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Noire Finance (2 - le bal des vautours)

Noire Finance (2 - le bal des vautours)

Entretien avec Olivier Berruyer : La fin d'un monde Occupy lance un préavis de “grève de la dette” Sous le slogan “Vous n’êtes pas un crédit, vous n’êtes pas tout seuls”, (“You are not a loan, you are not alone”), le groupe “Strike Debt” de Occupy Wall Street ambitionne d’insuffler un mouvement de résistance contre le remboursement des dettes. L’opération est en train de susciter un consensus mondial, et est susceptible de relancer le mouvement de protestation né il y a un an. Poster de Strike the Debt – Domaine public Le postulat de départ lancé par Occupy Wall Street, Démocratie Réelle maintenant, le mouvement 15-M et divers organisations affirme dans un communiqué conjoint vouloir un audit citoyen de la dette et annonce [en] : To the financial institutions of the world, we have only one thing to say: we owe you nothing. Avis aux institutions financières du Monde, nous n'avons qu'une seule chose à vous dire : nous ne vous devons rien. Sur internet, on trouve déjà de nombreuses vidéos appellant à brûler ses dettes : Le constat est donc frappant. Rolling Debt Jubilee _ Domaine Public

Dette publique : Peut-on effacer l’ardoise ? Qui plus, qui moins, aucun pays de la zone euro et même au-delà, n’échappe au casse-tête de la dette publique. Les réponses qui sont proposées peuvent être classées dans deux camps. 1°) Celui des tenants de l’austérité : les Etats doivent réduire leur train de vie, réduire les dépenses sociales et faire baisser les salaires pour améliorer la compétitivité externe et ainsi retrouver des marges pour rembourser leurs dettes. C’est la politique prônée par l’Europe, Allemagne en tête. Le problème de cette politique, c’est qu’elle fait baisser l’activité économique et aggrave le chômage. Elle réduit les rentrées fiscales et n’améliore en rien la solvabilité des Etats tout en provoquant une grave crise sociale. 2°) Celui des tenants de la relance : selon eux (dont nous syndicats), l’austérité est sans issue. Et puis, il y a des outsiders qui, en plus de mesures fiscales, proposent de ne pas rembourser la dette publique, ou en tout cas pas toute la dette. Et si on arrêtait de banquer ?

La vérité du 11 septembre explose à la Télévision Imaginez une longue interview -rigoureuse dans le fond et mesurée sur la forme- au sujet d’une éminente controverse politique. Pas de petite phrase, aucune forme de raccourci expéditif, pas la moindre trace de condescendance de la part de l’interviewer. Et transposez la scène dans le paysage audiovisuel français. Au regard du tabou que constitue le 11-Septembre dans les médias traditionnels de l’Hexagone, il faudrait effectivement faire preuve d’une grande souplesse mentale pour envisager la reproduction locale d’une telle scène. Celle-ci s’est réellement produite. Relativement équivalente au duo LCP-Public Sénat et forte d’un accès à plus de100 millions de foyers américains, la chaîne a convié une personnalité singulière: Richard Gage, président et fondateur de l’association dénommée « Architectes et ingénieurs pour la vérité sur le 11-Septembre ».

A qui profite la dette ? Ce 21 novembre 2012, La FGTB wallonne, la FGTB Bruxelles, le Centre d’éducation populaire André Genot (CEPAG) et le Comité pour l’annulation de la dette du Tiers-Monde (CADTM) avons annoncé lors d’une conférence de presse notre association dans une grande campagne de sensibilisation sur la dette publique belge. Nous voulons lever l’écran de fumée sur la dette. Nous voulons tordre le cou aux idées reçues sur la dette et les politiques d’austérité que l’on nous présente comme inévitables. A qui profite la dette ? Est-ce vraiment à nous de payer la dette publique ? Pour découvrir notre campagne en profondeur n’hésitez pas à consulter nos outils : « A qui profite la dette ? « À qui profite la dette publique belge ? Les syndicats FGTB wallonne et FGTB Bruxelles lancent une nouvelle campagne, baptisée « A qui profite la dette ? Site internet, campagne d’affichage, animation didactique et appel aux citoyens. « Briser le tabou de la dette ». « Pourquoi la dette a-t-elle explosé ?

François Hollande: Faire annuler la condamnation de Kokopelli Je viens de signer la pétition suivante adressée à: François Hollande ---------------- Faire annuler la condamnation de Kokopelli Kokopelli est une association à but non lucratif, fondée en 1999 qui maintient une collection planétaire unique, de plus de 2 200 variétés de plantes potagères, céréalières, médicinales, condimentaires, ornementales et une gamme de variétés très peu cultivées,... Kokopelli est une association à but non lucratif, fondée en 1999 qui maintient une collection planétaire unique, de plus de 2 200 variétés de plantes potagères, céréalières, médicinales, condimentaires, ornementales et une gamme de variétés très peu cultivées, peu connues, voire en voie de disparition. Elle place son action dans l’objectif solidaire de développer des projets d’aide envers les communautés démunies (183 en 2011). Merci de partager largement ces informations et de vous impliquer Cordialement,

La dette publique en France et en Europe Tous les pays européens se trouvent confrontés au problème de la dette, lequel affecte durablement les finances publiques. La France, cinquième puissance du monde, n’échappe pas non plus à la crise, qui fait le bonheur des banques privées. Aucune nation européenne n’est épargnée par le problème de la dette publique, même si la gravité de la crise est différente d’une capitale à l’autre. D’un côté se trouvent les « bons élèves » tels que la Bulgarie, la Roumanie, la République tchèque, la Pologne, la Slovaquie, accompagnés des pays baltes et scandinaves, avec un endettement inférieur à 60% du PIB. De l’autre côté se côtoient les quatre « cancres », dont la dette publique dépasse 100% du PIB : l’Irlande (108%), le Portugal (108%), l’Italie (120%) et la Grèce (180%). Entre ces deux extrêmes se trouvent le reste des pays de l’Union européenne, telle que la France (86%), dont la dette oscille entre 60% et 100% du PIB [1]. Comment est née la dette publique de la France

Mobilisation pour un audit citoyen de la dette publique ! Le rouleau compresseur médiatique de la dette justifie aujourd’hui la mise en place de mesures injustes : d’une part, des coupes violentes dans les salaires, dans les pensions, dans la fonction publique et les services publics, et des attaques sur le droit du travail ; de l’autre, un statu quo inacceptable en termes de régulation de la finance. Un des objectifs principaux du collectif pour un audit citoyen de la dette publique consiste à fournir des outils de mobilisations pour dénoncer cette « arnaque » de la dette. Pour que, dans les têtes, ne règne pas le fatalisme du « il-n’y-a-pas-d’alternative-à-la-rigueur », il est plus que jamais nécessaire d’agir, au niveau européen, national et local. A commencer, bien sûr, par signer et faire circuler la pétition: Premiers signataires:

Qu’on leur coupe la dette ! Partie 1/3 : La saignée « Faire des sacrifices » pour « rassurer les marchés ».On se croirait dans la mythologie grecque, mais non, on est bien dans l’Europe du troisième millénaire – et c’est la seule voie que connaissent nos élites pour sortir de la crise.Pourtant, dans l’histoire, bien d’autres solutions ont existé – et réussi. Qu’on leur coupe la dette ! La saignée par fakirpresse Ne pas payer les créanciers, c’est possible. Déjà, en 1307, le roi de France Philippe Le Bel a une lourde ardoise – notamment auprès des Templiers. Et Louis XIV ? Dans notre histoire, c’est devenu une tradition : « Entre 1500 et 1800, la France a répudié ses dettes en huit occasions, notent Carmen Reinhart et Kenneth Rogoff. Ces deux économistes dédramatisent, en un sens, le défaut : ils en dénombrent « au moins 250 entre 1800 et 2009 ». C’est la solution qu’a ainsi choisie, plus près de nous, l’Argentine. Annuler la dette ? Source : Carmen Reinhart et Kenneth Rogoff, Cette fois, c’est différent, éditions Les Temps changent, 2010.

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