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Quelle place pour l’action culturelle en bibliothèque? La place de l’animation en bibliothèque me semble fragilisée par la démultiplication de l’offre culturelle. En effet depuis quelques années, le nombres d’activités culturelles, de festivals, de lieux de spectacles a considérablement augmenté. Ces propositions sont issues à la fois de la sphère privé (librairies, grandes enseignes, magasins de loisirs, …) ou de la sphère publique (théâtres, centres culturels, associations, médiathèques, scènes de musique actuelle, musées, …). Le citoyen se trouve confronté à une offre sans cesse croissante et dont les différences sont floues. Dès lors, je m’interroge sur quelle place pourra occuper les bibliothèques dans un univers concurrentiel où elles ne peuvent rivaliser ni en terme des contenus ni en terme de publicité à cause des faibles budgets dont elles disposent. L’enjeu est selon moi d’élargir les modalités de l’action culturelle afin de favoriser la participation de tous les publics. Est-ce que vous percevez d’autres pistes? WordPress: Connexe

Action culturelle et production de contenus La bibliothèque, pourvoyeuse ou productrice ? À en croire la doxa professionnelle, la bibliothèque est en passe de faire sa petite révolution : de pourvoyeuse de contenus (entendons d’ores et déjà contenus documentaires, qu’elle abrite, fournit et procure au public, dont elle prend en charge l’approvisionnement et la mise à disposition, en tant que puissance contenante), elle relèverait actuellement le défi de devenir une productrice de contenus, au même titre que d’autres institutions ou établissements culturels. Ce serait là une autre des multiples métamorphoses de cette noble institution aux mille et une vies, sans cesse déchirée entre deux transitions, avec pour point fixe le caractère immuable et intangible de ses collections, au gré de l’histoire politique et des évolutions techniques qui jalonnent sa courte existence au chevet de l’humanité. Une mission traditionnelle Simple reflet ou processus de création ? Quelle voix pour la bibliothèque ? Un enjeu pour les bibliothèques

L'action culturelle en bibliothèque - BloGrepauly Historique, Finalités, Typologie, Statistiques Ce petit historique de l'action culturelle en bibliothèque est tiré de mon mémoire de Master Métiers des archives et des bibliothèques de l'université de Provence. Il a été rédigé à l'aide de mes connaissance et des nombreux documents que j'avais à la disposition. Après avoir parcouru rapidement l'histoire de l'action culturelle en bibliothèque en France, , je présenterais les finalités et une typologie de ces actions. Petit Historique de l'action culturelle en bibliothèque Traditionnellement les bibliothèques ont d'abord été un lieu de conservation du patrimoine. Maintenant, nous allons regarder comment se porte l'action culturelle en bibliothèque ? Concernant les manifestations nationales, on note que 70% des bibliothèques de l'échantillon participent à « Lire en Fête » (L'enquête étant faite en 2004, la manifestation se nommait « Lire en fête », aujourd’hui elle se nomme « à vous de lire ! (1) Qui sont :

Speedbooking : un rendez-vous mensuel autour des livres | Saint-Quentin-en-Yvelines : médiathèques Le speedbooking est basé sur le principe du speed-dating : vous avez 5 minutes pour séduire, échanger, convaincre ou faire découvrir à votre « partenaire » votre coup de cœur ou votre coup de gueule littéraire. Lancés lors de la Nuit blanche à la médiathèque du Canal en septembre 2011, ces rendez-vous ont rencontré un franc succès qui a incité les bibliothécaires à en proposer toute l’année. Vous pouvez désormais "speedbooker" dans trois médiathèques du réseau. Médiathèque du Canal – Samedi à17h

L’éducation populaire en question(s) Et si notre société avait besoin plus que jamais de réels éducatifs ambitieux en direction de toute la population ? En essayant de se départir du sens commun propre à tout groupe constitué, la question mérite d’être sincèrement posée. En effet, la fulgurance des changements sociaux et économiques, des révolutions à l’oeuvre dans les sciences et les technologies modifie profondément la structure même des sociétés sans que cela ne fasse vraiment l’objet de débats démocratiques visibles. Cependant, comme nous le montre l’histoire de l’éducation populaire (lire la contribution de Jean-Paul Martin), il semble bien qu’il y ait conjonction des révolutions scientifiques et techniques et des évolutions démocratiques. C’est pourquoi dans la perspective de notre Question de congrès de 2013, nous avons à faire le point sur les visions historiques de cette notion pour bien fixer les repères, tout en se départissant des tentations mortifères d’une histoire officielle.

Edgar Morin : « Nous avançons comme des somnambules vers la catastrophe » Pourquoi la vitesse est-elle à ce point ancrée dans le fonctionnement de notre société ? La vitesse fait partie du grand mythe du progrès, qui anime la civilisation occidentale depuis le XVIIIe et le XIXe siècle. L’idée sous-jacente, c’est que nous allons grâce à lui vers un avenir toujours meilleur. Plus vite nous allons vers cet avenir meilleur, et mieux c’est, naturellement. C’est dans cette optique que se sont multipliées les communications, aussi bien économiques que sociales, et toutes sortes de techniques qui ont permis de créer des transports rapides. Cela est-il donc si nouveau ? Dans les temps anciens, vous vous donniez rendez-vous quand le soleil se trouvait au zénith. Cette quête de vitesse n’est-elle pas une illusion ? En quelque sorte si. Le progrès et le rythme auquel nous le construisons nous détruit-il nécessairement ? Pourquoi cherchons-nous systématiquement une utilité au temps qui passe ? Prenez l’exemple du déjeuner. Pourquoi ? A qui la faute ? Oui ! Voilà. Non, non.

L'actu en patates | Les dessins d'actualité et d'humeur de Martin Vidberg

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