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C'est pas sorcier le rejet de la greffe

C'est pas sorcier le rejet de la greffe

Don d’organes - Agence de la biomédecine groupes sanguins et transfusions Dossier - Des groupes sanguins pour quoi faire ? [Sommaire] [Antigènes] [Anticorps] [Mère-foetus] [Règles immunologiques] [Conclusion] 4- Règles immunologiques de la transfusion sanguine : Eviter le conflit antigène - anticorps La transfusion sanguine aujourd’hui Les situations médicales dans lesquelles on est amené à réaliser une transfusion sanguine à des malades sont fréquentes et variées, au premier rang desquelles les pertes de sang importantes par hémorragie grave. Risque immunomogique et notion de compatibilité Le risque premier lors d’une transfusion sanguine est lié à la possibilité de réunir dans le l’organisme du receveur (la personne transfusée) un anticorps et son antigène érythrocytaire. Figure 4.1 . Compatibilité dans le système ABO : impératif transfusionnel Un individu de groupe AB n’a pas d’IgM anti-A ou B circulantes, il peut donc recevoir du sang des trois autres groupes du système ABO : on parle de receveur universel dans le système ABO. Figure 4.2 .

Le consentement présumé Les principes juridiques qui encadrent le don, le prélèvement et la greffe d’organes sont énoncés par la loi relative à la bioéthique du 6 août 2004, modifiée le 7 juillet 2011 (loi n° 2011-814). Trois principes majeurs ont été posés : le consentement présumé, la gratuité du don et l’anonymat entre le donneur et le receveur. Le cadre juridique et réglementaire La France a mis en place un dispositif plus solidaire envers les malades qui permet d’optimiser la disponibilité en greffons (puisque nous sommes tous donneurs potentiels), tout en laissant à chacun la possibilité d’exprimer un choix et d’en changer de façon souple. En France, la loi dispose que toute personne est considérée comme consentante au don d’éléments de son corps en vue de greffe si elle n’a pas manifesté d’opposition de son vivant. La loi prévoit la possibilité de s’opposer par deux moyens : l’inscription au registre national des refus et/ou la communication de sa position à ses proches qui en témoigneront.

France ADOT 67 - Bas-Rhin – Pour le Don d’Organes et de Tissus Humains Historique de l'ADOT – Bas-Rhin France Adot 67 a été créée le 16 février 1986 à SAVERNE (Bas-Rhin). Elle est l'une des associations départementales que regroupe la Fédération Nationale FRANCE ADOT. M. Joseph ELMERICH en a été le Président Fondateur. Il a assuré cette fonction de 1986 à 1988. Lui ont succédé : * Docteur François PELISSIER (1988 à 1994) * Mme Christiane DEBS (1994 à 2003) * M. * M. * Mme Christiane DEBS (2008 à 2014) * M. Photo prise lors du Congrès National de France Adot à Strasbourg (octobre 2013) De gauche à droite : Angèle BACH, Christiane DEBS, Mireille & Roger FEHR, Rosita FIXARY, Robert JOERGER, Jean-Marie HENTZEL, Christiane KALCK, Christine KOCHER, Denise LE CHANU, Joëlle MAUGIS, Marie-Claire OBERMEYER, François PELISSIER, Jean-François SURMIN, Franck WALTZ, André SCHWARTZ et Jean-Pierre WEISS. Présentation de l'ADOT – Bas-Rhin Membres du bureau : - Président : Roger FEHR - Présidente d'honneur : Christiane DEBS - Vice Présidents : Christine KOCHER et François PELISSIER

Donner son sang Agenda 2015 des collectes de sang dans le Doubs Marche départementaleà Frasnele 7 juin 2015 Téléchargez l'affiche de la marche départementaleà Frasnele 7 juin 2015 Moelle osseuse : appel aux donneurs volontaires Don du sang : grande cause nationale 2009 « La transfusion sanguine sauve chaque jour des vies, et ce depuis un siècle. Elle n'existe que parce qu'une partie de l'Humanité accepte de donner son sang, c'est-à-dire un peu d'elle-même, pour venir en aide à une autre. Malheureusement, ce n'est pas encore le cas dans tous les pays de la planète. C'est un des grands paradoxes de notre monde moderne : refuser la rémunération du sang, revendiquer le don bénévole constituent des privilèges des pays riches. » Jean DaussetPrix Nobel de Médecine Les donneurs Certaines conditions sont à vérifier avant de donner son sang : son poids, son âge. Si le donneur est en bonne santé, le don du sang ne comporte aucun risque. Il est recommandé de s'alimenter et de boire de l'eau avant un don. Voir aussi

Greffe de rein : pourquoi les malades ont besoin de donneurs vivants La France affiche un retard dans les greffes de rein à partir de donneurs vivants. L'Agence de la biomédecine met en avant les bénéfices de cette option thérapeutique méconnue. Les Français n'ont pas peur du don d'organes du vivant, ils ne connaissent pas cette forme de greffe. « De nombreux Français restent encore persuadés que seul le prélèvement d'un rein sur une personne décédé est possible », confie Yvanie Caillé, directrice générale de Renaloo, une association de patients et de proches concernés par les maladies des reins. Alors, à l'occasion de la « Journée mondiale du don d’organes et de la greffe » qui se déroule ce jeudi, l'Agence de biomédecine et les associations de patients se mobilisent pour rappeler notamment que le don de rein à partir d'un donneur vivant doit devenir une solution envisagée au même titre que la greffe à partir de donneur décédé.

“Vers un monde altruiste” : la vidéo qui réhabilite la nature humaine Dans l’imaginaire collectif (et pour de nombreux penseurs) l’homme est un loup pour l’homme, point à la ligne. Ce serait dans sa nature et on n’y peut rien. Pourtant, de nombreux scientifiques essaient de faire entendre une voix différente au beau milieu de cette pensée unique. Selon eux, l’être humain serait, au contraire, véritablement et fondamentalement altruiste. Et, pour nous en convaincre, ils ne manquent pas d’arguments. Malgré les idées reçues, l’homme serait naturellement porté à aider et à secourir son prochain. De quoi remettre certaines choses en perspectives. Le documentaire Vers un monde altruiste est disponible dans la boutique d’Arte. Des scientifiques réhabilitent enfin la nature humaine.

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