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Statue de la Liberté

Statue de la Liberté
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Elle fut construite en France et offerte par le peuple français, en signe d'amitié entre les deux nations, pour célébrer le centenaire de la Déclaration d'indépendance américaine. La statue fut découverte au grand jour le en présence du président des États-Unis, Grover Cleveland. L'idée venait du juriste et professeur au Collège de France Édouard de Laboulaye, en 1865. Le projet fut confié, en 1871, au sculpteur français Auguste Bartholdi. La statue fait partie des National Historic Landmarks depuis le et de la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO depuis 1984[2]. La statue de la Liberté, en plus d'être un monument très important de la ville de New York, est devenue l'un des symboles des États-Unis et représente de manière plus générale la liberté et l'émancipation vis-à-vis de l'oppression. Histoire[modifier | modifier le code] Cadeau de la France aux États-Unis[modifier | modifier le code] Modèles de la statue[modifier | modifier le code] Related:  delaetre

La Statue de la Liberté Emblèmes de la France Le drapeau tricolore, seul emblème graphique officiel à être inscrit dans la constitution. L'emblème de la France fixé par la Constitution actuelle dans son article 2 est le drapeau bleu, blanc et rouge. En 1999, le gouvernement a adopté pour sa communication une charte graphique comprenant un logotype utilisé par les ministères, les services déconcentrés de l'État, les ambassades, etc. Un emblème représentant un faisceau de licteur est utilisé pour représenter la France sur les passeports et sur les plaques signalant les représentations diplomatiques sans qu'il fasse l'objet d'un texte officiel. Au cours de l'Histoire, la France a connu comme emblèmes de nombreuses oriflammes ou autres symboles. Emblèmes historiques[modifier | modifier le code] Royauté[modifier | modifier le code] Des fleurs de lys traversaient l'Atlantique avec les Européens se rendant au Nouveau Monde, notamment avec les colons français. Plusieurs oriflammes et drapeau sont également utilisés. L'exclamation « cocorico !

Statue de la Liberté Statue of Liberty Made in Paris by the French sculptor Bartholdi, in collaboration with Gustave Eiffel (who was responsible for the steel framework), this towering monument to liberty was a gift from France on the centenary of American independence. Inaugurated in 1886, the sculpture stands at the entrance to New York Harbour and has welcomed millions of immigrants to the United States ever since. La description est disponible sous licence CC-BY-SA IGO 3.0 Statue de la Liberté Exécutée à Paris par le sculpteur Bartholdi avec la collaboration de Gustave Eiffel pour la charpente métallique, la statue colossale de la Liberté éclairant le monde fut offerte par la France pour le centenaire de l'indépendance des États-Unis. تمثال الحريّة source: UNESCO/ERI La description est disponible sous licence CC-BY-SA IGO 3.0 自由女神像 自由女神像由法国雕塑家巴托迪和古斯塔夫·埃菲尔(他负责雕像的钢架)共同完成,这个象征着自由的雕塑是法国于1886年赠送给美国的,以祝贺美国独立100周年。 Статуя Свободы (Нью-Йорк) Estatua de la Libertad 自由の女神像 ニューヨーク港内マンハッタン島から3kmのリバティ島にある。 source: NFUAJ

Liberté De façon générale, la liberté est un terme qui désigne la possibilité d'action ou de mouvement. Pour le sens commun, la liberté s'applique principalement aux individus et s'oppose à la notion d'enfermement ou de séquestration. Une personne qui vient de sortir de prison est dite libre. Le sens original du mot liberté est d'ailleurs assez proche : l'homme libre est celui qui n'a pas le statut d'esclave. La liberté est un sujet difficile. Bien que tous aspirent à être libres, il y a presque autant de définitions de la liberté qu’il y a d’individus. Pour commencer, on peut définir la liberté comme la possibilité qu’a une personne de penser, de s’exprimer et d’agir selon ses valeurs, ses croyances, ses besoins et ses désirs. Cette notion renvoie à une double réflexion : d'une part sur la liberté en tant que questionnement sur la capacité de choisir et de faire ;d'autre part comme questionnement sur l'exercice concret de ce pouvoir de choisir et de faire. Définition[modifier | modifier le code]

La statue de la Liberté Avril 1865. Une poignée de Républicains ardents admirateurs de la démocratie américaine se réunissent à Glatigny pour célébrer l'abolition de l'esclavage aux États-Unis et rendre hommage au président Lincoln, assassiné six jours auparavant. Un dîner lors duquel Édouard de Laboulaye, le politicien à l'origine de cette réunion discrète, évoque avec passion l'idée d'une statue colossale, symbole de liberté, comme cadeau de la France à l'Amérique. Un discours exalté qui subjugue un jeune sculpteur présent parmi les convives : Auguste Bartholdi. Le projet de la future Statue de la Liberté est né. Un chantier alors insensé auquel le statuaire natif de Colmar va consacrer vingt ans de sa vie, remuant ciel et terre de part et d'autre de l'Atlantique, pour permettre à sa Liberté éclairant le monde de dominer le port de New York le 28 octobre 1886. Genèse mouvementée

Grand Sceau de France Le Grand Sceau de la IIe République en 1848. Les Républiques suivantes ont réutilisé ce sceau moyennant l’effacement de la date du 24 février 1848. Le Grand Sceau de France est le sceau officiel de la République française. Description[modifier | modifier le code] Le Grand Sceau de France représente la Liberté sous les traits de Junon assise, coiffée d'une couronne de lauriers radiée à sept pointes. Le contre-sceau (envers du sceau) comporte les mots « AU NOM DU PEUPLE FRANÇAIS » entourés d'une couronne de chêne et de laurier noués par des épis de blé et des grappes de raisin et de la mention circulaire « ÉGALITÉ, FRATERNITÉ, LIBERTÉ ». Histoire[modifier | modifier le code] Les deux faces du sceau en application de l’arrêté du 18 septembre 1848. Les premiers sceaux ont été créés par les rois mérovingiens pour authentifier leurs actes et en ordonner l'exécution. Tous les sceaux royaux ont adopté le type de majesté représentant le roi siégeant sur son trône en justicier.

La statue de la Liberté L’histoire de la statue de la Liberté commence en août 1834, à Colmar, en Alsace. En effet, c’est à cette date que naquit Frédéric Auguste Bartholdi, fils de Jean Charles Bartholdi, conseiller de préfecture. Agé de deux ans à la mort de son père, le jeune Auguste et son frère aîné furent élevés par leur mère, Augusta Charlotte. Après avoir étudié au lycée Louis le Grand à Paris, Auguste décida d’étudier l’architecture en rentrant à l’Ecole nationale supérieure des beaux arts en 1852. Le jeune Bartholdi y fréquenta ainsi les cours d’Ary Scheffer, un célèbre peintre français d’origine hollandaise. Bartholdi, âgé de 18 ans, décida de participer à un concours destiné à la création d’un phare. Montrant ses ébauches à son ami Jean Léon Gérôme, peintre et sculpteur français, les deux jeunes hommes firent sensation lors de l’Exposition Universelle de Paris en 1855 : Bartholdi avec sa statue du général Rapp, Gérôme avec sa peinture Le siècle d’auguste et la naissance de Jésus Christ.

La Liberté Au lendemain de la prise de la Bastille, étendards, affiches et gravures commencent à diffuser des emblèmes du triomphe de la Révolution sur le despotisme. Symboles de la féodalité vaincue et personnifications des vertus révolutionnaires sont associés dans des combinaisons d’abord aléatoires. Mais de cette première irruption de symboles émerge une figure qui va incarner la Nation française, jusqu’à la chute de la monarchie du moins : la Liberté. Codifiée au XVIIe siècle, sa représentation a été soumise à des ajustements après 1789. Paysage symbolique ou allégorie naturalisée, le Triomphe de la Liberté de Colinart occupe, par son caractère hybride, une place à part dans l’iconographie de la Liberté. L’attribut de la pique surmontée du chapeau semble devoir identifier cette figure à la Liberté. Le dispositif narratif de l’allégorie de Valentin relative à la déclaration des Droits de l’homme est approprié à la fonction didactique de l’image : c’est celui d’une scène de genre édifiante.

Poèmes et poésie sur la liberté France ! ô belle contrée, ô terre généreuseQue les dieux complaisants formaient (continuer...) Mon cher enfant que j'ai vu dans ma vie errante,Mon cher enfant, que, mon Dieu, (continuer...) Atteintes antipodes et vous îles lointainesDans mes rêves d’enfant jetées (continuer...) Les bras emplis de présentil avait lancé un défiau tempsLe fleuve immobilen'était (continuer...) Depuis huit jours, j’avais déchiré mes bottinesAux cailloux des chemins. Spectatrice, j’observe la scène de la vieOù des personnages surgissent,Dans (continuer...) Je suis aux prises avec le lâcher-prise.Comment fait-on le vide? O sommets de Taygète, ô rives du Pénée,De la sombre Tempé vallons silencieux,Ô (continuer...) VieillirSe lever un matinSans penser aux tristessesqu'on aime presque bien,AvantMarcherEt (continuer...) Vibrer quand je frôle cette tauleNe plus la voir comme une idoleConserver (continuer...) ODE III.BYZANCE, mon berceau, jamais tes janissairesDu Musulman paisible (continuer...) Vois-tu ? En hommage à OV.

Symboles de la République - Profs d'Histoire lycée Claude Lebois les symboles de la République définitions - "Allégorie, symbole, emblème, ne sont pas vraiment synonymes. Une femme, coiffée d'un bonnet phrygien, et qui foule aux pieds une couronne, forme un tableau relativement complexe, destiné à exprimer l'idée que la République écrase la monarchie : ce discours imagé, substitué au discours abstrait, est typiquement une allégorie.Le bonnet phrygien signifie que cette femme est par excellence un champion de la liberté, puisque ce bonnet était à Rome mis sur la tête des esclaves affranchis ; cette liaison n'est pas d'une évidence primaire, elle vient de l'histoire, on la possède par la culture ; on dira donc que le bonnet phrygien est un symbole.Si cette femme à bonnet phrygien se réduit à un buste ou même à un profil banal, après un siècle d'accoutumance à ce qui sera devenu une convention, stable et partout reçue, on parlera plutôt d'emblème. synthèse et repères - Drapeau tricolore : - Le 14-juillet : devient fête nationale, le 14 juillet 1880. source

Marianne Marianne est une figure symbolique de la République française. Histoire[modifier | modifier le code] Origine du choix du prénom[modifier | modifier le code] Selon Florence Gauthier, le nom de Marianne vient de celui du philosophe et historien espagnol du XVIe siècle Juan de Mariana, dont la théorie du droit naturel se trouve à la base des Déclarations des droits de l'homme et du citoyen de 1789 et de 1793. Figure saillante de l'École de Salamanque, Mariana enseigna à l'Université de Paris entre 1569 et 1574. Son utilisation comme allégorie féminine de la République renvoie à une chanson révolutionnaire du pays albigeois en occitan, la Garisou de Marianno (en français, la Guérison de Marianne), composée par le cordonnier-poète Guillaume Lavabre, de Puylaurens[3],[4]. Bien que cette chanson date de 1792 et soit déjà mentionnée dans le dictionnaire Lou Tresor dóu Felibrige de Frédéric Mistral, l’association de la chanson au symbole de la République n’a été faite qu'en 1976.

Liberté, poème de Paul Eluard Sur mes cahiers d’écolier Sur mon pupitre et les arbres Sur le sable sur la neige J’écris ton nom Sur toutes les pages lues Sur toutes les pages blanches Pierre sang papier ou cendre J’écris ton nom Sur les images dorées Sur les armes des guerriers Sur la couronne des rois J’écris ton nom Sur la jungle et le désert Sur les nids sur les genêts Sur l’écho de mon enfance J’écris ton nom Sur les merveilles des nuits Sur le pain blanc des journées Sur les saisons fiancées J’écris ton nom Sur tous mes chiffons d’azur Sur l’étang soleil moisi Sur le lac lune vivante J’écris ton nom Sur les champs sur l’horizon Sur les ailes des oiseaux Et sur le moulin des ombres J’écris ton nom Sur chaque bouffée d’aurore Sur la mer sur les bateaux Sur la montagne démente J’écris ton nom Sur la mousse des nuages Sur les sueurs de l’orage Sur la pluie épaisse et fade J’écris ton nom Sur les formes scintillantes Sur les cloches des couleurs Sur la vérité physique J’écris ton nom Liberté. Paul Eluard

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