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Économie Gestion en lycée

Économie Gestion en lycée

En intégralité, la leçon d’économie de DSK au Sénat : « Le FMI, gendarme de la finance, est trop faible » | Une Zapnet Rue89 La cour d’honneur était bondée et la sécurité tatillonne, ce mercredi pour accueillir Dominique Strauss-Kahn, pour son audition par la commission d’enquête sur le rôle des banques et des acteurs financiers dans l’évasion des capitaux. Mais l’ancien directeur général du FMI a fait une entrée discrète par une porte dérobée. Evidemment, son retour dans l’une des enceintes de la République pour la première fois depuis le 14 mai 2011 et son arrestation à New York, a beaucoup fait jaser sur les bancs du Sénat, dont Le Monde rapporte les diverses ambiances. Didactique et souriant, pendant que se déroulait presque au même moment à l’Assemblée nationale l’audition décevante de Jérôme Cahuzac, DSK s’est livré à une leçon d’économie d’1h15, sous les caméras de la chaîne Public Sénat, qui résume sur son site les grands mouvements de son intervention. « C’est moins la finance qui est en cause que les financiers. (…) Ce sont plus sur les comportements que sur les règles qu’il faut agir. »

Qu’est-ce que l’Union européenne ? - Découverte des institutions - Repères - Vie En poursuivant votre navigation sans modifier vos paramètres de cookies, vous acceptez l'utilisation des cookies à des fins de mesures statistiques du parcours utilisateurs.Pour gérer et modifier ces paramètres, cliquez iciFermer Qu’est-ce que l’Union européenne ?| vie-publique.fr | Repères | Découverte des institutions [ Publicité ] Menu de navigation Vous êtes ici: Accueil Repères Découverte des institutions et de la vie publique Qu’est-ce que l’Union européenne ? Cette rubrique présente le mode de fonctionnement actuel de l’Union européenne (UE). Elle est organisée autour de trois thèmes : Définir l’Union et la citoyennetéCitoyennetéLien social établi entre une personne et l’État qui la rend apte à exercer l’ensemble des droits politiques attachés à cette qualité sous réserve qu’elle ne se trouve pas privée de tout ou partie de cet exercice par une condamnation pénale (privation de droits civiques). Qu’est-ce que l’Union européenne ? Les auteurs de Découverte des institutions Rechercher

Suppression des cotisations familiales, qu'est-ce que ça change ? - Économie & Social 1. Les cotisations familiales, qu'est-ce que c'est ? Lorsqu'un employeur paie un salaire, il doit également s'acquitter de charges patronales. Dans les faits, un employeur paie pour son salarié environ 1,4 fois plus que le salaire brut. Les autres ressources de la branche famille sont de type fiscal : la contribution sociale généralisée (qui pèse notamment sur les salaires) représente 19% du financement de la branche. 2. En supprimant, d'ici 2017, les cotisations familiales pour les entreprises et les travailleurs indépendants, l'objectif affiché du président de la République est de « poursuivre l'allègement du coût du travail » et de favoriser l'investissement et l'embauche des entreprises. 3. La mesure pourrait générer un million d'embauches selon Pierre Gattaz, le patron du Medef, qui la réclamait depuis longtemps. 4. 5. 6. 7. Mal, très mal. 8. A la suite des vœux de François Hollande aux partenaires sociaux mardi prochain, patrons et syndicats seront reçus par le Premier ministre.

François Hollande face à la Commission européenne pour défendre sa politique budgétaire François Hollande est attendu ce 15 mai à Bruxelles pour une rare rencontre avec la Commission européenne au grand complet, qui sera l'occasion d'un échange autour des réformes structurelles réclamées à la France en contrepartie du desserrement de l'étau budgétaire. Même si l'on assure à Paris qu'il ne s'agit que d'une coïncidence - le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, a lancé cette invitation il y a plusieurs mois -, cette rencontre entre un président français et les 27 Commissaires européens, inédite depuis juillet 1997, tombe à point nommé. Bruxelles a accordé début mai un délai supplémentaire de deux ans à la France pour revenir dans les clous de ses engagements budgétaires européens avec un déficit public qui ne serait ramené sous la barre des 3% du PIB qu'en 2015. Mais en échange, le Commissaire européen chargé des Affaires économiques, Olli Rehn, a exhorté Paris à mettre en oeuvre des actions "audacieuses".

François Hollande face aux désillusions économiques Bien en mal de "créer" la croissance sur laquelle il avait fondé son programme de redressement économique, François Hollande a vite été obligé de revoir ses ambitions budgétaires à la baisse, mais poursuit une politique de rigueur et de soutien aux entreprises qui déconcerte à gauche. Après avoir fait campagne sur la relance de l'économie et de l'emploi par la stimulation de la croissance, François Hollande a dû reconnaître que celle-ci ne serait pas au rendez-vous avant un certain temps. Alors que la zone euro s'enfonce dans la récession, il acte dans les prévisions présentées ce mois-ci à la Commission européenne que 2013, comme 2012, sera une année de stagnation économique, avant un léger rebond espéré en 2014 (+ 1,2 %). Ce simple bilan signifie-t-il que le gouvernement socialiste, après un an de pouvoir, est rattrapé par la réalité d'une crise dont il n'aurait pas anticipé l'ampleur ? Le chef de l'État mise tout sur ce plan pour relancer une croissance au point mort.

Le pacte de complexité Il y a un paradoxe dans la « séquence » actuelle, pour reprendre un mot fétiche des communicants. Avec ses vœux pour 2014 et sa conférence de presse du 14 janvier, le président déchaîne les analyses sur son « virage » qui serait libéral, social-libéral, social-démocrate… Et qui se matérialiserait, selon ses détracteurs de gauche, par des « cadeaux aux entreprises ». Mais on pourrait en fait se demander si ce n'est pas plutôt le patronat qui s'est « hollandisé », en offrant au chef de l'Etat une voie rêvée pour choisir la complexité et l'ambiguïté qu'il paraît si souvent affectionner. Tout part d'une approche aussi habituelle que saugrenue, celle du donnant-donnant, des contreparties (qui vont désormais avoir leur « observatoire » !) Quand le Medef crée l'emploi à 100.000 euros Naturellement, une véritable diminution de 100 ou même 50 milliards d'euros des prélèvements qu'elles supportent augmenterait fortement leur compétitivité. Un marché de dupes Les pseudo-contreparties

Surprise: la BCE baisse son principal taux directeur La BCE a décidé de baisser son principal taux directeur ce jeudi. Celui-ci a été réduit d'un quart de point à 0,25%. Il était fixé à 0,5% depuis le mois de mai. >> Une baisse des taux pour quoi faire ? Baisse de l'inflation Cette décision fait suite à la baisse de l'inflation dans la zone euro. Plusieurs analystes s'attendaient à ce qu'un changement de politique monétaire intervienne plus tard, pas avant le mois de décembre. Les marchés euphoriques A la suite de cette annonce surprise, les marchés ont vivement réagi. Enfin, l'euro a perdu 1,20% après cette annonce à 1,3374 dollar pour 1 euro, son plus bas niveau depuis le 16 septembre.

La BCE prise au piège de la déflation... et de ses propres contradictions Alors que les politiques ne parlent que de reprise, certains chiffres ne cessent d'inquiéter. C'est particulièrement le cas du taux d'inflation de la zone euro publié vendredi et qui a atteint le chiffre très faible de 0,7 % sur un an en novembre contre une progression de 1,1 % en octobre. Voici de quoi préoccuper Mario Draghi, le président de la BCE. De la désinflation à la déflation ? Jusqu'ici, l'ancien gouverneur de la Banque d'Italie, il en fut ainsi lors de sa conférence de presse d'août, affirmait à qui voulait l'entendre qu'il ne « voyait, dans aucun pays un processus de déflation. » Si l'on excepte la Grèce, où les prix reculent depuis le mois de mars, Mario Draghi avait raison et a sans doute encore raison. La stratégie manquée de la BCE En réalité, la BCE joue très gros sur cette question. La difficulté de l'exercice résidait en ce que cette politique de taux bas était assez dangereuse pour les pays où l'activité restait soutenue comme l'Allemagne. Le tuyau monétaire est bouché

Printemps de l’économie 2014 Du 7 au 12 avril 2014, l’association « Les Éco­no­miques » organise, à Paris, la deuxième édition du Prin­temps de l’Économie. Le principe de cet évé­nement grand public est le suivant : " les éco­no­mistes viennent à votre ren­contre : emparez-​​vous de l’économie ". Cette année, un mois et demi avant les élec­tions euro­péennes, le thème traité sera : « L’Europe fait son Prin­temps : l’Europe, un pro­blème ou une solution ? Parmi les sujets qui seront dis­cutés : l’atonie de la crois­sance euro­péenne, la place de l’Europe dans la mon­dia­li­sation et le com­merce inter­na­tional, les poli­tiques euro­péennes en matière éco­no­mique, indus­trielle ou de concur­rence, l’euro, la crise des dettes sou­ve­raines, l’union ban­caire, la tran­sition éner­gé­tique, le modèle social, la gou­ver­nance des ins­ti­tu­tions européennes. Pour en savoir plus sur le pro­gramme et les inter­ve­nants du Prin­temps de l’économie, et pour s’inscrire : voir le site internet du Prin­temps de l’Économie

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