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De quoi le bouton “like” de Facebook est-il le nom ? - L'actu Médias / Net

De quoi le bouton “like” de Facebook est-il le nom ? - L'actu Médias / Net
C'est un petit clic anodin en apparence, mais qui revêt pourtant de multiples significations. Pourquoi a-t-on besoin de signifier à son ami Facebook qu'on “like” son statut ou l'article qu'il a posté ? A l'occasion des 11 ans du réseau social, nous republions cet article. A l'ère du partage tous azimuts, le bouton « like » (ou « j'aime », en français) de Facebook n'est plus seulement cet incontournable thermomètre de popularité qu'il fut naguère, quand Mark Zuckerberg avait encore de l'acné. Le « like » américain C'est le « like » le plus courant, le « like » primaire, enthousiaste, pouce en l'air, œil torve et sourire bovin, sans malice, sans sorcellerie. Le « like » urticant Typiquement, le « like » de retour de soirée. Le « like » du dragueur On a rencontré une fille en soirée. Le « like » Tulius Detritus Non, jeune étourneau tombé de la dernière averse, le « like » n'est pas toujours gratuit et désintéressé. Le « like » du feignant Un « like » plutôt qu'une longue discussion.

Que dit votre photo de profil Facebook sur vous? Pour beaucoup d’internautes, la photo de profil de Facebook n’est qu’une contrainte sans grand intérêt, et pourtant, celle-ci peut apporter de nombreuses informations sur son propriétaire, parfois justifiées, mais pas toujours. Pour les personnes qui vous connaissent mal, ou ne connaissent qu’une partie de votre personnalité, ce qui est souvent le cas des collègues, votre avatar va leur apporter une information qui pourrait leur donner une autre vision de vous même, ce qui peut vous porter atteinte dans les relations, ou parfois les faciliter. Évidemment, nous sommes plus dans l’ordre du ressenti, du préjugé, mais le résultat est réel, votre image virtuelle est vraiment associée à votre image réelle. Prenons quelques exemples classiques : La photo webcam. Peut être n’aviez vous pas le temps de chercher parmi vos photos numériques celle qui vous mettait en valeur, mais pour vos amis et futurs amis sur Facebook, ça signifie que vous n’avez pas de vie sociale. La photo de vacances.

High-Tech : Anonymous ne soutient plus WikiLeaks Les hacktivistes regrettent l'instauration d'une zone payante sur le site de WikiLeaks et dénoncent les dérives de l'organisation de Julian Assange. Des documents accablants devraient bientôt être publiés. C'est la fin d'une histoire débutée fin 2010. À cette époque, les hacktivistes d'Anonymous avaient soutenu WikiLeaks, critiqué de toute part après la publication de télégrammes diplomatiques américains secrets, en conduisant plusieurs attaques par déni de service contre les sites de MasterCard, Visa et Paypal. Depuis lors, Anonymous n'avait cessé de défendre ce site et son fondateur, Julian Assange. Cette décision coïncide avec la mise en place sur le site de WikiLeaks d'un paywall (zone payante). «WikiLeaks veut forcer les donations» Sur Twitter, Anonymous a immédiatement protesté contre cette nouvelle manière de faire. Ce document fait comprendre que les relations entre les deux organisations étaient de plus en plus tendues. «C'est la fin d'une époque. «WikiLeaks a trahi Anonymous»

Marketing et médias sociaux : 1200+ exemples En suivant des conseils ça et là, vous avez élaboré une stratégie sur les médias sociaux. A l’heure de la mise en oeuvre opérationnelle, vous souhaitez faire un benchmark des meilleures pratiques. Ce qui serait bien, c’est d’avoir une base de données avec des cas réels d’entreprises : blogging, aggrégation de contenu, crowdsourcing, microblogging sur Twitter, chaîne vidéo sur YouTube, partage de photos sur Flickr, pages ou groupes Facebook, wikis. Imaginez qu’un gars ait eu l’idée un jour de créer un wiki répertoriant plus de 1200 exemples, avec des filtres par entreprise, par média, par secteur d’activité et par pays ? … oui, bon, d’accord mais il est où le lien ? … suspense… … Hitchcock, sort de ce blog ! Bon, après la pluie, le beau temps, après le teasing, le reveal : Pour info, le gars est consultant chez RG/A, il s’appelle Peter Kim, il blogue ici et il a lancé ce wiki, désormais édité par près de 80 contributeurs ! Merci qui ?

Le bouton "S'abonner" de Facebook : 5 choses à savoir Le bouton « S’abonner » rend le suivi non réciproque possible sur Facebook. Récemment dévoilé par Facebook, les abonnements vont quelque peu modifier les relations entre les utilisateurs du réseau social. En effet, il ne sera plus obligatoire d’ajouter quelqu’un à ses amis afin de recevoir ses mises à jours publiques. Cette nouvelle fonction « S’abonner » permet à la firme de Palo Alto de proposer une expérience similaire à ce qu’il se fait sur et . Cette nouveauté a pour but de faciliter le partage de l’information tout en gardant le contrôle de sa sphère privée de manière aisée. Il n’est pas illogique de penser que la quantité d’informations partagées avec plus grand nombre sera accrue par cette nouvelle fonctionnalité. Facebook tente ainsi d’augmenter son attractivité et de pousser les utilisateurs à passer plus de temps sur le réseau en leur permettant d’y récolter et d’y diffuser plus d’informations tout en cloisonnant les différentes sphères de leur vie. Interface Abonné </b>*}

Facebook, outil pour voyeurs et exhibitionnistes consentants Les réseaux sociaux ont été créés afin de nous permettre de faire des rencontres. Mais est-ce bien leur fonction ? Facebook est aujourd’hui le réseau social le plus fréquenté en France avec 22 millions d’abonnés mais des études récentes ont démontré que notre propension à développer de véritables amitiés sur Facebook était très faible. Facebook et les autres ne nous permettraient-il pas d'assouvir notre besoin de voyeurisme et d'extimité ? 130 ! L’utilisateur a donc en moyenne 130 amis, nous pouvons mettre en parallèle ce chiffre avec le nombre Dunbar qui est le nombre d’amis avec lesquels une personne peut entretenir une véritable relation. Or, Cameron Merlow, un sociologue travaillant pour Facebook, a publié dans une interview des chiffres qui contredisent cette affirmation. En effet, selon ce sociologue, notre proportion à avoir des relations stables sur Facebook, est faible. Facebook, et les autres, ne permettraient donc pas réellement de créer ou d’approfondir une relation. Sources

Les adolescents sur Twitter, acte I : "C'est histoire d'être 'in'" Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Michaël Szadkowski Cet article est le premier d'une enquête en deux volets : "Comment les adolescents utilisent Twitter". >> Lire la seconde partie : "Les adolescents sur Twitter, acte II : la mise en scène frénétique de soi" [Avis aux lecteurs qui ne comprennent pas tout à Twitter : cette présentation, que nous avions publiée en 2009, peut vous être utile pour l'article qui va suivre, de même que ce petit lexique du jargon employé sur le réseau.] Depuis une petite année, un phénomène n'a pas échappé aux utilisateurs de longue date de Twitter : les adolescents français ont déboulé sur le réseau. L'intuition était d'abord fugace, lorsqu'on a vu apparaître, au hasard des retweets et des mentions, des tweets au doux parfum du site Vie de merde focalisés sur la vie au lycée, les relations avec ses parents ou les révisions du bac, comme les exemples récents ci-dessous l'illustrent : L'impossibilité du nombre Bon. La découverte du réseau De nouvelles communautés

5 Key Facebook Factors That Marketers Love It was only 2 years ago when I first registered with Facebook and found friends from college and colleagues that I hadn’t seen in over 20 years. I think this feature of Facebook to almost magically reconnect you with old classmates after so long is what amazes and surprises people about this social media network. Connection with the past and Facebook’s other features have continued to provide many other motivations for people to stay signed on and and join up with its numbers growing from 132 million in June 2008 to an estimated 550 million today. So what are the 5 key factors that have driven this growth and marketers are tapping into that makes Facebook the social media marketing channel of choice for companies that has the potential to ignite viral marketing and spread a brands message across the entire global web. 1. Facebook’s ability to connect was what initially drove me to go online and register. 2. You can learn a lot about someone just by visiting their Facebook page. 3. 4. 5.

Sécuriser son compte Facebook Facebook n’a pas toujours été un modèle de sécurisation des données, c’est vrai, mais le réseau social propose tout de même plusieurs options (bien cachées) qui nous permettent de protéger un peu plus nos données et d’éviter ainsi que ces dernières ne tombent entre de mauvaises mains. Nous allons justement consacrer cet article à la question et vous pourrez ainsi trouver un peu plus bas quelques conseils qui vous permettront de mieux sécuriser votre compte Facebook. Si vous vous inquiétez pour la confidentialité de vos informations personnelles, privées, on peut donc dire que vous êtes bien tombés. Avertissement : Cette liste n’est bien évidemment pas exhaustive alors n’hésitez surtout pas à la compléter en indiquant vos propres conseils dans les commentaires à la suite de ce billet. Ca sert aussi à ça, l’internet mondial. Choisissez un mot de passe compliqué ! Ce conseil vaut évidemment pour n’importe quel compte, pour n’importe quel service, pour n’importe quoi.

RÉSEAUX SOCIAUX : UNE INTIMITÉ AMBIANTE Selon vous, la réussite ou l'échec social d'une identité numérique peut-elle avoir un impact réel sur la vie de son auteur ? Un blogueur à succès tire-t-il un réel bienfait de son activité de blogging ? Il n’y a qu’une seule réalité. Il n’y a qu’un seul monde. Bloguer peut être un réel bienfait. Un autre axe de compréhension est donné par ce que Philippe Lejeune a appelé le pacte autobiographique. Les médias parlent souvent de la réputation numérique en avançant l'idée que le partage d'une part de sa vie privée est un danger. La technique est toujours à mon sens une production sociale. Nous nous étonnons aujourd’hui du rapport à l’image des plus jeunes alors que nous les avons massivement photographiés, la plupart du temps sans prendre le temps et la peine de leur demander l’autorisation. Lorsque l’on y regarde de près, ce sont très rarement des éléments intimes qui sont partagés. La question de la vie privée inquiète beaucoup, surtout depuis l’article publié par Le Tigre.

Ma réponse aux «élites» qui détestent l'Internet Les Français n’aiment pas Internet (1). Est-ce le résultat d’une nouvelle enquête menée auprès de 85 internautes? Nan. En fait, précisons: les élites françaises n’aiment pas Internet. Enfin… les élites… Disons les gens dont on parle dans les médias. Florilège des propos anti-web classés par «métiers» publicité Les politiques Michèle Alliot-Marie, Le Figaro, le 5 septembre 2011 «A travers les blogs et les tweets, il y a une mise en cause des principes de l’information. Patrick Ollier, à Public Sénat le 23 février 2011 «Les .fr vont chercher des infos dans le caniveau.» Nadine Morano, le 15 août 2008 «Internet, c’est comme une magnifique voiture de course. La même à Rue89, le 8 mai 2008 «Ah, Internet, je déteste, c’est le temple des rumeurs et de la caricature.» Jacques Myard, à l’Assemblée nationale en décembre 2009 «J’espère que l’on va prendre conscience de la nécessité de nationaliser ce réseau.» Rassurez-vous, à gauche aussi Ségolène Royal, le 21 septembre 2009: Les gens de la télévision Oui. 1.

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