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Regards d'Experts - eye tracking - La lecture sur un iPad est plus superficielle que sur un journal

Regards d'Experts - eye tracking - La lecture sur un iPad est plus superficielle que sur un journal
Miratech s’est intéressée à la différence de lecture entre l’iPad et le journal papier. On se souvient bien mieux d’un article lu sur un journal papier que d’un article lu sur un iPad. . Notre étude analyse les . Les participants à l’étude étaient habitués à l’utilisation de l’iPad, Nous avons ainsi évité les biais liés à l’apprentissage de l’iPad (découverte des fonctionnalités, envie de jouer avec le zoom…). Les participants étaient libres de . Durée de lecture d’un article : pas de différence Le temps de lecture moyen d’un article sur chacun des supports est similaire. Un utilisateur met en moyenne 1 minute 11 secondes pour lire un article sur papier contre 1 minute 13 secondes sur iPad. . Répartition du regard identique sur un iPad et sur un journal papier Concentration et mémorisation : avantage au journal papier Une analyse plus approfondie montre cependant que les regards sont plus longs sur le support papier (275 ms sur un journal papier contre 231 ms sur l’iPad). Ceci traduit une .

Le danger des livres électroniques - Projet GNU - Free Software Foundation (FSF) L'original de cette page est en anglais. Inscrivez-vous à notre liste de diffusion (en anglais) concernant les dangers des livres électroniques. À une époque où les entreprises dominent nos gouvernements et écrivent nos lois, chaque avancée technologique leur offre une bonne occasion d'imposer des restrictions supplémentaires au public. Les technologies qui auraient pu nous donner plus d'autonomie sont à la place utilisées pour nous enchaîner. Avec les livres imprimés, vous pouvez les acheter en liquide, de manière anonyme,alors vous en êtes propriétaire ;vous n'êtes pas obligé de signer une licence qui restreint l'usage que vous en faites ;le format est connu, et aucune technologie privatrice (propriétaire) n'est requise pour lire le livre ;vous pouvez donner, prêter ou vendre le livre à quelqu'un d'autre ;vous pouvez, physiquement, scanner ou photocopier le livre, et c'est parfois même légal sous le régime du copyright ;personne n'a le pouvoir de détruire votre livre. Haut de la page

Une étude affirme qu’on mémorise moins bien sur Kindle que sur papier La chercheuse norvégienne Anne Mangen, spécialiste de la numérisation de la lecture à l’université de Stavanger, a mené une étude sur cinquante personnes. Tous ont reçu la même nouvelle de 28 pages à lire, la moitié sur Kindle, la moitié sur papier. Les résultats, confirmant une intuition spontanée, suggèrent qu’on mémorise moins bien l’intrigue et la chronologie des événements sur liseuse. « La sensibilité cutanée et la réaction tactile d’un Kindle ne soutiennent pas de la même manière la reconstruction mentale d’une histoire qu’un livre de poche imprimé. Quand vous lisez sur papier vos doigts sentent une pile de pages s’amasser sur la gauche et rétrécir à droite. Vous sentez physiquement la progression, au-delà du visuel. [...] L’universitaire avait déjà travaillé sur la réception émotionnelle de la littérature, qui différerait sur iPad et sur papier, et sur la lecture comparée de fichiers PDF et de texte imprimé. Lire sur The Guardian.com (en anglais)

Droit à l’oubli ou devoir de mémoire ? En marge de notre série intitulée “Qu’est-ce que le droit à l’oubli ?“, nous pourrions évoquer, pour ainsi dire à l’autre pôle, le devoir de mémoire. L’opposition de ces deux concepts pourrait à elle seule générer une nouvelle série de développements sur ce blog, tant la matière est riche et surtout tant elle part dans des directions différentes. Et tous deux relèvent complètement de l’e-réputation… Aujourd’hui, pour coller à l’actualité, évoquons la question du droit à l’oubli des défunts sur Internet. Complètement dans sa mission, la Cnil pose la question sur le terrain de la protection des données de la vie privée d’une personne. Sous cet angle des données personnelles, il est possible de penser que : Mais rien n’empêche de penser à l’inverse que : On voit donc que les choses ne sont pas si simples ou si binaires que le seul fait de passer de vie à trépas.

Metacognition : Qu'est-ce que la métacognition Décomposition du terme Pour commencer, voyons de quels termes le mot "métacognition" se compose. Cognition : faculté de connaître, acte mental par lequel on acquiert une connaissance, opération cognitive relative à la connaissance. Méta : du grec méta – au delà de – après – qui indique le changement – la postérité, la supériorité, le dépassement. Exemples de la vie quotidienne: Afin d'illustrer le terme de métacognition, et bien comprendre à quoi il se réfère, voici quelques exemples de la vie quotidienne impliquant la métacognition: Monter un meuble implique de regrouper les éléments à assembler, de planifier les tâches (s'occuper d'abord de mettre les vis sur chaque élement, respecter ou pas l'ordre de la notice de montage, mettre toutes les étagères ou juste un certain nombre (s'il y en a), etc). Pour améliorer ses performances, un sportif fait appel à la métacognition. Les domaines d'application sont donc très vastes. Quelques définitions: Un concept composite Pour résumer Bibliographie

Intelligences Accueil > Dossiers et articles > Intelligences Qu'il est difficile de définir de manière univoque ce qu'est l'intelligence ! La notion a en effet beaucoup évolué avec le temps. Retenons pourtant deux éléments essentiels : c'est grâce à notre intelligence que l'on comprend, puis que l'on produit quelque chose à partir de ce que l'on a compris. Mais comprendre quoi ? Mesurer l'intelligence conceptuelle abstraite s'est vite révélé insuffisant pour rendre compte de l'incroyable palette de talents et d'habiletés mises en oeuvre par l'individu au jour le jour. L'intelligence se cultive seul ou à plusieurs. Illustration : agsandrew, Shutterstock.com Sonder notre cerveau pour prédire nos achats 6 avril 2014 Le neuromarketing apparaît comme la nouvelle approche à la mode pour entrer au plus profond de l'esprit des consommateurs... et leur faire acheter toujours plus de produits et services. De l'intelligence émotionnelle à la manipulation 5 avril 2014 Ces neuromythes qui persistent dans les écoles

Arts de la mémoire : les principes de la mémorisation Quels sont les principes de mémorisation utilisés dans les arts de la mémoire ? Comment mémoriser des quantités d’informations sans se tromper ? Quel rôle peuvent encore jouer les arts de la mémoire à l’ère numérique ? Ce sont quelques questions que je me pose depuis quelques années. Et sur lesquelles je voudrais échanger avec vous au cours d’une nouvelle série d’articles. Les arts de la mémoire ont connu une longue éclipse avant d’être remis à l’honneur par les livres de Dame Frances Yates. Mais quels sont les principes qui ont été utilisés par les « mnémonistes » au cours des 3 derniers millénaires pour mémoriser tant des discours que des poèmes ou des formules de mathématiques ? Trois principes fondamentaux En fait, ces principes sont au nombre de 3. L’ordreL’associationLa répétition Sur la carte heuristique suivante, j’ai dessiné quatre branches : j’ai scindé « association » et « combinaison d’associations » pour une question de visualisation. 1. 2. Vous avez dit « bizarre » ? 3.

Les neurosciences vont-elles confirmer la psychanalyse ? Edito : Les neurosciences vont-elles confirmer la psychanalyse ? Longtemps les neurosciences et les sciences cognitives, grisées par les avancées incontestables dans la connaissance des mécanismes biochimiques et moléculaires qui caractérisent notre cerveau et sous-tendent notre pensée, notre mémoire et notre conscience, se sont appuyées sur la métaphore informatique pour rendre compte du prodigieux fonctionnement de notre esprit et des remarquables facultés cognitives de l'espèce humaine. Cette conception scientifique et philosophique dominante dans les sciences cognitives connut son apogée avec des ouvrages qui eurent un grand succès, comme "homme neuronal" de Jean-Pierre Changeux, en 1983, le "Cerveau-machine", de Marc Jeannerod, en 1991 ou encore "La biologie des passions", de Jean-Didier Vincent, en 1999. Dans son essai, Pommier montre que la conscience du monde qui nous entoure ne peut prendre sens que par la "médiation du symbole". René TRÉGOUËT Sénateur Honoraire Noter cet article :

Pan European Game Information - Les jeux et la santé La violence présente dans les jeux vidéo peut-elle affecter le comportement de mon enfant ? Il n’existe pas de preuves démontrant que le fait de jouer à des jeux vidéo violents provoque une augmentation à long terme ou durable de l'agressivité ou de la violence. Les études portant sur la question de savoir si les jeux vidéo incitent à la violence ciblent principalement les effets à court terme et sont contradictoires. Pour en savoir plus: - Raymond Boyle et Matthew Hibberd, « Review of Research on the Impact of Violent Computer Games on Young People » (Étude des recherches portant sur l’impact des jeux vidéo violents sur les jeunes) Stirling Media Research Institute, mars 2005 - Simon Egenfeldt-Nielsen et Jonas Heide Smith, « Playing With Fire?

Jeux vidéo : 9 bienfaits étonnants sur le corps et la santé JEUX-VIDEO - Votre mère avait tort. Les jeux vidéo ne sont pas mauvais pour vous. En réalité, ils améliorent votre vie. 1. Pour mieux comprendre la façon dont les jeux vidéo affectent le cerveau, des chercheurs allemands ont conduit une étude, publiée cette semaine. Des scans IRM de leurs cerveaux ont montré que le groupe de joueurs avaient vu leurs cellules grises augmenter dans l'hippocampe droit, le cortex préfrontal droit et le cervelet – les zones du cerveau responsables de la navigation spatiale, de la mémoire, de l'organisation et de la motricité des mains. "Alors que des études précédentes avaient montré des différences de structures du cerveau chez les joueurs de jeux vidéo, l'étude actuelle révèle l'existence d'un lien entre jouer aux jeux vidéo et une augmentation du volume du cerveau", explique Simone Kühn, qui a dirigé l'étude. 2. 3. 4. Une étude de l'université de Padoue a jeté un froid sur l'idée que les jeux vidéo sont mauvais pour le cerveau des jeunes enfants. 5. 6.

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