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Belle Epoque

Belle Epoque
«Le dix-neuvième siècle, avec son idéalisme libéral, était sincèrement convaincu qu'il se trouvait sur la route droite qui mène infailliblement au «meilleur des mondes possibles». On ne considérait qu'avec dédain les époques révolues, avec leurs guerres, leurs famines et leurs révoltes, on jugeait que l'humanité, faute d'être suffisamment éclairée, n'y avait pas atteint la majorité. Il s'en fallait de quelques décades à peine pour que tout mal et toute violence soient définitivement vaincus, et cette foi en un progrès fatal et continu avait en ce temps là toute la force d'une religion. Déjà l'on croyait en ce «Progrès» plus qu'en la Bible, et cet évangile semblait irréfutablement démontré par les merveilles sans cesse renouvelées de la science et de la technique [...] Stefan Zweig en 1941 dans: Le monde d'hier - Mémoires d'un Européen

Paris avant 1900 en photo : les plus belles photos du vieux Paris ! L’apparition en 1839 des premiers daguerréotypes nous offre les premiers clichés de Paris. A partir de 1854 la photographie se démocratise et l’on voit apparaître les premières séries de photographies sur Paris comme celles réalisées par Charles Nègre, Charles Marville ou Henri le Secq. Vous remarquerez que les photos datant d’avant 1900 sont généralement vides de toutes personnes. Cela s’explique par des temps de poses extrêmement longs à l’époque ne permettant pas de fixer le passage des parisiens pourtant nombreux dans les rues. Les photos ou l’on distingue des personnages (photo des ramoneurs en marche) sont le résultat de plusieurs heures de pose en position statique ! Voici donc une sélection non exhaustive des photos de Paris avant 1900 ! Sélection de photo du Paris d’avant (comprise entre 1842 et 1902) La plus ancienne photo de Notre Dame de Paris en 1842 : funérailles du duc d’Orléans Les ramoneurs en marche de Charles Nègre – Paris 1852 (photo présente au Musée Carnavalet).

Art Contemporain Web TV Creativtv La «Belle Époque» - La France en effervescence « Belle Époque », vraiment ? Cette expression a été inventée par les Français des années 1920 pour qualifier avec un soupçon de nostalgie la période d'une vingtaine d'années qui précède la Grande Guerre 14-18. Mérite-t-elle son nom ? Sans aucun doute si l'on considère l'effervescence artistique, intellectuelle et scientifique qui agite le pays et, dans des proportions diverses, le reste de l'Europe. Camille Vignolle Relative pauvreté, misère morale L'époque devra son surnom à une bourgeoisie opulente, qui vit de ses rentes, jouit intensément des progrès et des créations culturelles de son temps et voyage beaucoup - sans passeport -. Mais en dépit d'une économie qui a repris sa croissance après 1896 et la fin d'une longue dépression (1873-1892), les autres Français supportent encore des conditions de vie précaires, aggravées par l'incertitude du lendemain. L'alcoolisme progresse comme jamais, favorisé par la loi du 17 juillet 1880 qui instaure la liberté de commerce des débits de boisson.

Banksy Art - Artiste engagé Art terroriste anksy, agitateur social ou « art terroriste », est un artiste très engagé. La majorité de ses oeuvres sont frappantes et humoristiques à la fois. Il est pour la liberté, pour la justice, contre la guerre, la famine et tous les fléaux causés par l'homme. Anticapitaliste et pro liberté, il accompagne souvent ses oeuvres de slogans percutants, qui font réfléchir et qui décoiffent. Il adore faire l'utilisation du rat et du singe, qui semblent souvent fortement emprunter des traits humains lorsqu'il les illustre. Banksy aime détonner et pousser la réflexion et il le représente de façon très pertinente dans ses oeuvres. Un an auparavant, soit en 2004, il réalise une quantité importante de faux billets de 10 pounds. Cependant, il y remplace la reine d'Angleterre par Lady Diana et y change le « Bank of England » habituel par un « Banksy of England » significatif et lourd de sens.

Belle Époque Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Último baile, 1905. Peinture d’Aurélio de Figueiredo. La Belle Époque est une période marquée par les progrès sociaux, économiques, technologiques et politiques en Europe, s'étendant de la fin du XIXe siècle au début de la Première Guerre mondiale en 1914. Le terme est principalement usité en France et Belgique. En Europe[modifier | modifier le code] Généralités : une période de paix[modifier | modifier le code] Après la guerre franco-prussienne, l'Europe vit une longue période de paix de quatre décennies, chose rare et favorable aux progrès économiques et techniques[réf. nécessaire]. Dans toute l'Europe, la main-d’œuvre s'organise en syndicats ou en partis politiques : c'est pendant cette période qu'apparaissent les premiers partis socialistes européens, de plus en plus influents. Les populations de cette époque sont très optimistes[réf. souhaitée] et insouciantes quant à l'avenir, grâce aux extraordinaires progrès techniques.

Les Artistes Contemporains, Webzine dédié l'art contemporain L'Impressionnisme et les peintres impressionnistes Claude Gellée Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Claude Gellée, « le Lorrain » Autoportrait, 1650 (Musée du Louvre, Paris). Œuvres réputées Port de mer au soleil couchant 1639 huile sur toile 137-103 cm Paris Biographie[modifier | modifier le code] Ulysse remet Chryséis à son père, v. 1644. Claude Gellée fréquente l’école du village avant de commencer à apprendre le métier de pâtissier. Il fait un séjour à Naples entre 1617 et 1621 où il étudie auprès du paysagiste Goffredo Wals. Toute sa carrière se déroule ensuite à Rome. Dans une première période, il reçoit des commandes du pape Urbain VIII. À partir de 1645, le Lorrain s'oriente vers des œuvres plus apaisées, à la lumière uniforme, d'inspiration mythologique ou biblique (Bord de mer avec Apollon et la sibylle de Cumes, 1647 ; Mariage d'Isaac et Rebecca, 1648). Enée à Délos, 1672, National Gallery, Londres Postérité[modifier | modifier le code] La sépulture de Claude Gellée dans l'église Saint-Louis des Français à Rome par Paul le Moyne

Giotto, le premier artiste Au XIVe siècle, en l'émancipant de son statut décoratif, Giotto révolutionne la peinture. C'est pour qualifier son génie que le poète Dante invente le mot “artiste”. Une anecdote célèbre raconte comment Giotto, enfant, fut remarqué par Cimabue, alors le plus grand peintre florentin du XIIIe siècle : le maître, passant à cheval, voit un jeune berger dessiner sur une ardoise une brebis d'un tel réalisme qu'il en est subjugué et embauche immédiatement l'enfant dans son atelier. « Giotto changea l'art de la peinture. Mot toscan Jusqu'à l'écriture du Chant XIII du Paradis, le mot artiste n'existait pas. Ensemble, ils allèrent à Assise réaliser les fresques de l'église inférieure. Il y a un style Giotto. Dix-sept secondes par œuvre Du jardin, on peut voir les visiteurs patienter, assis dans des banquettes. Yves Farge ressent à peu près la même sensation que Proust lorsqu'il entre dans l'église supérieure d'Assise en 1937. Ouvrier du peuple

vidéo 799 : Une oeuvre expliquée de Paul Cézanne (1839- 1906) " Le garçon au gilet rouge" - peinture à l'huile sur toile (vers 1889) Après la période de ses débuts (1859-1871), Cézanne de 1872 à 1876 traverse la période impressionniste, qui le conduira à une période constructive (1878-1890) et enfin à une période synthétique jusqu'en 1906. Le Garçon au Gilet Rouge. (vers 1889). Faire glisser le doigt de la souris devant les diverses rubriques, pour afficher le contenu. Dans ce tableau, plusieurs éléments semblent s'extirper de la composition de l'oeuvre: - Les bras du jeune garçon semblent disproportionnés. - L'oreille droite est immensemment démesurée, à l'image d'un pavillon qui capterait tous les sons, malgré l'air absent du personnage. - La couleur rouge: Les tâches rouges apparaissent chez Cézanne dès 1866 sous la forme d'un étrange objet dans une nature morte à laquelle on donne habituellement le titre : Crâne et bougie . Sans doute la couleur rouge a-t-elle une vocation pour l'hétérogène. Les pensées de Paul Cézanne à méditer.

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