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FRANCE ADOT - La loi sur le don d'organes, les greffes et transplantations

FRANCE ADOT - La loi sur le don d'organes, les greffes et transplantations

FRANCE ADOT - Tout savoir sur le don et les greffes d'organes Qu'est-ce qu'une greffe ? Une greffe est la mise en place dans le corps humain d'un organe étranger qui lui est devenu nécessaire. On parle aussi de transplantation On greffe : Pour remplacer ou suppléer un organe en défaillance sévère et irréductible,et dont la fonction est vitale Pour permettre à un malade de retrouver une existence normale. Une autogreffe est une greffe dans laquelle le greffon provient du sujet lui-même. Quels sont les tissus et les organes que l'on greffe ? Prélevés de son vivant (plus de détails) : Essentiellement les Cellules Souches Hématopoïétiques (ou moelle osseuse, donneurs familiaux ou non) Rein, entre proches du cercle familialPeau Fragments osseuxLobe hépatique et lobe pulmonaire (exceptionnellement) Prélevés après la mort : CœurFoieReinCœur-poumonPoumonPancréasOs - cartilageCornée (partie transparente du globe oculaire, située devant l'iris - on ne prélève pas l'oeil)PeauIntestin (rarement) Depuis quand greffe-t-on ? Premières transplantations en France : Il faut :

Don d'organes et greffes Chaque année, plus de 4 700 greffes d’organes sont réalisées en France, et on estime que près de 40 000 personnes vivent grâce à un organe greffé. Mais ce sont plus de 14 400 malades qui chaque année ont besoin d’une greffe d’organe. Voici quelques explications sur ce qu’est une greffe, les conditions pour donner un organe, la législation sur le don, et le déroulement d’une greffe. Ce dossier est réalisé en partenariat avec l’Agence de la biomédecine.Pour en savoir plus, consulter le site de l'Agence de la biomédecine ou le site spécifique www.dondorganes.fr La greffe d’organe en France Cette technique médicale est de mieux en mieux maîtrisée, avec des résultats en termes de durée et de qualité de vie en constante progression. Le principal obstacle à la greffe est le manque persistant d’organes disponibles, malgré la hausse des prélèvements. Qui est concerné par la greffe d'organes ? Un organe est une partie du corps qui remplit une ou plusieurs fonctions bien déterminées.

Les greffes cutanees ou cutanées Aller directement : allogreffe, modalités, les prélèvements, Les problèmes, Greffe d'Os Les brûlures Une brûlure est une atteinte de la peau voire des tissus sous-jacents, sous l'effet de différents agents en particulier thermiques, électriques et chimiques.Le diagnostic repose sur l'évaluation de la surface du corps atteinte, exprimée en pourcentage, et sur celle de la profondeur des lésions, exprimée en degré du 1er au 3ème. Ce traumatisme est encore aujourd'hui un des plus graves que puisse subir un être humain : la mortalité reste importante en dépit des progrès thérapeutiques et il persiste très souvent des séquelles dramatiques. Les autogreffes cutanées Il est évident que plus la surface brûlée augmente, plus l'étendue des surfaces où il est possible de prélever de la peau diminue. Allogreffes cutanées Les allogreffes cutanées sont utilisées pour soigner les grands brûlés. Rôle des allogreffes cutanées Cadre des prélèvements et de l'utilisation Modalités d'utilisation Note Lexique

Le don, le prélèvement et la greffe d’organes : une priorité nationale, un enjeu pour l’Agence Mis à jour le : 23.10.13 En 2012, plus de 16000 patients ont été inscrits en liste d’attente d’une greffe d’organe mais seulement 5 023 d’entre eux ont été greffés. La loi de bioéthique, modifiée le 7 juillet 2011, a fait de la question du don d’organes une priorité nationale. Quand on parle de don de tissus, il s’agit le plus souvent du don de cornées (fines membranes situées à la surface des yeux). Le prélèvement et la greffe d’organes, et de tissus, constituent la mission historique de l’Agence de la biomédecine dans la continuité de l’Établissement français des greffes dont elle est issue. La loi sur le don d’organes en France, est celle du « consentement présumé », c’est à dire que la loi prévoit qu’en principe tout le monde est donneur d’organes après la mort : ne pas s’inscrire au registre national des refus, ou ne pas en parler à ses proches, c’est accepter de donner ses organes.

Greffe et don d'organe : le rejet de greffe La principale complication de la greffe d'organe est le phénomène de rejet. Ce rejet va dépendre essentiellement de la réaction immunologique du Receveur contre l'organe greffé. Cette réaction de défense immunologique développée par le Receveur est très proche de celle générée au cours de la défense contre une infection. Elle met en jeu des cellules (essentiellement les lymphocytes T), des anticorps, et la production de médiateurs solubles qui participent à cette réaction (les cytokines). Les cibles du rejet Les cibles de la réaction immunologique de rejet sont les antigènes de transplantation propres au Donneur et portés par le greffon. Les principaux antigènes de transplantation sont les antigènes d'histocompatibilité, appelés antigènes HLA. Les différentes formes de rejet Plusieurs formes de rejets existent. Dans tous les cas, ces rejets mettent en péril la fonctionnalité du greffon. Le rejet aigu: il survient à partir du 4è jour post-greffe. La prévention du rejet

Fondation Greffe de Vie, pour le don d'organes et la greffe LOI no 2011-814 du 7 juillet 2011 relative à la bioéthique (1) Art. "Le prélèvement d'organes sur une personne dont la mort a été dûment constatée ne peut être effectué qu'à des fins thérapeutiques ou scientifiques. Ce prélèvement peut être pratiqué dès lors que la personne n'a pas fait connaître, de son vivant, son refus d'un tel prélèvement. Ce refus peut être exprimé par tout moyen, notamment par l'inscription sur un registre national automatisé prévu à cet effet. Si le médecin n'a pas directement connaissance de la volonté du défunt, il doit s'efforcer de recueillir auprès des proches l'opposition au don d'organes éventuellement exprimée de son vivant par le défunt, par tout moyen, et il les informe de la finalité des prélèvements envisagés. Les proches sont informés de leur droit à connaître les prélèvements effectués." « L’agence de la biomédecine est avisée, préalablement à sa réalisation, de tout prélèvement à fin thérapeutiques ou à fins scientifiques. registre des refus

La législation en matière de don d'organes Les principes aujourd’hui applicables en France en matière de dons d’organes sont principalement issus de la loi bioéthique du 6 août 2004. 1 – Définition des organes : L'organe humain peut se définir comme une partie du corps humain destinée à remplir une fonction propre ou nécessaire à la vie (v. par ex., Larousse classique). La loi distingue d’une part : Les organes : le cœur, les poumons, les reins, le foie, le pancréasLes tissus : la peau, les os, la cornée, les valves cardiaques, la moelle osseuse, etc. Le corps humain, support de la personne, est en principe inviolable et indisponible. L'intérêt que présente leur utilisation repose principalement sur le développement des greffes ou transplantations d'organes. 2 – Evolutions législatives : Loi du15 novembre 1887 toujours en vigueur, sur la liberté des funérailles : Le droit admettait depuis 1887 qu'une personne capable puisse régler par testament (et donc volontairement) le sort de sa dépouille mortelle. 1 – Le consentement

Greffes transplantation - Les lois encadrant le don d'organes Quand et comment doit-on préciser sa position vis-à-vis du don d'organe ? Comment est porté le diagnostic de mort encéphalique ? Peut-on donner de son vivant ? Est-il possible de connaître le receveur d'une greffe ?. Découvrez le cadre législatif encadrant le don d'organe. Le cadre législatif du don d'organe repose sur quelques grands principes. Accepter ou refuser : le principe du consentement présumé Selon la loi de bioéthique de juillet 1994 revue en 2004, toute personne majeure est considérée comme consentante au prélèvement de ses organes et tissus après sa mort si elle n'en a pas manifesté de refus de son vivant. Si la personne refuse de donner ses organes après sa mort, ce refus peut être exprimé par l'indication de sa volonté sur un registre national automatisé prévu à cet effet. Le taux de refus est relativement stable et oscille toujours autour de 35 %. Le diagnostic très encadré de mort encéphalique Qui peut bénéficier des greffons disponibles ? Donner de son vivant David Bême

Le prélèvement et la greffe - Dons, prélèvements et greffes : que dit la loi ? Les lois de bioéthique du 29 juillet 1994 et du 6 août 2004 encadrent le don, le prélèvement et la greffe d’organes, de tissus et de cellules . Trois principes majeurs ont été posés dans un souci de respect de la personne : la gratuité du don, l’anonymat entre donneur et receveur, et le consentement présumé. La gratuité du don Pour garantir le respect de la dignité humaine, la loi interdit que l’on vende ou que l’on achète les éléments du corps humain. L’anonymat du don La loi déclare aussi que le don est anonyme. Ce principe paraît nécessaire pour éviter toute pression psychologique, affective et financière entre la famille du donneur et le receveur. Le consentement présumé pour le don d’organes et de tissus après la mort D’après la loi, toute personne est considérée comme consentante au don d’éléments de son corps après sa mort en vue de greffe. Toutefois la loi prévoit la possibilité de s’opposer au don en s’inscrivant sur le registre national des refus.

Ce site est une association pour le don d'organes et de tissus humains by alienorines Oct 2

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