
Aria G25 - Low cost Linux Embedded SMD module Aria G25 is a cost-effective System-on-Module (SoM) thought of to drastically reduce the development time needed to design a low-power and low-EMI Linux Embedded device. The more complex hardware like CPU, RAM, Ethernet, power and EMI components are integrated on a single SMD component in just 40x40 mm (1.57x1.57 inch) using an complex eight layers PCB permitting hardware designers to create their simple and cheap carrier boards. Software main features AriaG25 sections Click on the following image to take to see how it's simple to wire external components to design your custom board using Aria G25: Aria G25 is designed to boot a Linux Embedded distribution compiled for ARM9 architecure from a microSD or a SD card. We propose, by default, a ready-to-use Linux Debian distribution stored on a microSD card. Some ready to use bootable microSD cards are available on the microSD on-line catalog but they can be generated by yourself from binaries or from the sources following our tutorials.
Faut-il respecter le droit en bibliothèque ? Dura lex sed lex Faut-il respecter le droit en bibliothèque : s’agit-il d’une véritable question ou d’une provocation ? On serait tenté de se le demander, car il est difficile de concevoir qu’un établissement comme une bibliothèque puisse simplement s’interroger sur le respect ou non de la loi. Qu’elles soient publiques ou universitaires, les bibliothèques constituent des services publics, soumis en tant que tels à un certain nombre d’obligations, à commencer par le respect du principe de légalité 1 Sanctionné par les juges, ce principe implique que les établissements inscrivent leurs actions dans le cadre du droit en vigueur, tout manquement étant susceptible d’entraîner l’annulation de leurs actes et l’engagement de leur responsabilité devant les tribunaux. Une fois rappelés ces principes de base, doit-on s’arrêter là et mettre un point final à cet article ? Certainement pas ! Le flou juridique, cause du malaise des bibliothèques Le scrupule juridique : une aporie ? Mars 2011
Tiers-lieu et autres fablab, hackerspace, medialab, living lab, ... vous n'y comprenez plus rien ? Quand on travaille comme moi depuis des années pour le développement économique, il est parfois difficile de faire la différence entre une mode passagère et une véritable révolution. Les fablabs, hackerspaces, livinglabs, biohacklabs et même museumlabs fleurissent sur tous les territoires et semblent remettre en cause profondément la façon dont les projets émergent et dont les gens travaillent ensemble. De façon apparemment contradictoire, l’autonomie et le travail collaboratif sont mis en avant dans chacune de ces initiatives. De plus, les considérations politiques sont souvent présentes et reprises par les collectivités locales (citoyenneté, stratégies de densification, de rétablissement de la proximité, du lien social, de la cohésion sociale, du développement économique et de la qualité d’un territoire). Si la pauvreté commence bien, selon le diagnostic de K. Mais qu’en est-il vraiment de cette « révolution » ? Le Tiers-Lieu Le FabLab Le Living Lab Les hackerspaces
Les Machines Fab Lab Aller au contenu Carrefour numérique² - fablab Outils d'utilisateurs Outils du Site Vous êtes ici: AccueilLes Machines Fab Lab machines:index −Table des matières Les Machines Fab Lab Découpe Laser Fraiseuses à commande numérique Imprimantes 3D Machines à coudre Scanner 3d Scanner 3 D : David Laser SLS-2 Tours Tour métal Proxxon PD 400 CNC Vinyle Machine stationnaires Autre machines/index.txt · Dernière modification: 2017/10/21 13:45 par bumblebee Outils de la Page Universcience - Carrefour numérique² - @CarrNum - Cité des sciences et de l'industrie - 30 avenue Corentin Cariou 75019 Paris Sauf mention contraire, le contenu de ce wiki est placé sous la licence suivante : CC Attribution-Share Alike 3.0 Unported
La Fabrique Beaubois | Collège Beaubois La Fabrique est un concept unique dont l’idée de départ a grandement évolué grâce à l’apport de la vingtaine de personnes qui, réunies en comité à l’automne 2015 et à l’hiver 2016, auront donné une saveur purement locale au projet. Voici ce qui en fait un concept unique : Il s’agit d’un espace de fabrication numérique, où les élèves sont actifs dans leurs apprentissages à différents stades d’un processus de création : idéation, conception, fabrication, rétroaction, évaluation, réalisation et diffusion. Et tant qu’à y être, pourquoi ne pas commercialiser les créations de nos élèves? Il y aura effectivement une grande place à l’entrepreneuriat étudiant.Un rare lieu dans une école où l’erreur et l’échec sont valorisés et qu’au travers le processus d’itération et de prototypage, l’élève trouve son chemin vers la réussite.Il s’agit d’un laboratoire vivant (living lab) où l’apport de la communauté beauboisienne élargie est sollicité. Visionnez ces clips réalisés par nos élèves
La section Jeux vidéo, c’est qui ? Pourquoi ? | Une médiathèque sur les rails A la bibliothèque Václav Havel, il y a une section jeux vidéo. Improbable, impensable et incroyable. Comment choisissons-nous nos jeux ? Bienvenue dans notre univers, celui des pixels, des « frags », du « skill », du plaisir et du partage avant tout. Qui sommes nous ? Nous sommes trois, chacun de sexe différent, trois bibliothécaires à tenir les rênes du pole. Pourquoi du jeu vidéo dans les bibliothèques ? Une question qui n’a pas fini de faire débat… Mais on peut toujours s’appuyer sur ceci : Le jeu vidéo est un produit culturel à part entière même si son objectif premier est de divertir. Extraits de : Petit guide pratique sur les jeux vidéo en bibliothèques Qu’en sera-t-il à Václav Havel ? Ne pas uniquement penser le jeu vidéo comme moyen de rendre une bibliothèque agréable : Penser le jeu vidéo comme une véritable collection, aussi légitime que toute autre, et non pas juste comme une vitrine, pour attirer les ados. De quel matériel disposons-nous et comment sont choisis les jeux ?
Le Living Lab couleur Carrefour Numérique² Chargée de projet du Living Lab du Carrefour Numérique², Laurence Battais est souvent interrogée sur ce concept, peu connu en France et plus abstrait que le Fab Lab. Voici une petite synthèse pour mieux l’appréhender. Peu connu en France, abstrait, complexe, le concept de Living Lab valait plus que quelques lignes dans le glossaire pour être cerné. Littéralement, un Living Lab est un laboratoire vivant, comme le disent sans honte nos ami·e·s les Québécois·e·s, ce qui évite un anglicisme de plus en « lab » qui fleure bon le bullshit bingo. Pour éviter un abus de jargon à base de co-blah blah, on dira simplement que les laboratoires vivants pratiquent l’innovation ouverte en incluant les usager·e·s le plus en amont possible. Il y a plusieurs points communs d’un lieu à l’autre, détaille Laurence, chargée de projet Living Lab (et qui a déjà répondu 42 fois à la question “c’est quoiiiiii un Living Lab ?”) Test d’une application en cours de conception au Living Lab – mars 2013 Sabine Blanc
Fab Labs Québec FabLab en bibliothèque : Mode d’emploi En juin 2013, Gaëlle Bergougnoux, étudiante à l’Université de Montréal, qui se définit elle-même comme « apprentie bibliothécaire » a publié en juin 2013 sur le blog EspaceB des bibliothèques de Montréal 2 articles majeurs qui réfléchit sur la création de fablabs en bibliothèque : Un fab lab dans ma bibliothèque et Pour aller plus loin avec les Fab labs. Du troisième lieu au FabLab A partir du concept de troisième lieu défini par le sociologue Ray Oldenburg, l’auteure indique une définition plurielle du terme FabLab avant de s’intéresser à la création de FabLabs en bibliothèque publique à travers des exemples en Amérique du Nord qui montrent la diversité des approches et des espaces de création mis en place. Gaëlle Bergougnoux précise que pour monter un FabLab dans de tels lieux culturels nécessite un budget d’investissement de 10 000 à 50 000 Dollars US (pour 75 m2). Ressources sur les FabLabs en bibliotèques publiques Licence : Creative Commons by-nc-saGéographie : International
Mettre en place une offre de jeux vidéo en bibliothèque - Jeux vidéo et bibliothèques CD-Roms, jeux pour consoles, jeux en ligne ? Les trois supports sont possibles. Mais il faut savoir que le marché des jeux sur CD-Rom ou DVD-Rom est en perte de vitesse au profit des jeux pour consoles ou en ligne, en téléchargement ou non. Prêt à domicile ou consultation sur place ? Le prêt à domicile est à privilégier pour les CD-Roms dont les droits d'usage ont souvent été négociés dans ce but. Pour les jeux en ligne, une base de jeux jouables sur place sur des postes multimédia ou sur le site internet de la bibliothèque peut être proposée. Quelles consoles proposer ? Il existe actuellement sur le marché français deux types de consoles : les consoles de salon (Nintendo Wii et Wii U, Microsoft Xbox 360, Sony Playstation 3) et les portables (Nintendo DS-3DS et Sony PSP-PS Vita). Les consoles Wii, Wii U et Xbox 360 visent un large public, l'offre de jeux couvrant tous les genres et tous les âges. Quels jeux proposer ? Combien çà coûte ? Tout dépend du choix des jeux et des consoles.