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Code vestimentaire

Code vestimentaire
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'habillement, outre sa fonction de protection contre les intempéries et de confort, comporte donc un message à forte portée sociale, une prétention à être ce que l'on n'est pas forcément et, a contrario, il peut aussi défier le « code » en vigueur, comme pour les punks, se faire le reflet d'un message politique. Le code vestimentaire approprié pour une soirée est parfois précisé sur le carton d'invitation. Pour une entreprise, il est spécifié, s'il existe, dans le règlement intérieur, en particulier pour le vendredi, jour où les cadres sont autorisés à ne pas porter la cravate, (c'est le « Friday wear », ou « casual Friday »). Historiquement, les lois somptuaires ont souvent tenté d'imposer ou de spécifier le code vestimentaire en vigueur, interdisant le plus souvent l'usage du luxe aux couches populaires. L'habillement comme signifiant[modifier | modifier le code] Du genre sexuel[modifier | modifier le code] Vestimentaire

Réseaux sociaux et e-réputation | SOS eReputation Dans cet article, nous allons revoir l’origine des réseaux sociaux pour mieux comprendre la question d’e-réputation qui soulève des polémiques suite aux incidences qu’elle a pu avoir sur des entreprises et des individus Origine des Réseaux Sociaux Les réseaux sociaux sur internet ont été découverts aux États-Unis en 1995, mais n’ont été connus par tous les continents qu’en 2004. Ils ont émergés suite à des révolutions technologiques et techniques. Notamment grâce à l’apparition de la technologie AJAX(JavaScript + XML) qui a permis d’accélérer les interactions avec les pages Internet. Ils pouvaient retrouver leurs réseaux d’amis et de professionnels dans le virtuel et partager rapidement à un plus grand nombre leurs contenus (textes, musiques, images, vidéos…) ou leurs émotions du moment. Très vite, une connexion s’est alors créée entre une multitude d’acteurs et l’information a circulée entre eux sans que l’on puisse vraiment la contrôler. Importance de l’E-réputation

La e-réputation en 10 points clés Nous le constatons tous les jours : la question de la e-réputation monte en puissance. Pas seulement sur le web, où tout le monde en parle, mais aussi et surtout dans les comités de direction. Pour beaucoup, c’est un réflexe de protection face aux attaques potentielles sur Internet. Dans un monde connecté et en conversation, c’est une préoccupation légitime. 1 – La e-réputation n’existe pas en soi. 2 – Travailler sur la e-réputation, c’est comprendre les ressorts de la réputation. 3 - La réputation, avec son sous ensemble de e-réputation, se gère comme un actif stratégique. 4 – Le diagnostic de e-réputation est un moment fondateur. 5 – La e-réputation se conçoit comme une démarche de progrès, au service de la stratégie d’entreprise. 6 – La e-réputation présente deux versants : risques/opportunités. 7 – Les collaborateurs, comme les dirigeants, sont vecteurs de réputation sur le web. 8 – La technologie n’est pas le facteur déterminant du marché de la e-réputation. Laurent Reynes

Réseaux sociaux : véritables outils de relations-clients Pour réaliser son étude annuelle baptisée « Social Media Attitude 2012 », le syndicat national de la communication directe (SNCD) a interrogé près de 11 000 internautes majeurs inscrits sur au moins un réseau social (Facebook, Twitter, Google+…) sur l'utilisation qu'ils ont de ces réseaux pour échanger avec les entreprises. Il ressort tout d'abord de cette enquête que 36 % des personnes interrogées sont « fans » d'au moins une marque et que près de la moitié d'entre elles suivent plus de 5 marques. Concernant les motivations pour devenir « fan » d'une page d'entreprise, elles s'expliquent à 72 % par un « attachement à la marque », à 40 % par un contenu intéressant de la page (en rapport avec la marque), ou par la présence de jeux/concours ou d'une offre commerciale (respectivement 35 % et 26 % ). Enfin, si seules 3 % des personnes interrogées ont déjà acheté sur un réseau social, 27 % se disent prêtes à le faire.

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