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Les impacts du tourisme de masse

Les impacts du tourisme de masse
Les Impacts Globaux du tourisme de masse Le tourisme est la première industrie de la planète. Le nombre de touristes est passé de 25 millions en 1950 à 702 millions en 2000.Sa progression est de 7 % pour l'année 2010 avec 935 millions d'arrivées de touristes internationaux. Si les tendances actuelles se poursuivent, l’Organisation mondiale du Tourisme prévoit 1.6 milliard en 2020. Cependant, les pays du Nord sont les principaux bénéficiaires de cet essor sans précédent : de 55 à 80% des recettes colossales du tourisme leur reviennent. De plus, les effets pervers du tourisme de masse sont nombreux et concernent l’ensemble des sites touristiques : les impacts socioculturels et environnementaux qu’il entraîne peuvent remettre en cause les ressources sur lesquelles il repose… Les impacts du tourisme sur l'environnement Les impacts socioculturels du tourisme

Le tourisme de croisière dans l’espace caribéen : évolutions récentes et enjeux de développement 1La mer Caraïbe, qui enserre plus d’un millier d’îles aux cultures métisses, depuis les rivages floridiens jusqu’aux archipels vénézuéliens, constitue le terrain privilégié de la croisière. Un croisiériste sur deux dans le monde choisit de voyager dans cet espace sillonné par plus de cent trente paquebots, surtout lors de l’hiver boréal. L’espace caribéen, composé de l’ensemble des îles et rivages baignés par la mer Caraïbe, s’étend sur près de 4 millions de kilomètres carrés. Cet espace fragmenté sur le plan politique regroupe une mosaïque de territoires aux statuts divers : treize Etats insulaires indépendants, seize territoires sont sous contrôle étasunien et européen (France, Pays-Bas, Royaume-Uni) et une dizaine d’Etats continentaux. Les écarts de niveau de vie y sont être très importants, des Etats parmi les plus pauvres (comme Haïti) côtoient des économies prospères (telles celles des Iles Vierges américaines ou des Bahamas) (Duval, 2004 ; Dehoorne 2006).

04. L’immigration étrangère en Guyane : entre stigmatisation et stratégie de récupération Immigration et expansion démographique Le contexte géopolitique actuel entraîne l’arrivée dans le département français de la Guyane de populations originaires de pays voisins [1]confrontés au « sous-développement » ou venant de pays industrialisés à la recherche de meilleures conditions de vie. En 2007, la population guyanaise est estimée à 200 009 habitants par l’INSEE, dont 30% d’étrangers, et la population clandestine, dont il faut souligner les difficultés d’évaluation statistique, est estimée à 30 000 personnes selon la Préfecture (2002). De plus, 60% des naissances proviennent de femmes étrangères (Charrier, 2002a : 20). L’industrie, le bâtiment, et l’agriculture restent, pour la majorité de leurs ressortissants Surinamais, Haïtiens et Brésiliens, les activités professionnelles de prédilection. « Le niveau scolaire des immigrés dépend de leur histoire migratoire, et notamment de leur âge à l’arrivée en France. Les fondements idéologiques de la stigmatisation Ils coûtent cher 1989.

carte partir venir tc Tourisme vert » Écotourisme Les vrais chiffres sur l'immigration légale depuis 2005 - LES VRAIS CHIFFRES samedi 23 avril 2011 popularité : 47% Extrait court d’un article sur Claude Guéant : La vérité sur les chiffres de l’immigration légale Délaissant provisoirement la lutte contre l’immigration illégale, Claude Guéant, le ministre de l’Intérieur, envisage de réduire l’immigration de travail et celle pour motif familial. Philippe Martinat | Publié le 08.04.2011, 07h00 Lire l’article sur le site du Parisien.fr Voici ce que nous proposons : regarder les "vrais" chiffres... Ces graphiques ont été faits à partir des statistiques délivrées par l’OFII page 11 de ce rapport. Update : propos de M. Le ministre n’a pas été en mesure de donner une estimation de la baisse du recours à la main d’œuvre étrangère. Or nous venons de voir que ce chiffre est de 31000 en 2010 ! Pourquoi ces chiffres sont-ils martelés ???

Immigration : sortir de l'idéologie pour se concentrer sur la réalité Pendant une huitaine d’années, j’ai été l’un des responsables du dossier immigration au cabinet du ministre de l’Intérieur puis à la présidence de la République, et c’est à ce titre d’ancien conseiller que je pense avoir une certaine légitimité pour m’exprimer. Dans un contexte extrêmement difficile, marqué par une formidable pression migratoire – toute une partie de la jeunesse des pays du Sud, accablée par le chômage, la misère, l’oppression ne songe qu’à émigrer en Europe – nous avons appliqué une excellente politique, la meilleure politique possible destinée à contenir le flux de population, en dépit de l’hostilité de puissants contre-pouvoirs, administratifs, juridictionnels, associatifs, idéologiques, déterminés à la combattre. En matière de lutte contre l’immigration illégale et de limitation du regroupement familial et des régularisations, par exemple, des résultats incontestables ont été obtenus. « Etre de gauche » : l’expression change de sens d’un siècle à l’autre.

9 bonnes raisons pour partir étudier à l'étranger Étudier à l’étranger vous y songer, vous tourner autour de l’idée sans être sûr ou alors vous vous dites que ce n’est pas pour vous? Et pourtant, cette expérience vous apprendrait tant! Que ce soit une année au lycée, une année ou un semestre Erasmus au cours de votre cursus universitaire ou même toute votre scolarité ou cursus universitaire à l’étranger, les possibilités sont multiples et il y en a pour tous les goûts? Tout le monde en parle, tout le monde encense cette expérience, mais pourquoi étudier à l’étranger est-il si unique? 1- Apprendre une langue étrangère. 2- S’ouvrir au monde et s’ouvrir aux autres. 3- Se chercher soi-même. 4- Se réinventer. 5- L’opportunité de voyager. 6- Booster son CV. 7- Étendez votre réseau. 8- Êtes-vous prêt à vivre la meilleure année de votre vie? 9- Parce que vous ne voudrez plus jamais rester en place. Étudier à l’étranger c’est tout ça et bien plus encore. Lucie Aidart

La migration, des causes multiples La cause la plus souvent invoquée pour expliquer les migrations contemporaines, c’est la misère au sens économique du terme, c’est-à-dire l’écart quantitatif des niveaux de vie entre pays riches et pays pauvres. Or, si l’on met à part les pays dits émergents, cet écart va croissant. Dès lors, le flot de la migration devrait, lui aussi, aller grandissant, et si l’on n’y prenait garde, c’est « toute la misère du monde » qui finirait par déferler chez nous. Une option rationnelleComme c’est souvent le cas, cette idée reçue est très largement une idée fausse, démentie par l’expérience et les faits. Nomadisme et travailUn dernier élément doit être pris en compte : l’existence, dans les pays d’arrivée, d’une offre permanente et substantielle de travail illégal, avec la complaisance des pouvoirs publics.

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