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70 Percent of Journalists Use Social Networks to Assist Reportin

70 Percent of Journalists Use Social Networks to Assist Reportin
According to a new survey from Middleberg Communications and the Society for New Communications Research (SNCR), as reported in PRWeek , 70 percent of journalists said they use social networks to assist in reporting (compared to 41 percent last year). This is a huge spike in one year, though it shouldn’t surprise any of us with all the lists of journalists using Twitter and other social networks. The survey also found that 69 percent of respondents go to company websites to assist in their reporting, while 66 percent use blogs, 51 percent use Wikipedia (wow), 48 percent go to online videos (double wow), and 47 percent use Twitter and other microblogging services (would have guessed higher on this one). A big part of this shift has to revolve around journalists having less help to do their jobs, while being required to produce more content across various formats in near real-time. When it comes to Twitter, 57 percent of journalists found this social medium to be credible.

Oui Xavier, grâce au web, les journalistes deviennent leur propr Xavier Ternisien, journaliste au Monde, a publié ce samedi un article très révélateur intitulé “Les journalistes vont-ils devenir des marques grâce à Internet ?” Lui qui, il y 6 mois, n’avait pour ainsi dire pas encore mis un pied sur le web, est en train, grâce notamment à son activité sur Twitter, d’accréditer la thèse de ces passifous-furieux qui pensent que l’entretien de discussions en ligne participe à la légitimation de leur activité professionnelle. A mille lieues des éditorialistes tour-d’Ivoiriens et des lustreurs de parquets Matignonesques. Oui, je suis convaincu que le web et les réseaux sociaux sont en train de changer la donne. A lire aussi: Xavier Ternisien (Lemonde.fr): “Les journalistes vont-ils devenir des marques grâce à Internet ?” Jean Quatremer (Liberation.fr)”Mon avenir est-il de devenir une marque ? Jeremy Porter: “70 Percent of Journalists Use Social Networks to Assist in Reporting”

journalisme Les périodes un peu agitées sont des périodes très actives où l'on multiplie les idées. J'ai eu l'occasion de réfléchir, à mes heures perdues, à un concept de rédaction recomposée autour du web et du print, et comme j'ai trouvé cette réflexion passionnante, j'ai décidé de partager son résultat avec vous et d'ouvrir un échange. Cela fait longtemps que l'on parle et propose des modèles de rédaction intégrée (le modèle le plus connu est celui proposé par l'Ifra). Un exemple, la rédaction intégrée du Daily Telegraph, qui fout un peu la trouille au premier abord: Le problème c'est que, bien souvent, ce modèles très théoriques se heurtent à la réalité des rédactions: des journalistes orientés print avec une très faible agilité web. Mais surtout, des journalistes déchirés entre "deux médias" à qui l'on dit: vous allez publier pour les deux médias. 2) Les journalistes deviennent schizophrènes. Pourquoi le réseau ? Notez bien que je n'utilise pas le mot "journaliste", mais "journalisme".

Journalists Become Trainers & Coaches for Local Communities PPF Media has been getting a lot of international attention lately for its hyperlocal news project in the Czech Republic that is built around Starbucks-style "news cafes" in local communities. CEO Roman Gallo provided an update Friday at the 2015 Newsroom Conference, and the project seems to be working. Thirteen weeks after launch in four Czech regions, circulation of the paid-for weeklies is growing, as it web traffic. And the cafes are quickly becoming a centre of community life, with meetings, concerts, dance lessons and other events organised for local residents. Editorial staff sit in the middle of the cafes, without walls or doors, allowing regular interaction with local residents. Fifty percent of new subscriptions come from people who come in for coffee and conversaton. "The readers can go there and be in contact.," said Gallo. If the success continues, the company expects a year-long nationwide rollout of 220 weeklies, 89 news cafes and 700 websites.

Les journalistes vont-ils devenir des marques grâce à Internet ? LE MONDE | • Mis à jour le | Par Xavier Ternisien Que se passerait-il si les 50 meilleurs journalistes du New York Times quittaient le quotidien de la 8e Avenue et créaient leur propre entreprise de presse, sous la forme d'un site Internet ? C'est Michael Arrington, fondateur du blog américain TechCrunch, qui a posé la question dans un billet du 30 juillet. "Le budget pour réunir une équipe bien payée composée des meilleurs journalistes de la planète s'élèverait à 25 millions de dollars par an, estime-t-il. Michael Arrington cite en exemple le site Internet Politico, spécialisé dans une couverture très incisive de la vie politique américaine, qui a été créé par deux anciens journalistes politiques du Washington Post. Ce phénomène est connu aux Etats-Unis sous l'expression de personal branding, un concept lancé en 1997 par le consultant en management américain Tom Peters. Les jeunes journalistes sont plus à l'aise que les anciens avec ce concept de personal branding.

Database journalism Fast Flip va irriter plus d un éditeur - News Up ! Google a donc mis en ligne sa nouvelle application Fast Flip qui permet d’accéder à la Une des journaux avant d’accéder au contenu du journal si l’internaute le souhaite. L’offre actuelle concerne une quarantaine de partenaires de la presse américaine à qui Google a promis le partage de revenus publicitaires générés par ses écrans. Si le New York Times, le Washington Post ou la BBC font partie de la première offre de Fast Flip, des magazines comme Elle, Cosmopolitan, Marie-Claire ou Newsweek sont également alliés à Google dans cette application. Nul doute que d’autres s’y ajouteront rapidement. En revanche, cette nouvelle initiative de Google de donner accès aux journaux et magazines en ligne aussi facilement en agrégeant l’information risque de faire grincer des dents chez certains éditeurs , notamment européens.

How Twitter saved my career... and my life :: 10,000 Words :: mu There was a time when I refused to join Twitter, both because I am suspicious of anything being touted as the next. best. thing. and because I didn’t want the site consuming all of my free time. When I finally began using Twitter, it was much in the same way others did: sharing my thoughts and interesting links with other users. It wasn’t until I was suddenly laid off from my job that I truly understood the power of the site and social networking. When I was first laid off from my position at a respected magazine along with a substantial number of other staff members, I was devastated. Other journalists and colleagues who I had friended over the past several months sent knowing tweets of empathy and support, but had no jobs, only words to offer. I honestly expected to find a new job immediately after being downsized, but weeks turned into months and it became increasingly clear that, despite my unique skills, I wasn’t going to find another job as soon as I’d hoped.

Information & jeu vidéo : le newsgame est-il un mariage pertinent ou délirant A première vue, que peut-il y avoir de commun entre un jeu vidéo et le traitement d’une information journalistique ? C’est pourtant cette question iconoclaste mais ô combien riche en perspectives nouvelles qu’une conférence du CFPJ Lab a choisi de traiter le 18 décembre dernier à Paris. Pour accroître l’interactivité et l’engagement des internautes, le journalisme en ligne n’hésite plus à emprunter du côté du jeu vidéo pour aborder des sujets d’actualité complexes mais essentiels. En complément des web-documentaires qui gagnent du terrain dans la palette des formats journalistiques, le « newsgame » est également en train d’opérer une percée prometteuse dans l’univers du contenu éditorial diffusé par les médias. L’enjeu : élargir les formats journalistiques mais également capter des audiences souvent rétives aux approches traditionnelles des médias. Carte d’identité du « newsgame » Qu’on ne s’y trompe effectivement pas ! En route pour l’info interactive La famille « newsgame » s’agrandit

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