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Détroit passe au vert

Détroit passe au vert

Hantz Farms | World's Largest Urban Farm Planned for the City of Detroit Producteurs Locaux L’autosuffisance agricole des villes, une vaine utopie ? - La vi N’en déplaise aux architectes qui rêvent de potagers verticaux, aucune ville au monde n’est en mesure d’assurer son autosuffisance alimentaire en l’état actuel des savoir-faire de notre civilisation. En revanche, cette autosuffisance peut être imaginée à l’échelle d’une région urbaine impliquant au minimum sa périphérie rurale. On peut dès lors se demander quelle doit être l’échelle de cette région et dans quelle logique spatiale elle doit être comprise. À ces deux types d’espaces correspondent deux types de proximité. Pour que la notion de ville autosuffisante ne se réduise pas à une vaine utopie mais puisse au contraire être le moteur de projets urbains cohérents, il est important de cerner cette question de l’espace de la ville et de son échelle, ce que nous proposons d’esquisser ici du point de vue de sa relation à l’agriculture. Quelles échelles pour l’autosuffisance alimentaire ? Quelle autosuffisance environnementale et paysagère ? Réinventer les liens entre ville et agriculture

» L’association DiaCrisis Créée en 2011, l’association Loi 1901 DiaCrisis a été déclarée à la préfecture de Paris le 14/7/2012. Le mot DiaCrisis est formé à partir du préfixe grec Dia, “en traversant”, comme dans Diaphane, Dialogue, Diatribe, Diagonale, Diamètre… DiaCrisis a donc pour but de nous aider à traverser les crises qui sont devant nous… J’ai choisi la forme associative, car elle correspond à l’esprit que je souhaite donner à ce blog, puisque ma démarche n’est pas à but lucratif. Son objet social est le suivant : L’association a principalement un caractère philanthropique, scientifique et éducatif, et vise à la promotion et à la défense de l’intérêt général.Elle a pour objet :la recherche, l’information et l’éducation du public à propos des crises de toute nature auxquelles est ou sera confrontée notre Sociétél’amélioration des moyens dont elle dispose pour les comprendre, en diminuer l’ampleur et les gérer. Elle se veut finalement une sorte “d’association des lecteurs du blog”. L’adhésion

Comment reconvertir son usine en ferme écologique ? Publié sur Bastamag.net Que faire des friches industrielles laissées en désuétude ? Aux États-Unis, plusieurs usines abandonnées sont reconverties en ferme d’agriculture urbaine. Objectif : produire des aliments sains à proximité des villes et de manière quasi auto-suffisante, tout en créant des emplois. Reportage à Milwaukee dans une ferme en aquaculture. Consommer du poisson provenant du lac Michigan comporte un « risque élevé ». À proximité de l’immense lac Michigan, une ferme urbaine s’est lancée en 2009 dans l’élevage de poissons et de légumes en aquaculture. Viser l’autosuffisance L’ancienne usine est devenue un véritable écosystème en quasi autosuffisance. À l’extérieur du bâtiment s’étend un compost de plusieurs mètres de haut sur près de 800 m2. « Les copeaux de bois ont été mélangés à du marc de café, des déchets d’origine végétale, des graines provenant des distilleries alentour, explique James Godsil. Reconvertir les usines abandonnées Sophie Chapelle

Code général des impôts, CGI. - Article 200 1. Ouvrent droit à une réduction d'impôt sur le revenu égale à 66 % de leur montant les sommes prises dans la limite de 20 % du revenu imposable qui correspondent à des dons et versements, y compris l'abandon exprès de revenus ou produits, effectués par les contribuables domiciliés en France au sens de l'article 4 B, au profit : a) De fondations ou associations reconnues d'utilité publique sous réserve du 2 bis, de fondations universitaires ou de fondations partenariales mentionnées respectivement aux articles L. 719-12 et L. 719-13 du code de l'éducation et, pour les seuls salariés des entreprises fondatrices ou des entreprises du groupe, au sens de l'article 223 A, auquel appartient l'entreprise fondatrice, de fondations d'entreprise, lorsque ces organismes répondent aux conditions fixées au b ; c) Des établissements d'enseignement supérieur ou d'enseignement artistique publics ou privés, d'intérêt général, à but non lucratif ; d) D'organismes visés au 4 de l'article 238 bis ; 1 bis. 2.

Partageons un jardin à cultiver Le projet : En quoi consiste votre projet ? Ce projet vise à créer un jardin partagé au sein du quartier de Bécon, à Courbevoie (92) afin de dynamiser ce quartier et de fédérer ses habitants autour d’une activité saine et écologique. Au bout de six mois d’exploitation, nous souhaiterions jumeler le jardin et les expériences avec celles des jardins partagés du XXème arrondissement en créant des weekend d'animations C'est un jardin de proximité animé par une association qui propose des activités collectives de jardinage développant l'éducation, l'insertion et la création de lien social en favorisant la biodiversité.C'est un lieu ouvert sur le quartier qui favorise les rencontres entre les générations et les cultures. Il permet de tisser des relations entre les différents lieux de vie de l'arrondissement : écoles, maisons de retraite, hôpitaux... Un tel jardin est confié à une association par convention pour une durée limitée (1 an renouvelable jusqu'à 5 ans). Fonctionnement:

Future of Food Trends: How Technology Will Decentralize the Global Food System How do we create a sustainable food system in the face of growing population pressures, changing weather patterns, declining natural resources, and a sharp decline in soil health? This is one of the questions asked at the second annual National Sustainable Food Summit in Sydney, where visionaries came together for dialogue about how we can co-create the future of Australia’s food system. It should be no surprise that information technology played a central role in the conversation. Peer-to-peer sharing, traceability and enterprise software are just a few of the ways technology is catalyzing a flexible, resilient and sustainable food system. With food tech as a catalyst, the possibility of an interconnected web of localised food systems within a bigger global food system seems possible. The food system, much like other industries around the world, is one of the next major industries that will become decentralised and democratized thanks to the Internet and peer-to-peer trading.

Envie de paysans | Pas de bonne bouffe sans paysans ! Créer un marché de producteurs bio et locaux Acheter directement aux producteurs permet de mieux comprendre ce que nous trouvons dans notre assiette, comment cela est produit et par qui. Toutefois, s'il faut faire le tour des fermes pour faire ses courses, cela n'est ni pratique, ni écologique ! Qu'est-ce qu'un marché de producteurs bio et locaux ? De nombreuses communes organisent un marché spécifique pour les producteurs bio locaux, permettant de trouver en un même lieu les fruits, les légumes, le pain, les produits laitiers, la viande… Cela entraîne des gains de temps et de déplacements. Ces marchés fournissent également la possibilité de découvrir et déguster sur place les produits proposés et produits localement. Plusieurs études dans différents pays ont démontré qu'un repas moyen parcourait en moyenne 3.000 kilomètres, soit 25% de plus qu’en 1980. Quel impact sur le territoire ? En créant un marché de producteurs bio et locaux, vous : Comment mettre en place un marché de producteurs bio et locaux ? Ils l'ont fait !

Traçabilité des produits: cinq façons de manger local Après les scandales de la viande de cheval retrouvée dans des plats cuisinés et les problèmes de traçabilité des produits qui en découlent, il paraît de plus en plus difficile de savoir ce que l'on trouve dans nos assiettes. Une solution parmi d'autres existe pourtant pour y voir plus clair dans ce que l’on mange: les circuits courts. Ce mode de consommation alternatif a pour but de réduire les intermédiaires entre producteurs et consommateurs, de préférence en consommant des produits issus d’une agriculture locale. 1. Les Amap Les associations pour le maintien d’une agriculture paysanne (Amap) existent depuis des années. Ces dernières connaissent même un certain regain d'intérêt. 2. Réunir la plus grosse communauté possible de consommateurs autour de produits agricoles locaux et par Internet, c’est le principe de La Ruche qui dit oui! Cette entreprise sociale et solidaire a été fondée en 2010. 3. En octobre 2012 est né le tout premier “ drive-fermier ”. 4. 5.

Les hypers en bout de course(s) Il y a très exactement un demi-siècle, le 15 juin 1963, naissait, à Sainte-Geneviève-des-Bois, dans l’Essonne, le tout premier hypermarché (1) de France. Un magasin aux proportions fabuleuses proposant 15 000 articles. Son but ? Réduire les prix. A l’époque, les critiques anticipent un échec. Avec surtout ses « éléments de séduction » : ses 4 000 places de parking. Scandales alimentaires Cinquante ans plus tard, la grande distribution est devenue incontournable. Efforts au rabais Les temples de la consommation sont-ils pour autant condamnés ? (1) Le terme « hypermarché » sera inventé plus tard, en 1968, par Jacques Pictet, fondateur du magazine spécialisé « LSA ».

phrases clées : "il faut cultiver là où vivent les gens", "il est dangereux que 4% de la population s'occupent de nourrir les 96 autre %" by guiyaum May 22

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