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Marketing Participatif : Les Conseils Pour Unir Les Marques Et Les Internautes

Marketing Participatif : Les Conseils Pour Unir Les Marques Et Les Internautes
En ces temps de Saint Valentin, le couple marque-consommateurs est à l’honneur avec le marketing participatif. Faire participer activement les consommateurs autour de projets variés, via des plateformes de co-création, est une technique de séduction efficace pour les marques. En effet, quoi de mieux pour créer une relation solide et durable que d’intégrer les internautes et de les impliquer dans divers projets autour de votre marque, allant de la recherche de nouvelles idées, à la création d’un design ou d’un prototype produit ? Voici donc quelques conseils pour mettre en place efficacement une campagne de marketing participatif. Savoir faire les bons choix En amour, nous sommes parfois confrontés à certains dilemmes qui nécessitent de faire appel à notre entourage pour trouver de l’aide. En marketing, le principe est le même. Chérir le principal engagé Le marketing participatif est né sous l’impulsion des consommateurs désireux de prendre la parole auprès des marques.

Collectivité sur les réseaux sociaux : seule ou en meute ? Aujourd’hui, la question de savoir si une collectivité (territoriale en l’occurrence, et ce terme inclura ici les intercommunalités) doit être présente sur les réseaux sociaux est réglée. Pratiquement. La réponse est oui, quasiment dans tous les cas. Pourtant, une fois cette réponse posée, arrivent invariablement d’autres questions. En particulier, quid des services de la collectivité et quid de ses établissements, notamment culturels et sportifs ? 1 – Les motivations globales Tout d’abord, rappelons les motivations principales des collectivités à être sur les réseaux. - Veiller sur l’e-réputation de la collectivité en étant là où l’on parle d’elle aujourd’hui ; - Répondre aux nouvelles demandes des internautes et aux nouveaux usages du web ; - Etre présent officiellement pour éviter (ou contrer) la création de comptes non officiels qui viendraient occuper l’espace en lieu et place de la collectivité ; 2 – Peser le pour et le contre Voyons maintenant les aspects plus favorables :

Les 7 Péchés Capitaux du Marketing Participatif Création d’un nouveau packaging, invention d’un nouveau produit ou création d’un nom de marque, les internautes sont sollicités de toute part par les entreprises. Nouveau jardin d’Eden des annonceurs, le marketing participatif séduit par sa rapidité, sa viralité et son inventivité. Les tentations sont grandes de mettre en place une opération participative auprès de sa communauté, mais attention toutefois à ne pas transgresser certaines règles de base, présentées dans cet article sous forme de péchés. #1. Avoir accès à des millions de « cerveaux » en un seul clic à de quoi faire tourner les têtes de plus d’un dirigeant ! #2. Les plus méfiants pourraient comparer le marketing participatif à une forme de racolage des marques séduisant un maximum d’individus pour obtenir une multitude d’idées. Hyperinformés et influents, ils s’investissent selon des motivations précises : divertissement, gain financier, reconnaissance, etc. #3. #4. #5. #6. #7. Catégorie: E-marketing

Médias sociaux & Relation clients: ce qui change vraiment. par Guillaume Kleinhentz - Chronique e-Business Le développement du web social remet en cause l’équilibre des stratégies de Relation Client. Comment une entreprise engagée dans une démarche globale de satisfaction client peut-elle intégrer ce mouvement de fond et en faire un axe supplémentaire de différenciation ? Nombre d’entreprises placent désormais le client au cœur de leur stratégie en s’attachant à connaître au plus près ses attentes et en optimisant son expérience à chaque étape du cycle de vie. Si cette démarche est effectivement mise en œuvre pour les dispositifs de contacts plus traditionnels (centres d’appels, points de vente, sites web institutionnels…), la sphère communautaire du web reste dans la plupart des cas à adresser.Le rééquilibrage des forces opéré en faveur du client par l’émergence de ces nouveaux médias nécessite toutefois pour les organisations d’adopter une nouvelle approche client intégrant les codes du web social: transparence, échange et engagement.

E-marketing: les outils ne font pas les Stratégies Cet article a été publié il y a 2 ans 1 mois 17 jours, il est possible qu’il ne soit plus à jour. Les informations proposées sont donc peut-être expirées. T’y connais rien au rock! Moi: “tu n’y connais rien au e-marketing” – Lui, plus tard: “visiblement, toi tu n’y connais rien au rock!”. Les concepts de “E-marketing” et de “Rock” partagent en commun des dérives de compréhension qui se construisent autour des succès et tubes qu’on entend ou lit dans les médias à longueur de pages ou d’ondes. Aujourd’hui encore, ma pelure se hérisse, mais à l’évidence, la situation n’est pas différente de la mienne où je m’imaginais roi du rock sans avoir jamais touché une guitare, mais parce que RTL2 était mémorisé sur mon autoradio en position 1, et que je cumulais les exploits à Guitar Hero en mode expert. Notre métier… ? Stop au “me too” E-marketing Premier constat, il revêt des noms incroyablement différents, rivalisant de subtilités sémantiques. Un e-marketing centré sur les besoins Sources:

Le Marketing Participatif : quand les consommateurs prennent la parole Publié par Emilie Moronvalle le 1 mars 2013 dans le Blog | 0 commentaire Dans cet article, je vous propose de découvrir le Marketing Participatif aussi appelé Marketing collaboratif. Cette technique, apparu dans les années 2000 est aujourd’hui entrée dans les habitudes des consommateurs. Mais savez-vous en quoi elle consiste ? Le Marketing Participatif, c’est quoi ? Comme son nom l’indique, le Marketing Participatif a pour but de faire participer les consommateurs à l’élaboration d’un produit ou d’un service et à promouvoir celui-ci ainsi que votre marque grâce au bouche à oreille. C’est une stratégie qui positionne le consommateur en tant que partie prenante dans la stratégie de la marque. On peut aussi parler de Crowdsourcing, c’est-à-dire, l’utilisation de la créativité, de l’intelligence et du savoir-faire d’un grand nombre de personnes, tout en bénéficiant de leurs feedbacks et de l’écho produit (notamment sur les réseaux sociaux). Comment ça marche ? Quels sont les avantages ?

Passer des écrans aux urnes : pas si facile ! Nouvelle étape pour notre « guide de la web-campagne » dédiée cette fois à la mobilisation politique en ligne. Jusqu'où les candidats utilisent-ils Internet pour parler aux électeurs ? Avec quels résultats ? Début de réponse dans ce billet. A chaque parti politique son dispositif web. Si tous viennent chercher des voix, il ne suffit pas d’être présent sur Internet pour séduire les électeurs connectés. 1 - La légitimité. 2 - La visibilité. 3 - Le dialogue. #1 - Légitimité : quid de la culture numérique des élus ? Un constat s’impose : les élus sont beaucoup plus âgés que la moyenne des Français. Nos hommes et femmes politiques sont donc loin d’être nés avec une souris dans la main. Laure de La Raudière, député UMP, avouait cependant en janvier 2012 lors d’une réunion publique que « les députés qui s’intéressent à ce thème-là, ça se compte sur les doigts des deux mains. » Dès lors, comment réussir à mobiliser en ligne, quand on ne maîtrise pas, ou peu, les arcanes du Web ? Comment ?

Comment des entreprises françaises fabriquent et vendent de faux avis sur le Net “Aucune traçabilité possible”, “Aucun risque encouru,…”. C’est écrit noir sur blanc sur notre devis, les 250 commentaires sont facturés 3 750 euros hors taxes. Pour avoir cette estimation d’une agence parisienne d’e-reputation ayant pignon sur les Champs Elysées, nous ne sommes évidemment pas passés par le service com. Comme des clients potentiels, il a suffit de contacter – sous un faux nom – une dizaine d’agences d’e-reputation, en décrivant notre futur site de réservation d’hôtels, grossièrement appelé “Voyage 2.0″. Censé être en ligne dans 15 jours, nos partenaires imaginaires – environ 50 hôtels – désirent, pour notre lancement, des commentaires positifs de faux clients sur notre futur site et sur Tripadvisor. En deux jours, la pêche est bonne. Selon une étude Nielsen datant de 2009, 70% des internautes font confiance aux avis d’autres consommateurs avant d’acheter un produit. 25 000 commentaires sur 3 mois Autre solution, moins chère et plus “industrielle”.

Quand les réseaux sociaux enrichissent la relation client Les relations entre CRM et réseaux sociaux La relation client bénéficie d’une nouvelle mine d’or d’informations grâce aux réseaux sociaux. Elle se matérialise aujourd’hui par l’avènement des “social-CRMs”. Enrichir son information grâce aux réseaux sociaux Pour toute société, le client est au coeur de son activité en étant le garant financier de sa pérennité. La qualité de l’information est bien entendu primordiale : Elle doit être actuelle, correcte, complète, sans ambiguïté et efficace. La nouvelle génération, le Social-CRM Si l’infobésité représente aujourd’hui un défi important lors de l’utilisation des réseaux sociaux, il n’en demeure pas moins que ces derniers constituent une riche source d’informations dans la relation client. La relation bidirectionnelle A (voir illustration jointe) caractérise le mode relationnel standard des outils CRM jusqu’à présent. Une utilisation mobile dans les nuages De son côté, la technologie apporte également de nouvelles réponses aux CRMs.

Les internautes français peu réceptifs à l’e-marketing via les réseaux sociaux Exploiter les réseaux sociaux à des fins marketing et publicitaires, il faut y aller doucement et de manière subtile. C’est l’un des principaux enseignements d’une enquête de l’institut TNS Sofres (Digital Life*). Les retours sur investissements pour la publicité sur les réseaux sociaux seraient faibles tant que les stratégies marketing ne sont pas très ciblées, résume l’institut d’études marketing et d’opinions. Dans les « marchés développés », 57% des internautes ne veulent pas être dérangés par les marques sur leurs réseaux sociaux. En France, le taux atteint même de 59%. Principal indice d’implication des utilisateurs, seuls 47% des consommateurs dans le monde écrivent des commentaires sur les marques. 29% en France. Et la plupart des contributions sont généralement des partages, des conseils ou des aides sur les produits. Seuls 13% des commentaires correspondent plutôt à des éloges, et 12% à des critiques. Les commentaires sur les marques en France. Logo : © Cybrain-Fotolia.com

5 exemples concrets de marketing collaboratif client Les PME sont assez peu familières des méthodes de marketing collaboratif (alias collaboratif client) qui leur permettent de faire participer ses clients à l’offre de l’entreprise et à son amélioration. C’est pour cette raison que l’on peut se poser la question : quand la co-création et le collaboratif sont-ils appropriés à mon entreprise ? Dans quelles situations dois-je m’y intéresser ? Qu’avons-nous à gagner avec ce type de pratique ? Marketing collaboratif : les PME peuvent-elles embarquer leurs clients dans leur aventure ? Pour résumer, on utilise le Collaboratif Client : à tous les stades de développement du produit / service de l’entreprise : que se soit de la génération d’idées, du choix et du test du concept, l’étude de faisabilité, le pilotage du projet, le prototypage, le test du produit final, le packaging, la communication, le lancement du produit, la promotion du produit, etc. Méthode utilisée : les comités consultatifs clients. Exemple 2 : pas de contenu similaire

Les liens faibles, moteurs de notre diversité informationnelle Liens faibles, liens forts. Cette semaine le dossier d'InternetActu vous propose de revenir sur ce que sont les liens faibles, ce concept forgé par le sociologue américain Mark Granovetter permettant de distinguer nos relations selon selon leur proximité, mais aussi selon leur diversité et la richesse de ce qu'elles nous apportent. A l'heure des réseaux sociaux numériques, la compréhension de la structuration et du rôle de nos relations est devenu d'autant plus importante qu'elles forgent de plus en plus toutes nos actions en ligne. Quelle est la force des liens faibles, quelles sont leurs limites ? C'est le dossier d'InternetActu. Les chercheurs de Facebook, menés par Eytan Bakshy, ont publié une nouvelle étude s'intéressant à comment les gens recevaient et réagissaient à l'information dans le cadre du réseau social. Pourquoi "repenser la diversité de l'information dans les réseaux sociaux" ? Les liens faibles sont les gens les plus influents de nos réseaux sociaux Hubert Guillaud

Les 6 types d’acteurs de l’Internet social Lorsque l’on souhaite mettre en place une stratégie de marketing sur les réseaux sociaux, il est important d’être capable d‘identifier les différents types d’acteurs qui s’y trouvent afin de leur offrir le contenu et les outils qu’ils recherchent. Basé sur une étude réalisée par Forrester en 2010 sur les internautes adultes américains, voici la liste des comportements adoptés par les internautes par rapport au contenu numérique au sein des réseaux sociaux. Ces types de comportements sont représentés sur une échelle (Social Technographics Ladder of Participation) en fonction du degré de participation. Créateurs (23% des internautes) Les créateurs produisent le contenu numérique (texte, vidéo, musique) qui alimente le réseau. Publication d’un blogPublication de page/site webUpload de vidéos originalesUpload de musique originalesRédaction et publication d’articles Dialogueurs (31% des internautes) Les dialogueurs contribuent à la conversation globale qui règne en temps réel sur le réseau.

Comment construire une communauté à partir de rien Les marques, petites et grandes, sont de plus en plus présentes sur les réseaux sociaux. Vous désirez sauter dans le train, mais vous ne savez pas autour de quoi construire votre communauté. Par où commence-t-on quand on désire construire une communauté? Après avoir travaillé à construire un grand nombre de communautés à travers le monde, autant sur les petites entreprises (Confort Bois, un architecte de maison français) que les grandes (Birks, un bijoutier au Canada, avec une communauté de plus de 20 000 admirateurs), j’ai appris à quoi ressemble une communauté en bonne santé, et ce qu’il faut faire et ne pas faire quand on met en place une communauté web. Avant tout, qu’est-ce qu’une communauté? Kim Auclair, présidente de Niviti, une entreprise québécoise en gestion de communauté, l’explique parfaitement « Une communauté Web est un groupe de personnes ayant des intérêts et des passions en commun faisant des choses ensemble. L’essence même d’une communauté est l’intérêt commun. 1. 2. 3.

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