exposition entraîne le visiteur. Sans chercher l’impudeur, l’élève, lui aussi, est tenu de s’affirmer. Les Dormeurs, 1979. "Autobiographies"

Y a-t-il une musique après la musique contemporaine ? C’est à peine croyable : d’ici à quelques années, la musique préférée des mélomanes pourrait être celle des compositeurs de leur temps ! Quoi ? Finis, les éternels bruitages sonores que les spécialistes se flattent d’être les seuls à comprendre ? Enterrés, les effets instrumentaux qui prétendent encore «déranger» quand ils ne font qu’endormir ? L’art contemporain étant une création du XXe siècle, le passage au XXIe le relègue de facto aux abîmes du passé. Grave, assurément non. Ce rejet de la musique néo-tonale s’appuie sur une téléologie qui a la vie dure. Est-ce inéluctable ? Il faut être contemporain, me direz-vous ? Ils pourraient cependant noter que les contemporains certifiés conformes sont eux-mêmes, après tout, rétrogrades. Le summum du moderne ayant été atteint, écrire après, quoiqu’il arrive, c’est «revenir». Esthétique et attitude modernes arrivent au faîte de leur antagonisme. Cet article est la synthèse d'un article paru dans la revue Commentaire, n° 129, printemps 2010.

Qu’est-ce que la performance ? Steven Cohen, Chandelier, 2001 Par Gérard Mayen, critique de danse Une définition impossible ? C’est devenu une figure quasi obligée de tout exposé concernant la performance : entamer celui-ci en s’interrogeant sur l’impossibilité même qu’il y aurait à la définir. L’embarras peut toucher à la période comme aux champs artistiques où on va pouvoir la repérer. Par exemple, Roselee Goldberg, qui fait souvent autorité dans ce domaine, va embrasser généreusement les avant-gardes de tout le vingtième siècle, depuis le futurisme ou le dadaïsme, et reconnaître l’empreinte de l’art-performance dans des formes que d’autres considèreraient conventionnellement théâtrales ou chorégraphiques. Devant pareil embarras, on s’entendra bien souvent à conclure que l’instabilité de sa définition doit être rangée parmi ses traits caractéristiques. C’est parfois en passant par ses marges, ou en précisant ce qu’il en est de pratiques voisines, que nous esquisserons une constellation ayant trait à la performance.

Prix collégien de musique contemporaine | Cégep de Sherbrooke Le Prix collégien de musique contemporaine (PCMC) est un prix musical décerné chaque année à l’œuvre contemporaine québécoise « coup de cœur » des étudiantes et des étudiants du Québec inscrits en Musique au cégep ou au conservatoire. Des bourses sont remises aux trois compositeurs lauréats déterminés par un jury formé d’étudiantes et étudiants. Les objectifs de ce concours visent à promouvoir la musique contemporaine, faire découvrir aux étudiantes et étudiants en Musique des styles d’écriture et des mondes sonores inédits ainsi que de développer leur sens critique et leur capacité d’analyse. Le Prix collégien de musique contemporaine s’adresse aux étudiants et étudiantes de niveau collégial inscrits au cours d’histoire portant sur l’époque moderne et contemporaine offert à la session d’hiver. Terreau fertile à la réflexion et à l’émotion, le Prix collégien de musique contemporaine permet aux étudiantes et aux étudiants de vivre des expériences riches en échange de toutes sortes.

Soulèvements Le Jeu de Paume confie la totalité de ses espaces au philosophe et historien de l’art Georges Didi-Huberman pour une grande exposition réunissant à la fois des œuvres anciennes et contemporaines. Voir le site dédié à l'exposition : soulevements.jeudepaume.org « Soulèvements » est une exposition transdisciplinaire sur le thème des émotions collectives, des événements politiques en tant qu’ils supposent des mouvements de foules en lutte : il sera donc question de désordres sociaux, d’agitations politiques, d’insoumissions, d’insurrections, de révoltes, de révolutions, de vacarmes, d’émeutes, de bouleversements en tous genres. C’est une interrogation sur la représentation des peuples, au double sens — esthétique et politique — du mot « représentation ». Le parcours de l’exposition suit un cheminement sensible et intuitif, à travers cinq grandes parties : Éléments, Gestes, Mots, Conflits, Désirs. ÉLÉMENTS (DÉCHAÎNÉS) Se soulever, comme lorsqu’on dit « une tempête se lève, se soulève ».

"La musique contemporaine, c'est un choc !" | Blog du Festival Musica, festival international des musiques d'aujourd'hui, Strasbourg Philippe Manoury au Palais de la Musique et de la Danse. Arrivé en janvier à Strasbourg, Philippe Manoury a déjà trouvé ses marques. Professeur au Conservatoire, il collabore également avec l’Université de Strasbourg et présentera trois de ses œuvres au festival Musica. Pourquoi avoir choisi Strasbourg ? Comment s’est construite cette relation particulière ? Vous avez par ailleurs commencé très tôt, à l’âge neuf ans il me semble ? Quelle a été votre réaction à la découverte de la musique contemporaine ? Que pourriez-vous dire alors pour que les sceptiques s’intéressent à la musique contemporaine ? Comment vous êtes-vous vous même mis à la composition de musiques contemporaines ? Les choses se sont ensuite déroulées très rapidement, votre première pièce a été jouée alors que vous aviez 19 ans… On disait à l’époque que j’étais le plus jeune compositeur de France. Ce départ aux États-Unis, plus tard, a aussi été une manière de parfaire vos connaissances ? Pourquoi la computer music ?

Helena Almeida Voir le portrait filmé de l'exposition : Née en 1934 à Lisbonne, où elle vit et travaille, Helena Almeida a achevé un cursus en peinture au département des Beaux-Arts de l’Université de Lisbonne en 1955, exposant régulièrement depuis la fin des années 1960. Dès ses débuts, elle explore et remet en question les formes d’expression traditionnelles, la peinture en particulier, suivant un désir constant d’enfreindre l’espace délimité par le plan pictural. L’exposition « Corpus » présente un ensemble d’œuvres – peinture, photographie, vidéo et dessin – réalisées par l’artiste des années 1960 à nos jours dans lesquelles le corps enregistre, occupe et définit l’espace. Après ses premières oeuvres tridimensionnelles, Helena Almeida trouve dans la photographie un moyen de combattre l’extériorité de la peinture et de faire coïncider sur un même support l’être et le faire : « comme si je ne cessais d’affirmer constamment : ma peinture est mon corps, mon œuvre est mon corps ».

Manières de créer des sons : l'œuvre musicale versus le dispositif musical (expérimental, cybernétique ou complexe) L’idée d’une révolution artistique exprimée à maintes reprises par les compositeurs expérimentaux américains repose sur un bouleversement radical dans leur façon de concevoir l’activité créatrice. Au lendemain de la seconde guerre mondiale, alors que les compositeurs européens d’avant-garde continuaient à perpétuer une certaine tradition de la création musicale – ceci malgré leur tentative de tabula rasa destinée à promouvoir une musique nouvelle –, les artistes expérimentaux américains rejetaient la notion même d'œuvre musicale, tout en revendiquant un autre mode de production du sonore basé sur l'action. La scène musicale est alors marquée par d'intenses débats de la part des compositeurs, notamment après la conférence donnée par John Cage à Darmstadt en 1958, intitulée Composition as Process. Pour les compositeurs européens d'avant-garde des années cinquante, la préoccupation essentielle réside dans la réalisation d'une œuvre musicale. « 2. La poïesis : œuvrer de façon isolée Notes

Diane Arbus > Mode d'emploi Conçu par le service éducatif, en étroite collaboration avec l’ensemble de l’équipe du Jeu de Paume, ce dossier propose, aux enseignants et à leurs élèves, des outils de réflexion et d’analyse pour leur permettre de construire leur propre rapport aux œuvres. Il se compose de deux parties :Découvrir les expositions offre une première approche des artistes et des œuvres exposées à travers la présentation de données chronologiques, iconographiques et bibliographiques.Approfondir les expositions développe plusieurs axes thématiques autour de l’image et de l’histoire de la représentation, des encadrés sur des sujets transversaux intitulés "repères" et des pistes de recherche en relation avec les programmes scolaires (bulletins officiels du primaire et du secondaire). Ce dossier est remis aux enseignants à l’occasion des visites préparées, au cours desquelles un conférencier du Jeu de Paume présente les œuvres et le projet de l’exposition. > "Diane Arbus".

compositeurs, xxe s. et xxie s. - classification thématique - Encyclopædia Universalis‎ Écrit par : Alain PÂRIS Figure dominante de la musique belge contemporaine, Jean Absil voit le jour à Bonsecours, dans le Hainaut. Il est élevé dans l'univers rigoureux de la musique d'église avant d'être admis au Conservatoire royal de Bruxelles. Il y remporte les premiers prix d'orgue, d'harmonie et de fugue et complète sa formation en étudiant la composition et l'orch ... Lire la suite Écrit par : Patrick WIKLACZ La musique de John Adams ne laisse pas indifférent : elle a souvent irrité, mais son pouvoir de séduction s'est affirmé, car ce créateur américain parvient à conjuguer avec habileté des talents de compositeur, d'orchestrateur et de chef d'orchestre, mis au service d'une esthétique franchement postminimaliste à laquelle les esprits non sectaires on ... Écrit par : Pierre BRETON Des possibilités expressives assez limitées et une sonorité plutôt fruste semblaient condamner l'harmonica à ne jamais s'évader de l'univers des musiques populaires et enfantines. ALLEGRO BARBARO.

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