Comment sortir du triangle sauveur-victime-persécuteur ? Nous allons aborder la base des jeux psychologiques que nous jouons dans nos relations et qui se situe dans le triangle : sauveur, victime, persécuteur, qui nous montre combien il est difficile de sortir d’une situation relationnelle compliquée. En fait, nous jouons des rôles, le plus souvent de type “victime”. C’est-à-dire que ce qui nous arrive n’est pas de notre faute. Il y a un autre rôle qui peut être joué c’est celui de “persécuteur”. Lorsqu’on est dans un triangle, quand on a mis le pied dans l’un des rôles, souvent il faut se préparer à vivre tous les rôles et c’est comme ça que ça fonctionne ! Sortir du triangle SVP avec le pouvoir, la puissance, la permission. Related Posts
Les croyances limitantes (Partie 1) Bonjour à toutes et à tous, Je veux aborder avec vous le sujet des croyances. Pas les croyances religieuses (quoi que), mais plutôt ce que l’on croit au plus profond de soi et qui détermine notre façon d’être face aux évènements de la vie. J’aimerais que vous puissiez prendre conscience de l’importance des croyances dans votre vie. J’ai moi-même cherché sans relâche « mes croyances limitantes » quand quelque chose ne fonctionnait pas dans ma vie. Et comme vous le savez maintenant, tout commence par un processus intérieur. Qu’est-ce qu’une croyance, quand et comment se forme t-elle ? Une croyance est un postulat de départ, une pensée « racine » à laquelle on croit. Cette conclusion va s’avérer être positive ou négative selon le contexte ou l’histoire, et va s’imprégner dans notre esprit avec plus ou moins de force et de puissance, surtout selon notre âge. Cette déduction va devenir notre vérité, notre croyance. - Faut pas rêver ! - La vie est dure - Je n’y arriverais jamais Be Sociable, Share!
10 RAISONS COURANTES POUR NE PAS SE LANCER ET RESTER DANS NOTRE ZONE DE CONFORT ! EmailShare 1EmailShare Nous rêvons tous de réussir dans la vie, atteindre nos objectifs, réaliser nos rêves. Mais le temps passe tellement rapidement. Mais il est vrais aussi, qu’il n’est pas facile de se remettre en question, de se lancer dans des projets susceptibles de nous sortir de notre «zone de confort» (même si la vie de tous les jours est difficile, nous la connaissons alors que l’inconnu peut nous effrayer d’avantage.) Comment cela se passe t’il ? Pourquoi nous ne réalisons pas les choses qui nous semblent importantes ? Quelles en sont les raisons et bien sûr, y a-t-il des solutions ? Voici ce que je peux en dire : Je n’ai pas décidé d’écrire cet article seulement pour vous, mais pour moi également. Mais ça ne se passe pas toujours comme cela malheureusement et ce n’est pas le cas pour tout le monde. Voici ci-après, une liste de « raisons » généralement toutes trouvées, pour des situations précises. Raison numéro 1 : Je n’ai pas le temps ! Nos projets nous sont directement liés.
Les croyances limitantes (Partie 2) Bonjour à tous ! Comme promis, dans cette deuxième partie consacrée aux croyances, nous allons essayer de démasquer les croyances qui nous limitent et qui nous gâchent la vie et tenter de s’en débarrasser. 1- Comment démasquer une croyance limitante ? Comme je l’ai expliqué plus en détail dans la partie 1 Les croyances limitantes (Partie 1) , les croyances limitantes se forment d’une manière tout à fait insidieuse, à partir d’une déduction de ce que l’on a vécu. Comme nous sommes rarement conscients de ce à quoi nous croyons au plus profond de nous, il est très difficile de se dire : « C’est parce que je crois ça, qu’il m’arrive ça ». Donc, pour démasquer notre croyance limitante, nous allons devoir prendre le problème à l’envers : Au lieu de chercher à comprendre quelle peut bien être cette satanée croyance, nous allons déjà observer le domaine de notre vie qui ne fonctionne pas. Comprenez bien l’intérêt de faire ce travail : Une croyance se réalise et devient notre réalité. Exemples etc…
OrganisationPersonnelle, Pour une Vie Professionnelle Efficace et Sereine Quels apports des Neurosciences dans la pratique du coaching Ma formation au Coaching a été faite auprès de l’organisme Result Coaching Systems qui intègre les avancées des Neurosciences dans la pratique du coaching. Je souhaite aujourd’hui partager avec vous quelques apports significatifs des Neurosciences dans la pratique du coaching. Ce que l’on cherche à faire en coaching, c’est à créer du changement et des nouvelles bonnes habitudes pérennes c’est-à-dire à créer de nouvelles connexions cérébrales. Or on se rend compte que la motivation et l’information ne suffisent pas à créer du changement. Car il est bien plus complexe que ce que l’on pense et fait appel à de nombreuses zones cérébrales et celles-ci peuvent nécessiter plus ou moins d’énergie pour fonctionner. Les Neurosciences par leur éclairage sur les fonctionnements du cerveau permettent un changement plus efficace et moins douloureux. Le changement a une influence directe sur une zone du cerveau, en particulier sur le cortex préfrontal, qui est assimilable au “processeur”.
L'alignement pour atteindre ses objectifs Un groupe, une entreprise, les systèmes en général travaillent plus efficacement lorsque chaque « équipe » qui le compose coopère et travaille vers l’atteinte d’un même objectif. De même, un individu peut fonctionner de façon plus efficace si chacune de ses composantes coopèrent. Cet alignement peut être obtenu en étant vigilant à différents niveaux. Le modèle des niveaux logiques est un modèle de la PNL créé par Robert Dilts à partir du travail de Gregory Bateson. Ce modèle est un moyen puissant de changement car il le découpe en différentes catégories d’information. Les règles pour changer les choses sont différentes à chaque étage de la pyramide. Changer à un niveau inférieur pourra avoir un effet à un niveau supérieur par contre changer à un niveau supérieur aura toujours un effet à un niveau inférieur. Environnement C’est le contexte dans lequel nous démontrons tous les éléments supérieurs. Voici quelques exemples de questions sur l’environnement : Où travaillez-vous le mieux ? Capacités
Les croyances les plus répandues que nous avons sur autrui (suite) Nous avions vu la semaine dernière cinq des dix croyances les plus répandues sur l’Autre. Voici cette semaine la suite de ce classement (qui, je le rappelle, n’en a que le nom) avec toujours à la clé une ou plusieurs pistes à explorer pour tenter de voir les choses un peu différemment. Certes, cette croyance pourrait s’apparenter à soi-même, mais elle débouche invariablement sur une autre croyance qui s’y attache tout naturellement: « … donc l’Autre a tort, à priori » J’avais partagé avec vous une expérience relative à cette croyance dans « La guerre des mondes« . Nous sommes ici en plein dedans. Là encore elle fait partie des croyances majoritaires chez nos semblables. Équipement de série, oui, mais avec un sacré vice de fabrication! Qui peuvent-ils être? Question: « Qu’est-ce qui vous fait dire que votre réalité est LA Réalité? En tout cas chez mon voisin, c’est une réalité; sa pelouse est nickel, pendant que la mienne ressemble à la savane africaine :-).
Exercices pour apprendre à piloter votre cerveau grâce à la PNL (Richard Bandler) Richard Bandler est le co-inventeur de la Programmation Neuro-Linguistique. Dans son livre « Un cerveau pour changer« , il nous propose quelques exercices pour apprendre à piloter notre cerveau. Pourquoi piloter notre cerveau ? Parce que nous avons la capacité d’influer sur nos pensées pour garder un moral au beau fixe et réussir ce que nous entreprenons. Mais rassurez-vous, si vous tenez absolument à tout voir en noir plutôt qu’en bleu ou en rose, la PNL est aussi faite pour vous. Avez-vous remarqué comme nous pouvons changer d’état d’esprit à la simple évocation d’un mauvais souvenir ? La Programmation Neuro-Linguistique nous permet de contrôler ces images qui affluent. En fait, nous avons dans notre cerveau une salle de cinéma. Nous possédons la faculté de maitriser précisément ce que nous imaginons. Exercice : Passons tout de suite dans le vif du sujet avec un cas pratique. Prenez un souvenir très déplaisant. 3) Profondeur : votre film est en 3D ? 6) Contraste : changez le contraste.
Comment détruire vos croyances limitantes ? | Les Outils du Mentaliste Dans le dernier épisode, nous avons vus qu’une croyance est une certitude. Une certitude que vous n’envisagez même plus de remettre en cause. Cette croyance s’appuie sur votre histoire, différentes expériences vous ont conduit à penser comme ça. Pour reprendre la table comme métaphore, une croyance s’appuie sur vos expériences qui représentent les pieds. Il faut donc remettre cette croyance en cause, pour supprimer ce sentiment de certitude. Vous avez eu le temps de faire votre liste des croyances qui vous limitent ? Pour complètement la détruire, je vous conseille de suivre la procédure qu’indique Anthony Robbins, dans son livre L’éveil de votre Puissance Intérieure. La méthode que je vous propose se déroule en 3 étapes : Remettre en cause votre croyance par 7 questionsLa remplacer par son antithèse« Conditionner » votre comportement par des visualisations A vous de casser les pieds ! En quoi cette croyance est-elle ridicule ou absurde ? Prenez le temps de bien répondre.
Qu’est ce que l’empathie ? - Entretien motivationnel | Entretien Motivationnel Carl Rogers a été le premier psychothérapeute à mettre en lumière le rôle essentiel de la relation dans l’efficacité thérapeutique. Dans des publications parues entre 1940 et 1950, il décrit ce qu’étaient, selon lui, les trois conditions critiques permettant aux thérapeutes de promouvoir l’auto-actualisation de leurs patients : avoir une attitude de compréhension empathique, faire preuve d’une estime positive et sans condition, être en congruence. Ces dernières années, de nombreuses études concernant l’efficacité thérapeutique ont été menées, avec pour certaines des résultats surprenants. Plutôt que de chercher à promouvoir de meilleures méthodes, la recherche nous indique que la clé du succès réside dans l’habileté du thérapeute à établir une bonne alliance avec son patient. Quelle que soit la méthode, le profil des patients, le problème ou l’étape de changement qui étaient adressés, l’empathie avait un rôle déterminant. Définir l’empathie Les deux facettes de l’empathie
Les 7 degrés de maturité émotionnelle | Le Blog de l'Efficacité pro Quand faut-il utiliser les degrés de maturité émotionnelle ? Lorsque la demande de votre interlocuteur n’est pas formulée clairement parce qu’elle est masquée par l’expression verbale, para verbale ou non verbale d’une émotion [1]. Les 7 degrés de maturité émotionnelle[2] Les 7 degrés de maturité émotionnelle, issus de l’intelligence émotionnelle, peuvent vous aider à clarifier la demande de votre interlocuteur. Une forte maturité émotionnelle suppose de la part de sa part une capacité à : Comprendre l’émotion et lui donner son sens. A cet effet, l’analyse transactionnelle distingue 5 émotions de base : 2- Exprimer avec justesse ses émotions et son besoin. 3- Formuler une demande claire à la personne. Adaptez votre mode d’intervention en fonction du degré de maturité émotionnelle Vous identifiez le niveau de maturité émotionnelle exprimé et vous intervenez pour aider votre interlocuteur à clarifier sa demande. Degré 1 : déni de l’émotion et du déclencheur. Les apports de la CNV 1. 2. 3. 4.
ACT Thérapie d'acceptation et d'engagement - Hexaflex - Psyris La Thérapie d’Acceptation et d’Engagement (de l’anglais Acceptance and Commitment Therapy, ACT) est une thérapie issue de la philosophie contextualiste et de la théorie des cadres relationnels. Elle considère que la plupart des problèmes rencontrés par un individu est liée à (1) l’évitement expérientiel, (2) un usage excessif des règles au détriment des contingences environnementales pour guider le comportement et (3) un manque de clarté concernant les valeurs personnelles fondamentales ainsi qu’un déficit de l’habileté à s’engager dans leur direction. D’une manière générale, la mission du thérapeute ACT est de diminuer l’impact de la fusion cognitive et des règles verbales au profit d’un contact avec l’expérience psychologique directe, sans besoins de se protéger, et d’encourager les actions en direction des valeurs choisies par la personne. L’Hexaflex L’Hexaflex est un hexagone dont les 6 cotés représentant les 6 dimensions de l’ACT. La première dimension est le rapport au temps.
Les clichés sur les Français Les clichés sur les français, sont monnaie courante, et sont pour la plupart du temps récurrents, comme nous le montre la vidéo suivante : En plus de ces stéréotypes, nous avons pu recenser les idées communes sur les français suivantes : Les français(e)s : Aiment la culture, et plus particulièrement leur patrimoine (gare à celui qui critique un monument !)Travaillent peu et sont fainéants, car ont beaucoup de vacances, de Rtt…Râlent beaucoup.Sont des coureurs de jupons.Sont arrogants/ égocentriques/ prétentieux.Ne savent pas/ ne veulent pas parler anglais, et n’aiment que la langue française.Sont froid et peu avenants envers les étrangers.Sont radins.Mangent bien, et équilibré Tous ces clichés ont une provenance plus ou moins connue, et viennent souvent des histoires communes entre nos nations (les conflits entre l’Angleterre et la France par exemple…). Un petit exercice pour commencer ! Et non, les clichés ne sont pas seulement l’apanage des étrangers ! Connaissiez vous ces clichés ?