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Se débarrasser de ses croyances limitantes avec la PNL

Se débarrasser de ses croyances limitantes avec la PNL
“Je n’y arriverai jamais”, “Ce n’est pas possible”, “Je ne suis pas digne de”, “Je ne peux faire confiance à personne”, “J’aurais pu mieux faire”, “Je ne prends jamais les bonnes décisions”, “Je ne suis pas créatif”… Toutes ces petites phrases qui parasitent l’esprit et favorisent les mécanismes d’auto-sabotage sont désignées en PNL (Programmation NeuroLinguistique) par le terme de “croyances limitantes”. Les croyances limitantes sont généralement acquises dans l’enfance, avant 7 ans mais peuvent être également le résultat d’expériences ultérieures. Elles influent directement sur le comportement, la performance, la communication et sont renforcées au fil des expériences négatives. Ce cercle vicieux peut être cassé e n remplaçant les croyances limitantes par des croyances positives, aidantes, et visant à atteindre l’excellence. Ces croyances positives sont désignées par le terme de “Présupposés de la PNL”. De nombreux Présupposés de la PNL existent, je vous propose la liste suivante : 1. 2. Related:  psychologue

Marjorie Llombart, coach : « La chasse aux ‘’croyances limitantes’’ permet de prendre sa vie en main et d’en devenir l’acteur » | Les Nouveaux Audacieux Pour la deuxième fois, le blog reçoit Marjorie Llombart, experte auprès des femmes à la recherche du métier qui les fait vibrer. Souvent confrontée à des cas où les propres croyances des personnes se révèlent des freins majeurs au changement, la coach a accepté d’évoquer ce sujet pour Les Nouveaux Audacieux. Entretien autour de ces pensées négatives qui peuvent arbitrer la réussite ou l’échec d’une reconversion. Qu’appelez-vous une « croyance limitante » ? Pour commencer, j’aime à citer une pensée du Dalaï Lama : « Sème une pensée, tu récolteras un acte ; sème un acte, tu récolteras une habitude ; sème une habitude, tu récolteras un caractère ; sème un caractère, tu récolteras une destinée ». Autrement dit, pour changer les résultats de ses actions, il faut commencer par changer ses pensées, ses croyances. Pourquoi ces croyances « limitantes » sont-elles si puissantes ? Quelles sont les grandes familles de « croyances limitantes » ? Comment reconnaître à coup sûr une croyance limitante ?

Top 10 des croyances sur soi Vous connaissez mon intérêt pour les croyances, que je considère être la pierre angulaire dans tout processus de changement. Pour rappel, une croyance est une pensée construite et très personnelle dont nous avons l’intime conviction qu’elle est valide, vraie, réelle, authentique et véritable et qui nous sert de repère dans nos actes quotidiens, notre vision du monde, nos jugements sur nous-mêmes, les autres ou le temps. Parfois, voire même souvent, nos freins, nos blocages, nos difficultés quotidiennes sont issues de certaines de ces croyances qui se qualifient alors de limitantes. A noter qu’il n’y a pas une croyance plus limitante qu’une autre; elles le sont toutes à priori et à des degrés divers pour chacun. Ah! Question: « Comment pouvez-vous essayer quelque chose de nouveau en respectant votre besoin de sécurité? J’en connais qui ont été poursuivi en justice pour discrimination et pour moins que ça :-). Déjà, la réussite est un concept trop vague pour s’y appuyer assurément.

PNL : Les Croyances - idf-coaching.com 1998 – Séminaire de Robert DILTS Les 3 domaines les plus courants de croyances limitantes sont ceux qui concernent le manque d’espoir (ce n’est pas possible), le manque de confiance en ses capacités (je ne suis pas capable) et le manque de mérite (je ne suis pas digne de…). Ces 3 domaines peuvent avoir une influence déterminante sur la santé physique et mentale d’une personne. 1. Le manque d’espoir : la personne croit que, quelles que soient ses capacités, ce but est impossible à atteindre. 2. 3. On parle de manque d’espoir lorsqu’une personne pense que le but concerné n’est pas atteignable. On parle de manque de confiance en ses capacités lorsqu’une personne pense que, même si le but est possible à atteindre, elle-même n’est pas capable d’y arriver. On parle de manque de mérite lorsque la personne croit que, bien que le but soit possible à atteindre et bien qu’elle en ait les capacités, elle ne mérite pas d’obtenir ce qu’elle veut. « Je suis incapable et indigne, je suis une victime ».

Une journée avec Otto Scharmer | Christine Koehler A l’occasion de la sortie en France du livre d’Otto Scharmer, La Théorie U, Diriger à partir du futur émergent, Génération Présence et SOL France avaient organisé la semaine dernière une journée avec Otto Scharmer à Paris. J’y étais. Qui est- Otto Scharmer ? Que veut-il ? Maître de conférence au MIT, fondateur du Presencing Institute, Otto Scharmer cherche à comprendre ce qui met en mouvement les systèmes complexes et les conduit à réussir ou pas leurs processus de changement. Il a introduit le concept de “presencing”, qui, mélange de présence et de ressenti, est un état d’attention particulier permettant aux personnes et aux groupes d’agir sur leur qualité de présence et de s’ouvrir au futur émergent. Le déroulement de la journée Les concepts A partir de là, Otto Scharmer nous a posé quelques questions fondamentales : • Comment les parties (par exemple les bribes de connaissances individuelles) se connectent-elles au tout ? Pour en savoir plus sur la Théorie U (VO anglais) : video MIT.

Définitinion: Stéréotype Dessins illustrant l'« Indigenous races of the earth » (1857) de Josiah C. Nott et George Gliddon. Exemples de stéréotypes concernant les femmes et les Italiens. Stéréotype fondé, sur les Pays-Bas : des moulins et des vélos. En sciences humaines, un stéréotype désigne l'image habituellement admise et véhiculée d'un sujet dans un cadre de référence donné ; cette image peut être négative, positive ou autre, mais elle est souvent caricaturale. Psychologie[modifier | modifier le code] Définition et caractéristiques[modifier | modifier le code] En psychologie sociale, un stéréotype est : une croyance qu’une personne entretient au sujet des caractéristiques des membres d’un exogroupe ;une généralisation touchant un groupe de personnes et les différenciant des autres. Selon Jacques-Philippe Leyens, les stéréotypes se définissent comme des « théories implicites de personnalité que partage l'ensemble des membres d'un groupe à propos de l'ensemble des membres d'un autre groupe ou du sien propre »[2].

Que nous dit la science des addictions ? De nombreuses zones du cerveau peuvent être affectées par les substances psychoactives et avec elles les « fonctions » psychiques et physiques qu’elles activent : raisonnement, mémoire, sensations, vision, coordination, douleur. Le circuit de la récompense occupe un rôle central dans la mise en place et le maintien d’une addiction. Trois systèmes de neurones (dopaminergiques, sérotoninergiques et noradrénergiques) interviennent pour réguler le circuit : le dysfonctionnement de l’un d’entre eux peut générer l'addiction. Les substances psychoactives perturbent la transmission entre les neurones des « informations » responsables de nos perceptions, sensations, émotions, humeurs. L’information qui circule entre les neurones par l’intermédiaire des neurotransmetteurs (substances secrétées par le neurone) est comme brouillée, les perceptions changent, les sensations sont aiguisées ou atténuées. Circuit d’information entre deux neurones Le système endocannabinoïde

Rationalité limitée Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La rationalité limitée est un concept utilisé en sociologie et en micro-économie. Il porte sur l'étude du comportement d'un individu (ici appelé acteur) face à un choix (l'achat d'un produit,...). En d'autres termes, l'acteur est rationnel (s'il préfère A à B et B à C, on peut en déduire qu'il préfère A à C). On s'écarte alors de l'un des postulats premiers de la micro-économie, qui veut que l'acteur soit pleinement rationnel concernant la situation envisagée. Ce concept a été forgé par Herbert A. Thèse de Simon[modifier | modifier le code] Simon va développer à partir des hypothèses des courants néo-classiques une construction éthologique du processus de décision dans l’entreprise et focalise ce processus sur l’acteur et non plus sur l’hypothèse de la main invisible de la concurrence. Premier déblocage[modifier | modifier le code] Le comportement de l’homme est induit par l’information. Deuxième déblocage[modifier | modifier le code]

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