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Mémoire et histoire Éduscol

Mémoire et histoire Éduscol
Une journée européenne Réunie à Cracovie, du 15 au 17 octobre 2000, pour sa 20ème session, la Conférence permanente des ministres de l'éducation européens a recommandé aux États membres de prendre "les mesures éducatives notamment dans la formation des enseignants qui peuvent permettre de prévenir la répétition ou la négation de crimes contre l'humanité tels que l'Holocauste et l'épuration ethnique qui ont marqué le XXème siècle par leurs violations massives des droits de l'homme et des valeurs fondamentales défendues par le Conseil de l'Europe". S'appuyant sur une proposition du Secrétaire général du Conseil de l'Europe, les ministres sont également convenus à cette occasion de consacrer, dans les établissements scolaires, une "journée de la mémoire de l'Holocauste et de la prévention des crimes contre l'humanité" (consulter le texte intégral de la déclaration). Des manifestations et des actions pédagogiques Textes officiels Articulation avec les nouveaux programmes d'enseignement Related:  EMC

Journée internationale des droits de l'enfant La France, comme de nombreux autres pays, a fixé au 20 novembre de chaque année une journée internationale des droits fondamentaux de l'enfant. Cette date a été choisie par le Parlement en 1995 afin de commémorer l'adoption par l'Assemblée générale de l'Organisation des Nations unies du texte de la Convention relative aux droits de l'enfant, le 20 novembre 1989. Entrée en vigueur en France dès 1990, cette convention internationale, qui consacre notamment la notion d'intérêt supérieur de l'enfant, décline les différents droits que les pays signataires s'engagent à reconnaître aux moins de dix-huit ans, en fixant des normes en matière de soins, de santé, d'éducation et de services juridiques, civils et sociaux. La convention institue l'enfant « sujet de droit », bouleversant la conception traditionnelle de l'enfant « objet de droit ». 1. Le rôle de l'école dans la promotion et la défense des droits de l'enfant 1.1. - des connaissances dispensées dans le cadre des enseignements ; 1.2. 2. 3.

Mémoire et histoire - Journée nationale des mémoires de la traite, de l'esclavage et de leurs abolitions Le 10 mai Le 10 mai a été choisi en référence au 10 mai 2001, jour de l'adoption en dernière lecture par le Sénat de la loi reconnaissant la traite et l'esclavage comme crime contre l'humanité (loi n° 2001-434 du 21 mai 2001). Le comité pour l'histoire et la mémoire de l'esclavage Cette loi a notamment instauré le Comité pour l'histoire et la mémoire de l'esclavage, un organisme composé de personnalités qualifiées parmi lesquelles des représentants d'associations défendant la mémoire des esclaves. La circulaire du premier ministre du 29 avril 2008, adressée notamment aux recteurs et vice-recteurs d'académie, rappelle en outre que plusieurs autres dates commémoratives, aux champs géographiques et aux thématiques variés, favorisent une réflexion approfondie des écoliers, des collégiens et des lycéens sur la question de l'esclavage. Concours « la Flamme de l'égalité » Au niveau local Par ailleurs, en métropole, une attention particulière est accordée à la date du 23 mai. Au niveau international

Göttingen - Ces chansons qui font l'histoire Accueil > Chroniques > Année 2012 > Göttingen Artiste(s) : Barbara Diffusé sur France Info le 12 août 2012 France-Allemagne Ce succès de l’été 1965, pendant lequel on célèbre le vingtième anniversaire de la fin de la guerre, dit de manière solennelle et douce que la paix est enfin venue entre la France et l’Allemagne. Barbara, qui fut une enfant juive se cachant pendant la guerre pour échapper à l’extermination, appelle à la réconciliation définitive avec les « blonds enfants de Göttingen ». Officiellement l’Allemagne et la France ne seront réconciliées qu’en janvier 1963. Cet été-là, le Président Charles de Gaulle annonce le retrait de l’OTAN au plus tard en 1969.

Agir contre le racisme - Sitographie indicative L'agenda de la semaine d'éducation et d'actions contre le racisme et l'antisémitisme Autour du 21 mars, journée mondiale pour l'élimination de la discrimination raciale, la semaine d'éducation et d'actions contre le racisme et l'antisémitisme valorise chaque année les engagements pour les valeurs de liberté, d'égalité et de fraternité. Sous l'égide de la DILCRAH, délégation interministérielle à la lutte contre le racisme, l'antisémitisme et la haine anti-LGBT, un répertoire interactif recense les actions proposées dans ce cadre par les partenaires de l'École notamment. Ressources du ministère de l'éducation nationale, de l'enseignement supérieur et de la recherche Sur le site Eduscol Sur le site Education.gouv Dans le Réseau-Canopé Au sein du portail « Valeurs de la République », Réseau-Canopé, opérateur public du ministère, propose une offre dédiée de ressources pour éduquer contre le racisme et l'antisémitisme. Réseau-Canopé propose aussi des ressources pour la prévention de la violence.

Citoyenneté et engagement C’est à l’école qu’incombe le rôle de « former le futur citoyen » à travers plusieurs dispositifs. L’école est le lieu central dans l’apprentissage de la citoyenneté : l’élève éprouve ses droits et ses devoirs explicités dans le règlement intérieur – élaboré d’ailleurs avec la participation de l’ensemble de la communauté éducative. Il y fait également l’exercice de la démocratie puisque des votes sont organisés en vue d’élire des délégués. Il peut également adhérer au foyer socio-éducatif ou maison du lycéen : association animée par les élèves, elle propose des activités périscolaires et peut servir de caisse de solidarité. L’enseignement moral et civique (EMC) vise l’acquisition d’une culture morale et civique et d’un esprit critique qui ont pour finalité le développement des dispositions permettant aux élèves de devenir progressivement conscients de leurs responsabilités dans leur vie personnelle et sociale (Voir le BOEN spécial n° 6 du 25 juin 2015).

Agir contre le racisme - Agir contre le racisme, l'antisémitisme et la xénophobie Une politique inscrite dans le cadre du plan national 2018-2020 Le plan national de lutte contre le racisme et l'antisémitisme (2018-2020), piloté par la DILCRAH (Délégation interministérielle à la lutte contre le racisme, l'antisémitisme et la haine anti-LGBT), fixe le cadre dans lequel l'École prévient les manifestations du racisme et de l'antisémitisme en milieu scolaire et y répond. Faisant suite au plan 2015-2017, qui accordait déjà une importance particulière à l'éducation et à la formation, le plan 2018-2020 poursuit l'objectif d'améliorer la réponse de l'institution scolaire et l'accompagnement des équipes éducatives confrontées à des difficultés. A cette fin, une "équipe nationale de réaction", pilotée par le ministère de l'éducation nationale et de la jeunesse et la DILCRAH, apporte un soutien opérationnel aux équipes académiques "Valeurs de la République" placées sous l'autorité du recteur. Memento Lutte contre le racisme et l'antisémitisme - Des pistes pour agir à l'École

Éducation à la citoyenneté - Les finalités, les enjeux Angleterre L'éducation à la citoyenneté est définie dans le cadre du programme d'enseignement scolaire national et au travers du Programme National pour les enseignants des premier et second degrés. Le programme national ainsi que ses objectifs et valeurs autour desquels il s'articule a été récemment évalué par l'autorité en charge des programmes scolaires, la Qualifications and Curriculum Authority (QCA) : les recommandations stipulent que le programme doit aider les jeunes à devenir des élèves qui réussissent, des individus sûrs d'eux-mêmes et des citoyens responsables. www.qca.org.uk/curriculum. L'apprentissage de la citoyenneté apporte aux élèves une sensibilisation, des connaissances et le savoir-faire nécessaires pour jouer un rôle dans la société aux niveaux local, national et international. Il en fait des citoyens informés et responsables, conscients de leurs droits et de leurs devoirs. France L'éducation aux comportements responsables est une visée plus récente. Écosse

Agir contre le racisme Une politique inscrite dans le cadre du plan national d'action 2015-2017 La politique éducative de prévention du racisme, de l'antisémitisme et de la xénophobie s'inscrit dans le cadre du Plan national d'action 2015-2017 " La République mobilisée contre le racisme et l'antisémitisme" que pilote la déléguation interministérielle à la lutte contre le racisme, l'antisémitisme et la haine anti-LGBT (DILCRAH). Un numéro spécial du BOEN de juin 2015 recense les leviers d'actions prioritaires exposés dans le Plan. consulter le site de la DILCRAH télécharger le Plan national d'action 2015-2017 et le BOEN spécial de juin 2015 (pdf). Les principaux leviers d'action Inscription dans les contenus d'enseignement La sensibilisation aux phénomènes de racisme, d'antisémitisme et de xénophobie est inscrite dans les contenus disciplinaires d'enseignement, par le biais des programmes officiels, notamment ceux d'enseignement moral et civique. consulter la rubrique Enseignement moral et civique

L’éducation à la citoyenneté dans ses contradictions 1 Selon une commodité d’écriture que j’utilise fréquemment, école avec une minuscule désigne l’école (...) 1Depuis quelques lustres, civique, citoyenne, à la citoyenneté ou encore aux citoyennetés comme souvent en Suisse romande, l’éducation ainsi qualifiée est l’objet de maints discours et de maintes initiatives1. Les premiers insistent le plus souvent sur la normalisation des comportements et l’apprentissage du « vivre ensemble ». Les secondes vont de son installation comme discipline scolaire, avec un horaire et un programme, à des journées spécifiques ou à la mise en place de projets placés sous cette étiquette. Tout cela dessine un paysage aux couleurs et aux reliefs variés dans lesquels il n’est pas toujours aisé de repérer des lignes de force. Ajoutons à cela que, à la différence des autres disciplines ou objets scolaires, les contours de cette éducation sont particulièrement difficiles à tracer. 2 Voir Vincent, Lahire & Thin 1994, Audigier 2006a, 2006b. Expériences et savoirs

Un nouveau parcours citoyen, mais pour quelle éducation à la citoyenneté ? Suite aux attentats de janvier 2015, le ministère lance une grande mobilisation de l’École pour les valeurs de la République, accompagnée d’assises qui se dérouleront dans tous les territoires jusque fin avril. Parmi les mesures prises, la mise en place d’un parcours éducatif citoyen de l’école élémentaire au lycée, articule des actions existantes, mais pas toujours investies, au nouvel enseignement moral et civique : éducation aux médias et à l’information, préparation de la journée défense et citoyenneté, semaine d’éducation contre le racisme et l’antisémitisme. La participation et les initiatives des élèves seront encouragées par le développement de conseils d’enfants, de collégiens, de même que l’engagement associatif des élèves. Le parcours citoyen doit être évalué à la fin du collège selon des modalités qui seront fixées avec la réforme du collège. Le portail APB donnera même la possibilité de renseigner les compétences extrascolaires pour l’orientation post-bac.

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