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Le vrai-faux filon des “mooks”, revues en vogue - L'actu Médias / Net

Le vrai-faux filon des “mooks”, revues en vogue - L'actu Médias / Net
Mi-magazines, mi-“books”, les “mooks” fleurissent dans les librairies. De “XXI” à “Schnock”, ces publications censées proposer un autre regard sur le monde seraient-elles menacées d'uniformisation ? Passage en revues. Ne leur dites surtout pas qu’ils font des « mooks ». Du côté des libraires, en revanche, on dit bien « mook » et on ne sait même plus trop quoi en faire – ni où les ranger. Des publications qui défendent toutes l’éternelle plus-value du papier, dès lors qu’on soigne l’écriture et l’enrobage. Pour être à la page et s’épargner le coût d’une diffusion en kiosques, d’autres magazines ont compris qu’ils pouvaient eux aussi se déguiser en livre. « Les maquettistes ont fait des progrès immenses en dix ans, explique Laetitia Bianchi, de la revue Le Tigre (lire notre entretien). Economiquement, certains mooks n’ont pas survécu à leur premier ou deuxième numéro (sans pub, le seuil de rentabilité tourne autour des 15 000 exemplaires). L'origine du mot « mook »

Archives vendredi 28 octobre 2011, 11:38 Dans la lignée de « XXI », « 6 mois » et « Feuilleton » proposent de nouvelles formes de journalisme. Patrick de Saint-Exupéry nous parle de ce mélange entre « magazines » et « book », les « Mooks ». « 6 mois », le dernier-né des magalivres, est la déclinaison en photos du précurseur « XXI » © Dominique Rodenbach Feuilleton. Le mot évoque la littérature dans le journal, ou peut-être une saga télévisée. Repères Revue Feuilleton 256 p., 15 euros. revuefeuilleton.com Lancé par un tout jeune éditeur, Adrien Bosc, 25 ans, le trimestriel se revendique hybride. « Notre grande ambition est de décloisonner l'information en croisant journalisme et littérature, indique le directeur de la publication. Les textes font quinze ou quarante pages. Feuilleton, tiré à 20.000 exemplaires et vendu 15 euros, est distribué en librairie et par abonnement. Si la comparaison revient souvent, c'est que le modèle semble être le bon. Qui est ce public ?

Les mooks: Une jungle où la survie est périlleuse Ils essaiment les stands des librairies et des kiosques de gare. Ces magazines, lourds comme des livres, aussi appelés « mooks », contraction de « magazine » et « book », se sont multipliés depuis plusieurs années, au point qu’il devient compliqué de se repérer dans cette jungle mookesque. En cause, le succès de la revue XXI avec ses « 45.000 à 50.000 exemplaires vendus par numéro » revendiqués, qui en a fait rêver plus d’un. Une prise de risques Si ce modèle économique a fonctionné pour XXI et son rejeton 6 Mois (voir ci-dessous), beaucoup se sont cassé les dents en tentant de prendre leur part du gâteau. Tristan Savin ne pourrait pas mieux dire. « Le problème de ce type de revue est qu’elles coûtent très cher à produire, explique le journaliste. Constituer sa communauté de lecteurs Stéphane Damian-Tissot et Jeanne Doré font partie de ceux qui ont fait le grand saut et ont lancé ces dernières semaines leur revue grand format. >> 20 Minutes vous aide à trouver la vôtre.

DESPORTS Les Mook et le Slow Journalism : remède à la crise de la presse ? XXI, Long Court, Oui Demain, Polar, Au Fait, 6 moisn Alibi, Feuilleton, The Good Life, Noor, L'Elephant... impossible de les citer tous, ils pullulent en ce moment. Les mook , contraction de magazine et book, livre en français semblent être la panacée pour résoudre la crise de la presse. Les fondateurs d'Au Fait, Xavien Delacroix et Patrick Blain, revendiquent proposer un média à contretemps qui ralentit l'actualité. Ils ont imaginé le journal qu'il ne trouvaient pas en kiosque et qu'en tant que journalistes, ils n'ont jamais trouvé à faire. Résultat, une enquête approfondie de 60 pages et un grand entretien de 20. Il faut compter une heure pour en venir à bout. Pour l'Eléphant, même démarche. L'un comme l'autre sont reliés, maquette savament étudiée, aérée, vive et attirante. Pour l'instant, les mooks rencontrent le public.

Macrocosme, L'Univers en images Dans l’ombre de “XXI” : in the mook for love De nombreux mooks s’engouffrent dans la brèche ouverte en 2008 par “XXI”, la revue de reportages vendue en librairies. Avec dynamisme mais pas forcément avec la même réussite, en raison d’une économie fragile et parfois faute d’originalité. Vers la mi-mars, les nouveaux numéros de Schnock, Feuilleton, La Revue dessinée… sont venus rejoindre en librairies les éditions antérieures et les autres publications de cette famille qui porte un nom semblant appartenir au jargon marketing et issu de la contraction de magazine et de book. Des revues à la périodicité trimestrielle ou semestrielle – parfois variable –, à la maquette et au graphisme généralement léchés, aux articles pouvant s’étendre sur plusieurs doubles pages. Près d’une trentaine tentent maintenant de suivre le chemin de la revue XXI qui a impulsé le mouvement il y a six ans avec le journaliste Patrick de Saint-Exupéry et le dirigeant des éditions Les Arènes, Laurent Beccaria.

France Culture Papiers « BAYARD PRESSE » désigne la société BAYARD PRESSE, Société Anonyme à Directoire et Conseil de Surveillance au capital de 16 500 000 €, sise 18, rue Barbès - 92120 Montrouge, immatriculée au Registre du Commerce et des Sociétés de Nanterre B sous le n° 542 042 486 ; « Site » désigne le site de la Boutique hébergé à l'adresse suivante : il est ouvert à tout utilisateur du réseau Internet et est édité par BAYARD PRESSE. Le Site permet à BAYARD PRESSE de proposer des Produits à la vente à des Internautes naviguant sur le Site ; « Client » désigne la personne physique naviguant sur le Site et susceptible de passer une Commande ; « Produit » désigne tout produit quel qu'il soit, objet de la commande du Client, proposé à la vente sur le Site conformément aux présentes Conditions Générales de Vente, en ce compris les abonnements au(x) magazine(s). « Boutique » désigne la Boutique en ligne sur laquelle un Client peut commander un Produit.

Cinq mooks à dévorer au Salon de la revue - Sortir Grand Paris Malgré un contexte peu favorable à la presse papier, le 26e Salon de la revue est une bonne occasion de se rendre compte de la vivacité du secteur. Le paysage de la revue a évolué. Les premières, apparues au XIXe siècle, étaient des revues littéraires au sens strict. Des parutions périodiques réservées aux écrivains et à la critique. Le monde de la revue, toujours aussi bouillonnant, s'est désormais étendu au mook, un format à mi-chemin entre le magazine et le livre (book) qui s'écarte de l'actualité chaude. En France, XXI a ouvert le bal en 2008. Les revues tiennent salon ce week-end à Paris. Cette revue, ou plutôt ce « jajazine », est une ode gouleyante aux grains blancs et noirs. Semestrielle, 20 €. Ballast « On demanda un jour à Eugène Pottier (auteur des paroles de L'Internationale, ndlr) s'il pensait que la Commune pût gagner ; le chansonnier de répondre : Non. Trimestrielle, 15 €. La Chose Une revue de 200 pages consacrée à « la chose » ? Jef Klak Annuelle, 16 €. La Revue Dessinée

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