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Une thérapie suit souvent le suicide assisté

Une thérapie suit souvent le suicide assisté
Règlement En Suisse, au minimum deux témoins doivent être présents lors d'un suicide accompagné. Il s'agit principalement d'un membre de l'association d'assistance au suicide et d'un proche ou d'un ami de la personne souhaitant mettre fin à ses jours. Les proches sont informés au préalable sur le déroulement exact et les examens médicaux qui suivent. "Les accompagnants ont par ailleurs la possibilité de prendre contact avec nous pour des discussions ou des conseils. Selon Exit Suisse alémanique, cette recherche n'est pas représentative: elle se base sur un échantillon «purement aléatoire» s'étendant sur une période trop courte et une aire géographique très limitée. Environnement social «Il s'agit là de graves conséquences psychiques», affirme Birgit Wagner.

Pour les patients et les familles | SFAP - site internet Cliquez sur la vidéo pour la lancer Euthanasie de Vincent Lambert : la décision du tribunal illustre le besoin de compléter la loi Léonetti FIN DE VIE - Il ne fait plus de doute. Une nouvelle loi sur la fin de vie va être préparée par le gouvernement. François Hollande l'a évoqué lors de sa conférence de presse de mardi. Sa ministre de la Santé l'a confirmé ce jeudi midi. Marisol Touraine s'exprimait juste après le jugement du tribunal administratif de Chalons-en-Champagne sur le cas de Vincent Lambert. Marisol Touraine sur l'euthanasie: "la loi ne... par Europe1fr La décision de justice rendue ce jeudi permet de mettre trois points en évidence. Les "directives anticipées" à généraliser Quelle est la volonté du patient? Il n'est pas le seul dans ce cas, loin s'en faut puisqu'on estime que même pas un Français sur dix a fait part de sa volonté, telle que la loi Leonetti le permet. La future loi pourrait changer cette disposition et rendre les directives contraignantes. Les contours de la loi à préciser C'était l'une des batailles judiciaires autour du cas de Vincent Lambert. Soulager la douleur ou aider à mourir?

Fin de vie et Dignité humaine Ce que dit le code de Déontologie Le soulagement des souffrances et la limitation ou l’arrêt des traitements est stipulé dans les titres I, II, et III de l’article 37 (R.4127-37) du code de la santé publique, modifié par le décret n° 2010-107 du 29 janvier 2010. I. – « En toutes circonstances, le médecin doit s’efforcer de soulager les souffrances du malade par des moyens appropriés à son état et l’assister moralement. Il doit s’abstenir de toute obstination déraisonnable dans les investigations ou la thérapeutique et peut renoncer à entreprendre ou poursuivre des traitements qui apparaissent inutiles, disproportionnés ou qui n’ont d’autre objet ou effet que le maintien artificiel de la vie ». II. – « Dans les cas prévus au cinquième alinéa de l’article L. 1111-4 et au premier alinéa de l’article L. 1111-13, la décision de limiter ou d’arrêter les traitements dispensés ne peut être prise sans qu’ait été préalablement mise en œuvre une procédure collégiale.

ADMD, Ne nous laissons pas voler notre Ultime Liberté | Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité Chronologie complète de l'affaire Vincent Lambert - Je soutiens Vincent Vincent devient handicapé suite à un accident de la route 29 septembre 2008 : Victime d’un accident de voiture, Vincent Lambert, 32 ans, infirmier en psychiatrie au Centre hospitalier de Châlons-en-Champagne, est plongé dans un état de coma profond. Il est hospitalisé au service de réanimation du Centre hospitalier de Châlons-en-Champagne. Il sort du coma pour se retrouver en « état-pauci-relationnel » ou état de « conscience minimale plus ». 5 janvier 2009 : Vincent est transféré au service de neurochirurgie du Centre hospitalier de Châlons-en-Champagne. 17 mars 2009 : Vincent reçoit pendant 3 moins (du 17 mars au 23 juillet 2009) des soins en kinésithérapie motrice et stimulatrice, au centre d’éveil de Berck-sur-mer. 23 juin 2009 : 7 mois après son accident, Vincent est transféré à la Résidence des Capucins, dans le service du Dr Annie Reska, chef du service de l’unité d’accueil de patients pauci-relationnels. 2013 : Vincent est victime de deux tentatives d’euthanasie Saisine de la CEDH

Euthanasie, «droit à mourir»: Quelle est la situation en France? Après l'acquittement du médecin Nicolas Bonnemaison, poursuivi pour avoir abrégé la vie de sept malades âgés et la décision du Conseil d'Etat sur Vincent Lambert, le débat sur la fin de vie est de nouveau mis en lumière. «20 Minutes» fait le point sur la situation en France et dans d'autres pays européens. Qu’est-ce que l’euthanasie? On parle «d'euthanasie active» quand un tiers administre à un malade une substance létale dans le but de provoquer sa mort. Dans le cas «d'euthanasie passive», on stoppe un traitement, en arrêtant l’alimentation ou l’hydratation artificielle, ou on plonge le patient dans un coma pouvant provoquer la mort au bout de quelques jours. Quelle est la situation en France ? Si l'euthanasie demeure interdite, la loi Leonetti de 2005 (du nom du député UMP Jean Leonetti) a instauré un droit au «laisser mourir», avec des soins palliatifs. … Ce qui se passe en réalité Que veut le gouvernement? Quelles sont les règles dans les autres pays européens ?

euthanasie : Que dit précisément la loi Leonetti ? | Santé publique | Social La loi Leonetti établit les points suivants : « L’obstination déraisonnable » du corps médical et la « prolongation artificielle de la vie » du patient (articles 1 et 9) sont proscrites, y compris lorsque ce dernier est hors d’état d’exprimer sa volonté. Le médecin peut prendre le risque d’abréger la vie du patient en lui administrant une dose de soins palliatifs qu’il juge nécessaire à son confort, à condition d’en informer le patient, éventuellement la personne de confiance ou un proche (article 2).La décision de cesser l’administration d’un traitement, lorsque le prolonger semble relever de « l'obstination déraisonnable » doit être collégiale et ne peut être prise qu’après consultation de la « personne de confiance », de la famille, ou à défaut d’un de ses proches et des « directives anticipées » du patient (articles 1 à 9).La volonté du patient de limiter ou de cesser un traitement doit être respectée (articles 5 à 9).

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