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[Etude] Comment les interactions online/offline influencent le parcours d’achat

[Etude] Comment les interactions online/offline influencent le parcours d’achat
L’étude « Online shopper intelligence » récemment publiée par Kantar Media Compete met en lumière à quel point les interactions entre le online et le offline sont multiples et variées dans le parcours d’achat du consommateur. Selon l’enquête, la pratique la plus répandue est de rechercher le produit sur internet avant de l’acheter en magasin. Baptisée Ropo (pour research online, purchase offline) cette tendance concernerait plus de 9 cyberacheteurs sur 10. En effet, la quasi-majorité des sondés déclare être encline à rechercher au moins un type de produit en ligne avant de l’acheter en magasin. Si le web génère incontestablement de l’activité en magasin, l’inverse est également vrai. La conviction de trouver de meilleurs prix sur le web (64% des citations).La possibilité de faire son shopping chez soi à n’importe quelle heure du jour et de la nuit (60% des citations). L’enquête réalise d’ailleurs un focus sur le profil des cyber-acheteurs. Retrouvez le rapport complet.

Les réseaux sociaux, un outil de prospection négligé par les commerciaux Quel est le secret d’une prospection réussie ? Selon huit cadres et dirigeants d’entreprise sur dix, le vecteur de prospection le plus crédible reste le face-à-face. Même si les méthodes les plus employées par les entreprises sont à 92 % les e-mailings publicitaires, suivis à 66 % par le courrier publicitaire et à 63 % par le téléphone. En pratique, seulement 29 % des personnes interrogées utilisent les réseaux sociaux dans cette optique. Voici du moins les premiers enseignements d’une étude réalisée par l’agence conseil en marketing et communication Quatre Vents sur le thème “Bouche à oreille, réseaux sociaux, clubs clients en B to B. LinkedIn, un simple carnet d'adresses ? Source : agence Quatre Vents (1) Étude “Bouche à oreille, réseaux sociaux, clubs clients en B to B.

Prospectus contre e-mail, lequel est le plus écolo? Alors que la polémique autour de la campagne Zéro prospectus de E.Leclerc oppose les imprimeurs et la filière papetière au géant de la grande distribution, 20minutes.fr a tenté de faire un comparatif des impacts environnementaux des e-mails et des prospectus. Alors, E.Leclerc, greenwasher ou écolo? Les émissions de CO2 difficiles à estimer Difficile de connaître la quantité exacte de CO2 émise par un prospectus. «L'impact n'est jamais le même en fonction de la multitude de paramètres qui entrent en compte. Côté mail, un Britannique a calculé l’empreinte carbone des messages électroniques: 0,3g de CO2 pour un spam, 4g pour un email normal, 50g pour un email avec une pièce jointe. Ressource renouvelable contre déchet électronique Sur le site de E.Leclerc, on trouve les résultats d’une étude Ifop réalisée pour l’Ademe en 2009: près de 18 milliards d’imprimés sont envoyés en France chaque année, soit l’équivalent de 830.000 tonnes de papiers publicitaires. Le verdict: greenwashing ou écolo?

L’incroyable progression de la publicité sur mobile [infographie] Dans moins d’un mois se tiendra le congrès mondial du mobile à Barcelone (27 février au 1er mars 2012), l’occasion de faire le point sur l’énorme progression de la publicité sur mobile. Les statistiques sont tout simplement hallucinantes : en un an, le nombre de clics sur les pubs a progressé de +711% et les revenus ont augmenté de +522%. La progression de la demande publicitaire va comme suit, selon le type de plateforme/système d’exploitation utilisé : premier iOS avec une croissance de +981%, suivi d’Android +759%, Nokia +423% et Blackberry +265%. La plus forte progression de la pub sur smartphone provient de l’Amérique du Nord avec +983%, l’Europe +712% et l’Amérique du Sud +674%. Voilà qui annonce de beaux jours à l’industrie mobile… autant côté contenu que côté annonceurs. [via]

Combien de CO2 pèsent un mail, une requête Web et une clé USB Surfer sur le Net, envoyer un email, télécharger des documents, les partager : toutes ces actions ont un poids pour la planète, d’autant plus important que nous sommes actuellement 1,5 milliard d’internautes à naviguer sur le Web quasi quotidiennement, tant pour notre vie professionnelle que personnelle. Les technologies de l’information et de la communication (TIC) contribuent ainsi à hauteur de 2 % aux émissions européennes de gaz à effet de serre, selon un rapport de septembre 2008 réalisé par l’agence d’évaluation environnementale BIO Intelligence service pour la Commission européenne. Ce chiffre devrait doubler d’ici 2020, si nous ne changeons pas nos modes de vie. Les emails. En France, chaque salarié, dans une entreprise de 100 personnes, reçoit en moyenne 58 courriels par jour et en envoie 33. Le but de l’Ademe n’est bien sûr pas d’inciter à préférer les courriers traditionnels aux mails mais d’expliquer comment en faire usage d’une manière plus respectueuse de l’environnement.

Les équipements technologiques personnels bousculent les frontières travail - vie privée Un intéressant article de L'Atelier BNP Paribas de ce 30 janvier relève que "L'usage de ses appareils personnels redéfinit les frontières du travail" . Nous pouvons observer là un des effets sociétaux des profondes mutations technologiques vécues au cours de ces 20 dernières années — les mutations remontent à bien plus loin, aux origines de l'informatique, mais nous nous limitons à cette tranche des deux décennies passées pour notre sujet. Des mutations techniques profondes... Dans les années 1990, rares étaient les foyers équipés d'ordinateurs. Le salarié ou le dirigeant, équipé d'un ordinateur au travail l'éteignait tous les soirs et y revenait le lendemain. La démocratisation des matériels informatiques Des effets de tuilage entre travail et vie personnelle Le risque d'être happé par le travail Lorsqu'on aime son travail, la tentation est grande de s'y jeter complètement, au risque de passer à côté de sa vie privée.

L'impact écologique d'Internet, l'empreinte carbone des usages pointée du doigt - Rubrique Technologies sur Ecologie.tv Les erreurs à ne pas commettre quand on fait une conférence en ligne Pour des raisons de commodité, un imprévu de dernière minute… nous avons forcément tous au moins une fois participé à une réunion en ligne. Qu’il s’agisse d’une visioconférence d’une visioconférence ou pas, il y a des erreurs à ne pas commettre. L’article qui est ici liste 10 erreurs à ne pas commettre en visioconférence (qu’on peut élargir aux conférences en ligne sans visio). J’ai mis quelques remarques. Choisir un lieu bruyant avec un décor de mauvais goût (je ne donne pas d’exemples ?) Et vous, vous en voyez d’autres des erreurs à ne pas commettre ? Des anecdotes à partager ?

Clé USB, mails : connaissez-vous leur impact en CO2 ? ierre Galio, l'un des responsables d'une étude menée par l'Agence de l'environnement et la maîtrise de l'énergie (Ademe), met en garde contre un a priori consistant à penser que "les technologies de communication sont plus respectueuses de l'environnement". Envoyer un courriel ou faire une recherche sur internet entraînent des émissions de CO2 et d'autres impacts l'environnement qui pourraient être réduits en changeant simplement quelques gestes. "Un employé d'une entreprise qui envoie un courriel de 1Mo de son ordinateur à une personne qui le lira pendant 5 minutes sur son écran, sachant que le message restera stocké pendant un an, cela entraîne l'émission de 19 grammes d'équivalent CO2", explique-t-il. Les chiffres de l'étude tiennent compte des bilans environnementaux à la fois de l'ordinateur de l'émetteur du message, celui du récepteur, des centres serveurs et de stockage et autres relais entrant en compte. Réduction des émissions Clé USB : une fabrication polluante

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