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Valeur perçue d'une offre en marketing

Valeur perçue d'une offre en marketing

Valeur perçue, valeur d'usage, valeur de signe Pratiques pr faire vivre valeurs entr. Crédits photo : Shutterstock.com Livres RH : la sélection de l'été Tout l'été, des experts RH et des DRH vous recommandent des ouvrages incontournables publiés depuis un an.Jean-Michel Garrigues, DRH BLB & Associés, a choisi "L'entreprise humaniste", un ouvrage coordonné par Jacques Horovitz (Ellipses).> Que dit ce livre ?Ce livre formalise les valeurs de l’entreprise centrée autour de l’humain, prenant l’exemple du concept d’hôtellerie Châteauform’, largement déployé en France et en Europe.> Pourquoi est-ce essentiel de le lire ?Il détaille un modus operandi permettant de détecter les valeurs humanistes, de les reconnaître, de les évaluer, en les démontrant et en détaillant le rôle du leader.> En quoi cela fait sens dans votre pratique professionnelle ? Extraits de "L'entreprise humaniste", ouvrage coordonné par Jacques Horovitz (Ellipses) © Oxford Group Au-delà du marketing, les actes ! Gill Webb, consultante chez Oxford Group 1 / Donner du sens ► L'exemple de General Electric : (...) (...)

Le contenu divertissant augmente la valeur perçue d'une marque Les consommateurs sont demandeurs de contenu ludique fourni par une marque et reconnaissent sa valeur. Ils seraient même plus disposés à vouloir en savoir plus sur elle. Et ce, notamment chez les jeunes adultes. Un tiers des Américains reconnaissent la valeur, dans la consommation, du contenu de divertissement fourni par une marque et "brandé" (34%). Des demandes claires De la même façon, 31% des consommateurs souhaitent du contenu vidéo en ligne gratuit contre 39% des jeunes adultes et 20% du contenu auquel il n'aurait eu accès sans la marque contre 31% chez les 18-34 ans. Une histoire de confiance Et pour cause, 53% de ceux qui n'ont pas d'attente particulière vis-à-vis de ce type de contenu ne sont certes pas favorables, mais ne sont pas contre non plus.

Vidéo valeur perçue - nom d’une marque ? Il faut savoir raison garder La force d’une marque tient dans son histoire et dans « le lien qu’elle a réussi à tisser avec les consommateurs », explique Pierre-Louis Desprez, expert en marketing stratégique et co-fondateur de Kaos Consulting. Produits retirés de la vente, suspicions sur la qualité, baisse de la consommation… La crise de la viande de cheval qui secoue depuis plus d’un mois le monde agroalimentaire (Findus, Nestlé, Picard Surgelés, Ikéa et bien d'autres) est un bel exemple des dégâts qu’une marque peut subir en matière de réputation. La rupture, uniquement en cas de crise grave Agir plutôt que communiquer Alors comment regagner la confiance des consommateurs ?

Comment la gestion d'une organisation contribue-t-elle à la création de différentes formes de valeur ? - Réviser le cours - Sciences de gestion Les processus de gestion concourent à la création de différentes formes de valeur : valeur fondée sur le revenu (approche en termes de flux), valeur fondée sur un patrimoine (approche en termes de stocks), valeur perçue, valeur sociale. 1. La valeur sociale La valeur sociale cherche à améliorer les salaires, les conditions de travail et la satisfaction au travail. Elle peut générer également des avantages destinés non plus aux seuls salariés mais à la société dans son ensemble ; on parlera alors de rôle sociétal (par exemple, la prise en compte de l'environnement). La valeur sociale n'est pas valorisée positivement dans les comptes de l'entreprise. 2. La notion de valeur ajoutée La valeur ajoutée mesure la richesse créée par l'organisation. Valeur ajoutée = chiffre d'affaires − consommations intermédiaires Le chiffre d'affaires est le total des ventes de biens et de services d'une entreprise. La répartition de la valeur ajoutée Toutes ces attentes sont contradictoires. 3. Le bilan 4.

TVA : les 60 ans de l'impôt le plus lourd ! La TVA (Taxe sur la valeur ajoutée) est née le 10 avril 1954, sous l'impulsion de Maurice Lauré, inspecteur des finances et ancien directeur adjoint de la Direction générale des impôts. 60 ans plus tard, cette invention française a été adoptée quasiment dans le monde entier, la plupart des pays disposant d'un système de TVA. À l'origine, l'idée était de taxer la valeur supplémentaire d'une production, à chaque étape de sa création, plutôt que d'imposer simplement un produit au stade de sa vente au détail. D'abord cantonnée aux grandes entreprises, la TVA a été étendue en 1966 à tous les acteurs économiques, jusqu'au commerce de détail. 3 fois plus rentable que l'impôt sur le revenu Le principe d'imposition de la TVA est simple : toutes les entreprises ou les indépendants qui réalisent de manière habituelle des opérations économiques payantes sont assujettis à la TVA. Un tryptique de taux Depuis le 1er janvier 2014, les taux de TVA ont changé. Un succès planétaire Stéphanie Alexandre

5 trucs pour augmenter la valeur perçue de vos produits - MasterBlog Dans cet article, vous allez découvrir 5 techniques peu connues pour augmenter considérablement la valeur perçue de vos produits, vendre plus, plus cher, tout en rendant vos clients plus heureux. Et le mieux, c’est que vous allez pouvoir appliquer tout ça dès maintenant ! Qu’est-ce que la valeur perçue ? Il faut différencier la valeur réelle d’un produit et sa valeur perçue. Sa valeur réelle se calcule simplement : ce sont les charges pour la production du produit + les salaires + la marge pour le développement de la société. Dans le cas d’un produit d’information, la valeur réelle est quasi nulle. En appliquant quelques techniques de bon sens, sans vous demander beaucoup de travail en plus, vous allez pouvoir augmenter cette fameuse valeur perçue. #1 Créer un produit qui répond à l’un des besoins fondamentaux de l’homme Si votre produit répond à l’an des besoins fondamentaux de l’être humain, il aura plus de valeur aux yeux de vos clients. #2 Vendre des « bundles » Exemple de multipack

Finance et entreprises : les liaisons dangereuses Si la finance irrigue les entreprises innovantes, ses exigences de profit à court terme entravent l’accumulation des savoirs. Le système économique contemporain repose sur un paradoxe. D’un côté, l’économie du savoir, l’un de ses piliers, a besoin de la finance moderne. De l’autre côté, c’est cette finance même qui, par son impatience, érode le processus d’accumulation des connaissances indispensables au développement de l’économie du savoir. La finance remplit en effet des fonctions précises dans l’économie de la connaissance. Professeur d’économie à l’université Paris‑IX, il a publié, avec Dominique Plihon, Le Savoir et la Finance.

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