background preloader

Géopolitique du Mali : un Etat failli ?

Géopolitique du Mali : un Etat failli ?
DEPUIS LE COUP D’ÉTAT “involontaire“ (?) survenu le 22 mars 2012 à Bamako, le Mali, déjà en proie à de graves difficultés, a entamé une descente aux enfers, particulièrement dans ses deux-tiers nord. Les plus pessimistes jugent son évolution irréversible et vont jusqu’à prédire son entrée dans la catégorie des États “faillis“, au même titre que la Somalie ou l’Afghanistan. Sans préjuger de l’avenir, l’examen de la situation permet de comprendre les diverses rivalités de pouvoir qui agitent ce pays. Le territoire, étendu, enclavé et pratiquement dépourvu de richesses naturelles, occupe une situation de carrefour qui fit autrefois sa fortune. Pauvre, la population est pluriethnique et presque entièrement musulmane. Couvrant 1 240 190 km2, le Mali est le pays le plus étendu d’Afrique de l’Ouest. A. Vers la fin du Ier millénaire de notre ère, le développement du commerce en Afrique de l’Ouest en général et au Mali en particulier résulta de la position géographique de la région. B. C. A. B.

Geopolitique Le desarroi de la puissance. Les Etats-Unis vers la guerre permanente, par Arnaud Blin, chercheur de Diplomatie et Defense 21, ancien directeur du Centre Beaumarchais (Washington, D.C.) Vous trouverez en bas de page : 2: Présentation de l’ouvrage. 3: Présentation de l’auteur.4: Coupon à imprimer pour commander l'ouvrage auprès de l'éditeur. L’histoire des relations internationales, comme l’économie mondiale, opère selon des cycles. Ces « cycles géopolitiques » pourrait-on les appeler, voient se succéder des périodes de crises et des périodes de stabilité, qui généralement (mais pas systématiquement) se traduisent respectivement par des périodes de guerre et de paix. Il arrive aussi que ces cycles laissent place à de rares périodes combinant à la fois la crise et la stabilité : ce fut le cas lors de la guerre froide avec le problème posé par la menace nucléaire, facteur à la fois de crise extrême (illustré par l’épisode des fusées à Cuba) et aussi de stabilité négative (stratégie des représailles massives, « équilibre de la terreur »). Le système « westphalien » Le rôle de Jimmy Carter Malgré tout, Jimmy Carter avait modifié la donne. Le devoir d'ingérence Arnaud Blin

Préparer la dissertation littéraire - Introduction Sujet : Dans Deux définitions du roman (1866), Emile ZOLA déclarait : « le premier homme qui passe est un héros suffisant ». Discutez cette affirmation en prenant appui sur les textes du corpus et sur les œuvres que vous connaissez. L'activité proposée vise en priorité à aider des élèves de 1ère générale, mais également de 2de, qui voudraient s'entraîner en vue de la dissertation littéraire, qui est l'un des possibles sujets d'écrit de l'Épreuve Anticipée de français au Baccalauréat. Dans le cadre des objets d'étude de 1ère, un sujet de dissertation sur le roman est directement en lien avec l'objet d'étude intitulé « le roman et ses personnages : vision de l'homme et du monde ». Dans le cadre de la 2de, il pourrait éventuellement être lié à l'objet d'étude intitulé « le récit », voire à celui portant sur « un courant littéraire du XIXème siècle : le Naturalisme » dans la mesure où la citation est de ZOLA. Lycée Ouvert de Grenoble

Thomas Homer-Dixon – Straw Man in the Wind Straw Man in the Wind The National Interest An exchange with David Victor in The National Interest on the links between resource and environmental stress and violent conflict. David Victor’s original article: “What Resource Wars?” (November 12, 2007): Thomas Homer-Dixon response: Pundits, Journalists and Sunday morning news show commentators sometimes say silly things about the links between resources and war. If you listen to Victor, though, you might just get lulled into a false sense of security. Rather, we argue that resource stress always interacts in complex conjunction with a host of other factors — ecological, institutional, economic and political — to cause mass violence. The claim that resource stress is sufficient by itself to cause violence is easily refuted. Victor doesn’t engage with this type of voluminous work. Smoke and Mirrors by David G.

Géographie des conflits Géographie des frontières Espace transfrontalier L’idée d’un espace traversé par une frontière n’est pas pertinente en soi : elle suppose une surimposition d’une frontière dans un espace a priori continu et elle sous-estime les effets— frontière. Reconnaître un espace transfrontalier suppose qu’au préalable existent des espaces frontaliers, que nous désignons comme une partie d’un territoire national bordée par une frontière d’État. L’espace frontalier (région, agglomération, zone) se trouve en situation de périphérie, de confins dans un contexte national et fait l’objet d’une gestion spécifique de la part des États en raison de la présence de la frontière, de cette limite bornée de son territoire. Parler d’espace transfrontalier suppose que la frontière présente un certain degré de porosité (l’ouverture l’emporte sur la fermeture), qu’elle est reconnue par les États (ligne stable) et que les conflits y ont disparu (frontière apaisée). ANDERSON, J. ASIWAJU, AI. AUBURTIN, E. AUBURTIN, E. DÖRRENBACHER, HP., BRÜCHER, W. GENDROT, C.

Vers une nord-irlandisation du monde ? Texte intégral Texte intégral en libre accès disponible depuis le 15 janvier 2005. 1 Kearney R., Post nationalist Ireland: Politics, Culture, Philosophy, Londres, Routledge, 1997, p. 1 (...) « Ulster is an Irish Problem and a British Problem. But it is also a European problem »1 2 Depuis 1969, le terme employé est celui de « troubles ». 1L’Irlande du Nord a été commentée en termes de conflit intercommunautaire, religieux ou encore terroriste. 3 Sciascia L., La Sicile comme métaphore. 2Dans un livre habilement construit autour d’une conversation avec la journaliste Marcelle Padovani et publié à la fin de la décennie 1970, l’écrivain italien Leonardo Sciascia se livre à une analyse intime de ses racines culturelles et sociales, de son engagement littéraire et de son amour pour la Sicile, ses hommes, ses écrivains. 4 Ricœur P., La métaphore vive, Paris, Seuil, (1975), 1997, p. 249. 5 Passeron J. 11 Jenkins R., A Life at the Centre.

Petit mot d'accueil

Related: