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Éduquer aux médias, ça s'apprend — éduscol, le site des professionnels de l'éducation

Éduquer aux médias, ça s'apprend — éduscol, le site des professionnels de l'éducation

Chute libre/Baumgartner : 3 leçons pour les médias Caractéristique typique d'une nouvelle consommation des médias : fin d'apres-midi d'un dimanche pluvieux, vous surfez sur le web, les réseaux sociaux vous indiquent qu'un exploit va avoir lieu dans quelques minutes et vous vous retrouvez avec plus de 8 millions de personnes du monde entier à regarder YouTube, qui diffuse en direct le saut en chute libre de plus de 35 km sans l'espace d'un Autrichien sponsorisé par une boisson énergisante! 1ère leçon : YouTube fait aussi du direct pour de très grosses audiences Quelques jours après le lancement de 60 nouvelles chaînes thématiques pros, dont 13 en France, qui secouent le PAF, c'est bien un nouveau record -- et une nouvelle disruption majeure pour les télés -- qu'a réussi YouTube avec cette audience record live pour une video sur le web, malgré quelques bugs de transmission ! Le dernier datait des JO de Londres avec à peine plus de 500.000 visionnages en même temps. YouTube n'était pas seul. Près de 3 heures de suspense!

Cactus Acide Cadre théorique et prospective Je me propose, dans cet article sur l’écriture numérique et la publication, de clore une réflexion engagée sur le document et prolongée par la lecture numérique. J’entends, pour ce faire, aborder cette notion selon la même méthodologie et commencer par préciser le cadre théorique dans lequel je m’inscris, avant d’envisager des pistes d’exploitation pédagogique. Il me faut préciser, d’emblée, que je n’aborderai pas la question du code, non qu’elle manque d’intérêt, mais parce qu’elle me semble devoir être traitée distinctement. Je regretterais de devoir la cantonner à sa spécificité computationnelle, quand cela n’est pas nécessairement le cas, alors que mon approche de l’écriture numérique cherche à s’affranchir de toute prévalence littéraire, en tant que forme sémiotique, ou technique, de l’ordre des usages, voire des ressources numériques. Du texte comme « design de soi » Du texte comme « éditorialisation de soi » Du texte comme « écriture de soi-s »

la 2ème édition de l'étude Print + Digital Le SEPM Marketing Publicité a réuni ce mardi 16 octobre les acteurs du marché publicitaire pour la présentation de la 2ème édition de l’étude Print + Digital, à laquelle ont participé 13 régies*. C’était donc le moment de faire le point un an après, sur la convergence des lectures des marques de presse, dans un contexte où les annonceurs ont été plus nombreux à investir le média magazine cette année : 8 604, en hausse de 2%. L’étude a été menée sur le « mégapanel » du SEPM, constitué des fichiers des régies concernées (individus ayant été en contact avec leurs marques), soit 75 000 personnes, contre 54 000 l’année dernière. 6 500 questionnaires ont été utilisés. 4 familles de presse ont été ainsi décryptées : actu, féminins, auto, et c’est une nouveauté de cette édition : people. Ainsi, les différents « devices » ne se substituent pas les uns aux autres, mais au contraire se complètent : - 50 millions de lecteurs print, +1% - 100% sur le print - 91% sur le web fixe - 84% sur les tablettes

« On n’a plus le temps... », par Serge Halimi Ceux qui se désolent du manque d’attention à leur cause, à leur activité, se voient souvent opposer la même explication : « On n’a plus le temps. » On n’a plus le temps de se plonger dans un livre « trop long », de flâner dans une rue ou dans un musée, de regarder un film de plus de quatre-vingt-dix minutes. Ni celui de lire un article abordant autre chose qu’un sujet familier. Ni de militer ni de faire quoi que ce soit sans être aussitôt interrompu, partout, par un appel qui requiert d’urgence son attention ailleurs. Pour une part, ce manque de temps découle de l’apparition de technologies qui ont permis de… gagner du temps : la vitesse des déplacements s’est accrue, celle des recherches, des transmissions d’informations ou de correspondances aussi, souvent à un coût modeste ou dérisoire. Mais, simultanément, l’exigence de vitesse n’a cessé d’obérer l’emploi du temps de chacun, et le nombre de tâches à réaliser a explosé. Toujours connecté. En particulier sur la Toile.

La télévision se consomme toujours plus en dehors du téléviseur C'est une tendance de fond qui ne se dément pas. Le bon vieux téléviseur est de moins en moins utilisé pour regarder la télévision. Notamment chez les jeunes. L'essor des PC, smartphones et autres tablettes tactiles associés à des services dédiés mis en place par les diffuseurs provoquent un glissement profond des usages. Ainsi, selon Médiamétrie, 35,4% des plus de 15 ans ont déjà regardé des programmes de télévision en Live ou en Catch-up (rattrapage) sur l’un de ces écrans alternatifs soit 2,8 points de plus que l’année dernière. Les jeunes utilisent près de deux fois plus que la moyenne cette façon de regarder des contenus TV : 66% des 15-24 ans ont déjà utilisé un autre écran comme alternative au téléviseur pour une consommation TV Live ou Catch-up. Complémentaires En termes de support, l'ordinateur est en tête des alternatives. La possibilité de regarder la télévision en Live ou en Catch-up , quel que soit l’écran, accélère finalement la consommation télévisuelle.

Les médias ont-ils intégré les usages numériques ? Le téléspectateur, oui ! L’avènement de l’utilisation des nouvelles technologies au quotidien pousse les chaines de télévisions à se délinéariser et à proposer du contenu sur plusieurs écrans (ordinateur, tablette, smartphone). La délinéarisation, une opportunité pour le marché des médias et des loisirs. Selon une étude PwC Global Entertainment and Media Outlook 2012-2016, 37.5% des revenus de l’industrie des médias et entertainment seront digitaux en 2016. Le digital, un indispensable pour les médias L’avènement de l’utilisation des nouvelles technologies au quotidien pousse les chaînes de télévisions à se délinéariser et à proposer du contenu sur plusieurs écrans (ordinateur, tablette, smartphone). L’utilisation d’Internet est une véritable chance encore mal maitrisée . La publicité sur internet : une véritable force pour les années à venir

Publicité et Internet : les nouvelles règles pour les annonceurs et les médias 7 septembre, 2012 0 commentaire Matière à réflexion : Bernard Petitjean et Corinne da Costa – Seprem Etudes & Conseil L’UDECAM, qui regroupe les 10 principales agences médias françaises, s’est livrée à une analyse de l’évolution de la communication publicitaire en ligne et des attentes des annonceurs dans ce domaine. 5 pistes de travail s’en dégagent. La digitalisation atteint l’ensemble des marchés. Le display a de l’avenir. Les annonceurs privilégient désormais l’originalité des offres et les contextes porteurs sur la quantité de contacts. Les annonceurs raisonnent en « dispositifs de communication ». Il n’est plus possible de faire l’impasse sur la mesure des résultats.

Les Français plébiscitent la promo traditionnelle Generix Group et l’Ifop ont interrogé les Français sur leur perception et leur comportement vis-à-vis des politiques de promotion et de fidélité des enseignes non alimentaires. « Contre toute attente, nous constatons que les Français portent un regard très positif sur les offres promotionnelles en général et ne s'estiment pas saturés par les prospectus, coupons ou e-mails qu'ils reçoivent. Ils plébiscitent d'ailleurs la variété, la praticité et la personnalisation de ces canaux de promotion qui sont souvent à l’origine de leurs achats en magasin ou sur Internet », explique Mike Hadjadj, directeur marketing & communication de Generix Group. Les principaux enseignements de cette enquête (menée auprès d’un échantillon de 1001 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus) Les Français sont réceptifs aux messages Contre toute attente, les Français ne s’estiment pas saturés par la publicité ! Addicts aux cartes de fidélité des enseignes

"A quelques exemples prêtes": quand les médias font des fautes de français Multiplication des anglicismes, mauvaises liaisons entre les mots, fautes d'accord et de grammaire, confusion entre les locutions: animateurs et journalistes des radios et des télévisions ont quelquefois tendance à oublier le bon usage de la langue française. "La radio et la télévision ont un rôle normatif en matière de français. Les Français apprennent la langue presque autant à la radio et à la télévision qu'à l'école", explique Patrice Gélinet, conseiller en charge du respect de la langue française dans les médias au sein du Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA). "Les journalistes, qu'ils le veuillent ou non, influencent le bon ou mauvais usage de la langue", ajoute-t-il, interrogé par l'AFP. Dans sa dernière publication sur le sujet, le CSA a mis en avant deux incorrections fréquentes sur les antennes. Quelques exemples d'incorrections détectées dans des journaux télévisés: "5.000 personnes sont morts", "plus de cent personnes étaient présents". "live", "morning", "talk-show"

L'Ifop publie son baromètre sur l'image des médias français L'institut de sondage Ifop a publié le premier volet de son baromètre de l'image des médias ce jeudi. Une étude qui mesure l'image des grands médias français auprès d'un échantillon de 1004 sondés, âgés de 18 ans et plus. Il ressort de l'enquête que les Français plébiscitent surtout les chaînes de télévision et les stations de radio et boudent un peu plus la presse écrite. Les médias télévisés jouissent en effet de la meilleure aura. Les radios elles aussi sont populaires. La presse, moins visible Les avis sur les titres de presse sont plus divisés. Le Figaro recueille 49% d'opinions positives contre 22% d'opinions négatives, et Libération sensiblement la même proportion d'avis favorables et défavorables. 45% des Français apprécieraient Les Echos et Le Parisien. Les hebdomadaires L'Express et Le Nouvel Obs arrivent à égalité avec 58% d'opinions positives. Lectorats politisés Le Monde est apprécié par 56% des lecteurs de droite, et 77% des lecteurs de gauche.

Innovations - La TV : le nouvel espion au service des marques ? Publié le 18 décembre 2012 Si je surveille ma cible, je peux mieux lui parler... Déjà préemptée par Google, Samsung ou Microsoft, la reconnaissance faciale va désormais changer la pub. Une innovation lancée par Verizon et digne de l'oeil de Moscou permet de savoir ce que vous êtes en train de faire en regardant la télé... Les habitudes du consommateur devant son téléviseur changent. Forcément pour les marques et les agences, la bataille de l’interactivité ciblée devient un nerf de la guerre publicitaire. Le géant américain des télécommunications a récemment déposé un brevet pour son DVR (Digital Video Recorder) futuriste. Si par exemple vous êtes en train de déguster un pot de Ben & Jerry’s, la prochaine pub à l’écran sera pour de la glace ou bien un club de sport, histoire d’éliminer les calories. Cette détection par reconnaissance faciale n’est pas nouvelle. Big Brother is watching you... Benjamin Adler Rubrique réalisée en partenariat avec HighCo Crédit photo en une : GameInformer

"Le but du journalisme, c'est de terroriser ou d'informer?" TRIBUNE. Manon Deniau est étudiante en Lettres à Rennes 2. Elle fait ses débuts dans le monde du journalisme par l’intermédiaire de stages et de son blog La Vie rennaise. Voici ses premières impressions sur le milieu des médias. La rédaction de CNN (CC Flickr Randomwire) Notre avis. Cela fait six ans que je suis passionnée de journalisme, un an que je découvre la réalité du terrain, des bureaux. A l’heure où cette profession est fantasmée, idéalisée par certains (dont je fais partie), où les filières information-communication ouvrent dans les universités et n’ont aucun mal à se remplir, je tire la sonnette d’alarme. Devenir journaliste, c’est aussi une question d’argent Je vais d’abord parler des études. C’est pour cela que depuis une décennie, les écoles de journalisme privées reconnues ou non par l’État sont de plus en plus nombreuses, de plus en plus coûteuses, pour rémunérer le personnel et le matériel. Cela pose problème. Pour décrocher un stage, mieux vaut sortir d’une école

Les RP et la COM’ ont leur place auprès des dirigeants 19 juillet, 2012 0 commentaire Le 26 mars dernier, l’Ecole Annenberg, de communication et de journalisme de l’Université de Caroline du Sud a publié les résultats d’une étude menée pour la septième fois aux Etats-Unis sur « les pratiques les plus répandues, dans le monde de la communication et des relations publics » (étude GAP VII pour Generally Accepted Practices). 620 grands noms de la communication ont été interrogés afin d’identifier dans l’ensemble de ces réponses, les bonnes pratiques communément admises dans les grandes structures (entreprises, organismes gouvernementaux et organisations à but non lucratif). Les enseignements clés de cette étude font ressortir les points suivants : Les budgets sont globalement en hausse. L’étude complète est disponible (en anglais) sur : Articles en relation :

Intéressant: le document à télécharger en bas de page by danielleici Mar 19

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