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Le SoLoMo, nouveau buzzword ou véritable tendance ?

Le SoLoMo, nouveau buzzword ou véritable tendance ?
Le SoLoMo, ce serait la nouvelle tendance de l’internet post-web 2.0, une vague de fond qui va une fois de plus tout changer. Après qu’à peu près tout le monde se soit mis au web social, est-ce l’étape suivante, ou un énième concept qui n’existe que dans la tête des prophètes du marketing numérique ? Loïc Le Meur a annoncé que le SoLoMo serait le grand thème de la conférence LeWeb 11. Mais pour ceux qui ne sont pas encore au courant, il est grand temps d’expliquer le sens de cet acronyme étrange : Social, Local, Mobile. L’avenir serait dans ces trois mots. Social, Local, Mobile, trois tendances pas vraiment égales Doit-on vraiment encore expliquer l’importance du web social ? Et le local dans tout ça ? Le “local” à la traîne ? Le “local” connaît bien des déconvenues : d’abord il y a Google qui abandonne ses application de “deals” et de “Lieux”. A qui profite le SoLoMo ? Le SoLoMo est une tendance aux ramifications vastes, qui va toucher tous les acteurs du marché.

On doing digital history – thoughts for new grad students « Electric Archaeology: Digital Media for Learning and Research I’ve been asked this morning to talk to our new cohort of MA students on ‘doing digital history’. I thought about how I might do this. Typically, I’d throw together a powerpoint and begin talking about various tools, trends in the field, try to get a sense of what people are interested in, tailoring my comments to those topics. Today though, I’m trying a different approach. Like this: Like Loading... Extension du domaine de la statusphère Désormais, vous pouvez étaler votre prose en long et en large sur votre mur. Pour Olivier Ertzscheid, Facebook veut "territorialiser à l’extrême – et à son seul profit – les expressions documentaires". Avec des visées commerciales, bien sûr. C’est une nouvelle presque anodine. Facebook vient d’autoriser la publication de statuts comprenant jusqu’à plus de 63 000 caractères. Soit l’équivalent d’une vingtaine de pages d’un traitement de texte classique. Avec – comme le rappelle l’image ci-dessous – cette augmentation, cette densification récente de l’espace alloué aux “statuts”, Facebook tente d’asseoir sa base documentaire (au sens propre). D’abord, il s’agit de sortir du modèle de la page (entendez la “page Facebook”), beaucoup moins consultée, utilisée (et donc rentabilisée) parce que beaucoup moins installée dans un espace naturellement conversationnel (relire, dans ce billet, les explications de danah boyd sur le sujet). Faire le mur. Refrain connu. Image CC Flickr owenwbrown

UCL Centre for Digital Humanities » Blog Archive » QRator in the Horizon Report: Museum Edition By Claire Ross, on 19 November 2011 The QRator project , a collaboration between UCLDH, CASA and UCL Museums , funded by the Beacon for Public Engagement , has been chosen for inclusion in the 2011 Museum edition of the Horizon report, produced by the New Media Consortium . The Horizon Report is an international report about leading museum technologies. The report’s main aim is to identify and describe emerging technologies which will have a large impact over the next five years. The 2011 edition highlights six emerging technologies or practices that are going to have an impact on the sector and breaks them down into three distinct time frames or horizons. Here are the Technologies to watch: Near term Horizon (the next 12 months): Mobile Apps and Tablets. Mid term Horizon (2-3 years): Augmented Reality and Electronic Publishing Far term Horizon (4-5 years): Digital Preservation and Smart Objects. You can download the report from here

Facebook et Google nous livrent leur version « malbouffe » de l'information Les médecins et pouvoirs publics ne cessent de nous interpeller au sujet de notre régime alimentaire : une alimentation variée et équilibrée est in-dis-pen-sable à notre santé, disent-ils en substance. Et si nous décidions d'accorder la même attention à notre régime informationnel ? Lorsque nous allons chercher de l'information en ligne, les contenus qui nous sont servis sont-il bien variés et équilibrés, ne contiennent-il pas trop d'informations grasses ou sucrées ? La question ainsi posée par Eli Pariser dans le texte que nous vous proposons ci-dessous peut paraître étrange au premier abord, mais seulement si l'on ignore comment les grands restaurants d'information du Web que sont Google, Facebook ou Yahoo composent les assiettes qu'ils nous servent. Imaginez un restaurant qui affinerait en permanence sa carte en fonction de ce que vous avez commandé précédemment et, si vous êtes un habitué, en fonction de ce que vous commandez le plus souvent.

DHQ: Digital Humanities Quarterly: Summer 2011 Managing 100 Digital Humanities Projects: Digital Scholarship & Archiving in King’s Digital Lab James Smithies, King's College London; Carina Westling, King's College London; Anna-Maria Sichani, King's College London; Pam Mellen, King's College London; Arianna Ciula, King's College London Modelling Medieval Hands: Practical OCR for Caroline Minuscule Brandon W. Hawk, Rhode Island College; Antonia Karaisl, Rescribe Ltd; Nick White, Rescribe Ltd Towards 3D Scholarly Editions: The Battle of Mount Street Bridge Costas Papadopoulos, Maastricht University; Susan Schreibman, Maastricht University Music Scholarship Online (MuSO): A Research Environment for a More Democratic Digital Musicology Timothy C. DH2018: A Space to Build Bridges Molly Nebiolo, Northeastern University; Gregory J. Velvet Evolution: A Review of Lev Manovich's Software Takes Command (Bloomsbury Academic, 2013) Alan Bilansky, University of Illinois Curating Crowds: A Review of Crowdsourcing Our Cultural Heritage (Ashgate, 2014)

Histoire minimaliste de la Coupe du Monde Football Par Dimitri Kucharczyk le 19 avr 2012 - 14:13 Grand amateur de football, le journaliste et illustrateur brésilien André Fidusi s’est attaché à résumer toutes les Coupes du monde de football de façon minimaliste. Même si son point de vue est très brésilien… Wolden@vdn ...et plus - Indigné ? Le Web : Un peu d'histoire Tim Berners-Lee, un informaticien du CERN inventa le World Wide Web en 1990. À l'origine, la Toile (ou le web, comme on le surnomme) fut conçue et développée pour répondre au besoin de partage d'informations entre scientifiques travaillant dans différentes universités et instituts aux quatre coins du monde. Le CERN n'est en effet pas un laboratoire isolé, mais plutôt le foyer d'une communauté d'environ 8000 scientifiques de 85 nationalités. L'idée de base du WWW était de combiner les technologies des ordinateurs personnels, des réseaux informatiques et de l'hypertexte en un système d'information mondial, puissant et facile à utiliser. Un peu d'histoire La première proposition de WWW [version PDF] a été soumise au CERN par Tim Berners-Lee en 1989, puis affinée par lui-même et Robert Cailliau en 1990. Fin 1990, une démonstration d'un logiciel pour un système de base eut lieu. Une diffusion mondiale Il n'y avait alors pour ainsi dire que deux sortes de navigateur. Des standards ouverts

Des Indignés américains appellent à la grève générale Le mouvement des Indignés américains se radicalise. Ceux d'Oakland, en Californie, appellent à la grève générale sur l'ensemble de la ville, pour le mercredi 2 novembre. Ailleurs, des vétérans de la guerre en Irak, en armes, ont rejoint les manifestants pour les protéger de la police. « On se serait cru dans les années 1960, au milieu d'une manifestation contre la guerre du Vietnam », écrivait leNew York Times du jeudi 27 octobre, après la répression violente subie le mardi soir précédent par les Indignés d'Oakland. « Nous, occupants de la place Oscar Grant, proposons que le mercredi 2 novembre 2011, nous libérions Oakland et que nous mettions un coup d'arrêt au 1 %. Nous proposons une grève générale sur l'ensemble de la ville et nous proposons que tous les étudiants quittent les cours. Bien que nous appellions à une grève générale, nous appelons aussi à bien plus. Le monde entier regarde Oakland. Le magazine américain Adbusters soutien très activement le mouvement des Indignés.

Les trolls, ou le mythe de l’espace public Les trolls, ces héros. Pour le sociologue Antonio Casilli, les fameux perturbateurs de communautés en ligne sont plus que de simples utilisateurs d'Internet aigris. Méprisés par les commentateurs autorisés, ils contribuent en effet à repenser l'espace public. Au Royaume-Uni, la Chambre des communes a récemment mis au vote un amendement du “British Defamation Bill” spécifiquement destiné à s’attaquer aux trolls sur Internet. L’amendement prévoit de contraindre les fournisseurs d’accès ou les propriétaires de sites web à révéler l’adresse IP et les informations personnelles des utilisateurs identifiés comme auteurs de “messages grossiers”. Pourquoi les médias ont peur des trolls ? Dans un effort remarquable de bercer le public d’une compréhension faussée des cultures numériques, le Guardian a consacré une session spéciale à cet étrange phénomène dans son édition du 12 juin. La conclusion de cet essai qui donne le ton (“Nous ne devrions pas les appeler ‘trolls’. Espace public fantasmatique

Pasadena Museum of California Art in Los Angeles Organized by the Pasadena Museum of California Art (PMCA) and curated by Dan Goods and David Delgado, designers and educators at the Jet Propulsion Laboratory (JPL), Data + Art explores the hidden stories revealed in data through emerging forms of data expression. Featuring work by Jonathan Berger, David Bowen, Jim Bumgardner, Alex Dragalescu, Chris Jordan, Ned Kahn, Aaron Koblin, Seth Ruffins, The Long Now Foundation, and JPL, this exhibition challenges the viewer's assumptions by exploring the beauty inherent in data and asks them to see complexity in a new light. These interpretations of data will empower the average person to see the invisible, hear the inaudible and understand the impossibly complex. This exhibition is supported by the Pasadena Arts & Culture Commission and the City of Pasadena Cultural Affairs Division, The James Irvine Foundation, The Ralph M.

Est-ce que Google nous rend idiot ? Il nous a semblé important de vous proposer à la lecture Is Google Making Us Stupid ?, l'article de Nicolas Carr, publié en juin 2008 dans la revue The Atlantic. Dans cet article, l'auteur de Big Switch et de Does IT matter ?, part d'un constat personnel sur l'impact qu'à l'internet sur sa capacité de concentration pour nous inviter à réfléchir à l'influence des technologies sur notre manière de penser et de percevoir le monde. InternetActu | • Mis à jour le | Par Nicolas Carr Il nous a semblé important de vous proposer à la lecture Is Google Making Us Stupid ? “Dave, arrête. Moi aussi, je le sens. Je crois savoir ce qui se passe. Pour moi, comme pour d’autres, le Net est devenu un media universel, le tuyau d’où provient la plupart des informations qui passent par mes yeux et mes oreilles. Je ne suis pas le seul. Bruce Friedman, qui bloggue régulièrement sur l’utilisation des ordinateurs en médecine, décrit également la façon dont Internet a transformé ses habitudes intellectuelles.

A propos du livre de Nicholas Carr Critique de la lecture numérique A propos du livre The Shallows de Nicholas Carr Le Bulletin des Bibliothèques de France fait paraître, dans son n° 5, 2011, un dossier sur les "Métamorphoses de la lecture". J'y contribue avec l'article ci-dessous, intitulé Critique de la lecture numérique: The Shallows de Nicholas Carr. Vous retrouverez ici tous les auteurs et tous les articles: Paru en 2009 dans la revue Atlantic Monthly, l’article de Nicholas Carr, « Is Google making us stupid ? Un an plus tard, Nicholas Carr publiait, sous le titre The Shallows : What the Internet is Doing to Our Brains 6, l’enquête et la démonstration qui sous-tendent l’article d’Atlantic Monthly. La question de la lecture L’entrée de Nicholas Carr – selon moi, le principal mérite de l’ouvrage –est la question de la lecture. D’emblée, l’auteur associe lecture et réflexion, à partir de son expérience personnelle. La surcharge cognitive Une vision déterministe de la technique 2.

Ma réponse aux «élites» qui détestent l'Internet Les Français n’aiment pas Internet (1). Est-ce le résultat d’une nouvelle enquête menée auprès de 85 internautes? Nan. Florilège des propos anti-web classés par «métiers» publicité Les politiques Michèle Alliot-Marie, Le Figaro, le 5 septembre 2011 «A travers les blogs et les tweets, il y a une mise en cause des principes de l’information. Patrick Ollier, à Public Sénat le 23 février 2011 «Les .fr vont chercher des infos dans le caniveau.» Nadine Morano, le 15 août 2008 «Internet, c’est comme une magnifique voiture de course. La même à Rue89, le 8 mai 2008 «Ah, Internet, je déteste, c’est le temple des rumeurs et de la caricature.» Jacques Myard, à l’Assemblée nationale en décembre 2009 «J’espère que l’on va prendre conscience de la nécessité de nationaliser ce réseau.» Rassurez-vous, à gauche aussi Ségolène Royal, le 21 septembre 2009: «Je veux un site qui nous ressemble et pas nous qui ressemblions au site. Martine Aubry, dans Le Point, le 6 juillet 2011: Les gens de la télévision Les acteurs Oui.

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