background preloader

Open Data : Europeana ouvre les données de 20 millions d'oeuvres

Open Data : Europeana ouvre les données de 20 millions d'oeuvres
Europeana, la médiathèque co-financée par l'Union Europénne, a annoncé mercredi la mise en ligne d'un ensemble de métadonnées couvrant 20 millions d'oeuvres numérisées, sous une licence gratuite qui autorise toute forme d'exploitation. Excellente nouvelle pour les développeurs, et pour les amateurs d'art. Alors qu'en France les données culturelles sont exclues du champs des données devant être offertes librement au public, Europeana a annoncé mercredi l'ouverture de ses métadonnées couvrant 20 millions d'oeuvres référencées, dans 29 langues. Les données accessibles via une API sont publiées sous une licence Creative Commons CC0, la plus généreuse de toutes, qui autorise quiconque à exploiter l'ensemble gratuitement, y compris à des fins commerciales, sans aucune restriction. Lancé en novembre 2008, Europeana met en ligne des oeuvres numérisées issues de différents musées, bibliothèques, archives et collections audiovisuelles européennes. Lire L'Assemblée nationale se met à l'Open Data Related:  Open art

Fêter le patrimoine, mais laisser disparaître le domaine public Ce week-end, nous célébrons donc les Journées européennes du patrimoine, et vous serez des milliers et des milliers à aller visiter des monuments et des lieux de culture en France. Il faudrait sans doute s’en réjouir, mais je n’y arrive pas. Vraiment pas… Car voyez vous, ces journées sont celles du Patrimoine, mais pas celles du domaine public. Les deux choses sont liées, mais elles demeurent profondément séparées en France. Dans la plus grande indifférence… Le domaine public est une notion liée à la propriété intellectuelle. Source : Sketchtlex. Il y a eu une Journée du domaine public, cette année, organisée le 26 janvier dernier par les associations Wikimedia France et Creative Commons France, à l’image du Public Domain Day, que le réseau européen Communia a mis en place le 1er janvier de chaque année pour célébrer l’entrée dans le domaine public de nouvelles oeuvres. Quelques mois plus tard, voici donc ces Journées du patrimoine qui reviennent. Et non, surprise !

L'Open data Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ? J'ai des fonctions associatives à Rennes : Président de l'association BUG , qui intervient depuis 1996 dans le champ de l'innovation sociale et numérique et qui fait partie des fondateurs de l'association Cantine Numérique Rennaise , dont je suis vice-président. Avant tout, dans mon parcours professionnel comme associatif j'ai toujours travaillé autour des questions du numérique, son impact, ce qu'il change du point de vue économique, sociétal, et technologique. Pouvez-vous présenter la Cantine numérique en deux mots ? C'est un lieu basé aux Champs Libres de Rennes, avec deux fonctions : Accueillir les personnes qui travaillent de manière temporaire, ce que l'on appelle le coworking. Il faut prendre conscience que le numérique est en train d'interpeller tout un tas de champs de la société, de l'économie ou autre, et la Cantine est un lieu autour de ces « cultures du numérique ». Qu'est-ce qui vous a amené à vous intéresser aux données ouvertes ?

Et si Albrecht Dürer avait eu un Tumblr ? Un détour par la Renaissance, quand les œuvres des artistes étaient recopiées par la gravure : voici ce que nous propose Calimaq dans cette chronique pour mieux éclairer les problèmes actuels du droit d'auteur. Et in fine trouver des pistes de solutions pour réconcilier tous les partis. Imaginons un instant que le peintre et graveur Albrecht Dürer soit soudainement transporté depuis la Renaissance jusqu’à notre époque et que pour diffuser ses œuvres, il décide d’ouvrir un profil sur la plateforme de microbbloging Tumblr… L’hypothèse peut paraître un brin saugrenue, mais une telle manipulation de l’espace-temps constituerait une expérience fascinante. Car Dürer fut l’un des artistes les plus copiés en son temps et il était particulièrement susceptible vis-à-vis des reproductions de ses créations réalisées sans autorisation, notamment ses gravures. Malheur à toi, voleur du travail et du talent d’autrui. Monograms of Albrecht Dürer. Tu ne copieras point (le monogramme) Jésus face à Hérode.

 | DÉCLARATION SUR L'OPEN DATA EN FRANCE Internet ravit la culture En créant une zone de réappropriation illimitée des contenus, le web ouvre la voie au remix populaire de la culture. Un fait majeur dans l'histoire de la propriété intellectuelle et de la création que décrypte André Gunthert, chercheur à l'EHESS. Dans son célèbre article “L’œuvre d’art à l’époque de sa reproductibilité technique”, publié en 1939, Walter Benjamin dessine l’opposition paradigmatique de deux cultures. Face à l’ancienne culture bourgeoise, appuyée sur le modèle de l’unicité de l’œuvre d’art, les nouveaux médias que sont la photographie et le cinéma imposent par la “reproductibilité” le règne des industries culturelles. Un demi-siècle plus tard, la révolution des outils numériques nous confronte à une nouvelle mutation radicale. Mythologie des amateurs Cette évolution a d’abord été perçue de façon confuse. Dans cette mythologie optimiste, l’amateur est avant tout conçu comme producteur de contenus vidéos, selon des modalités qui ont des relents de nouveau primitivisme.

L’open data en bibliothèque départementale La bibliothèque départementale de Saône-et-Loire est le premier réseau rural à participer au mouvement de l’open data, dont nous avons déjà souligné le caractère fondamental pour rendre nos missions de service public et concourir à la diffusion de la connaissance. Après avoir abordé l’open data dans une très grande structure avec Frédéric Blin de la BNU de Strasbourg, nous nous entretenons donc avec Jérôme Triaud, conservateur des bibliothèques, directeur de la lecture publique de Saône-et-Loire. Jérome Triaud RM : La direction de la lecture publique de la Saône-et-Loire met ses données à disposition de tous dans le cadre de l’open data : pouvez-vous nous expliquer comment la décision à été prise ? Jérôme Triaud : Comme vous le savez, le département de Saône-et-Loire a été le premier département français à s’inscrire dans ce vaste mouvement de libération de données. RM : En quoi consistent ces données et à quoi peuvent-elles servir ? Like this: J'aime chargement…

Fair use Fair use is a limitation and exception to the exclusive right granted by copyright law to the author of a creative work. In United States copyright law, fair use is a doctrine that permits limited use of copyrighted material without acquiring permission from the rights holders. Examples of fair use include commentary, search engines, criticism, parody, news reporting, research, teaching, library archiving and scholarship. It provides for the legal, unlicensed citation or incorporation of copyrighted material in another author's work under a four-factor balancing test. Fair use is one of the traditional safety valves intended to balance the public's interest in open access with the property interests of copyright holders. Fair use under United States law[edit] The legal concept of "test copyright" was first ratified by the United Kingdom of Great Britain's Statute of Anne of 1709. Once these factors were codified as guidelines in 17 U.S.C. § 107, they were not rendered exclusive.

Open Data : Où en est-on Claire Gallon de LiberTIC, l'association nantaise de promotion de l'ouverture des données publiques (@LiberTIC), et Charles Nepote du programme Réutilisation des données publiques de la Fondation internet nouvelle génération (Fing) (@CharlesNepote, @la_fing), principaux coorganisateurs de la Semaine européenne de l'Open Data qui avait lieu à Nantes du 21 au 26 mai 2012, ont commencé par poser un état des lieux assez complet du mouvement de réutilisation des données publiques. Ce que l'Open Data a réalisé Le mouvement pour la réutilisation des données publiques est un mouvement mondial né début 2009 et qui a connu une forte accélération en 2010-2011, estime Charles Nepote. Image : la carte de France de l'Open Data maintenue par LiberTIC, version 4, mise à jour janvier 2012. Pourtant "si le mouvement commence à se structurer, force est de reconnaître que nous en sommes encore au temps des pionniers", souligne Charles Nepote. Les défis à venir de l'Open Data En effet. Hubert Guillaud

France : plus de 15 ans de numérique pour les musées < @_omr notes Il est courant de lire ou d'entendre que les musées viennent tout juste de s'ouvrir au numérique et qu'il s'agit même d'une révolution ! (Un exemple parmi tant d'autres : "Les musées, à l’aube d’une révolution numérique ?" - inria.fr - 16/07/2012) Si la présence du numérique s'intensifie au musée comme dans le reste de la société, elle est loin d'être nouvelle. Quelques repères : Création par le ministère de la culture d'une base de données des peintures des musées français. Premières bornes interactives à la Cité de Sciences et de l'Industrie. "Mémoires de Pierre" (film incluant 3 minutes d'images de synthèse), prémisse aux réalisations du projet Gunzo (numérisisation et reconstitution la grande église de Cluny) Mars : livre d'or multimédia (vidéo) à la Cité des sciences - créé pour la manifestation "Cliquez pour le savoir" (puis utilisé dans différentes expositions). * Juillet : Ouverture du site internet du Louvre MILIA 1995 Le DVD-Rom du Musée du Louvre

PegasusData: APPEL ! Témoignez de votr... L’inverse du piratage, c’est le copyfraud, et on n’en parle pas | Hotel Wikipedia Le piratage ne cesse de défrayer la chronique, mais curieusement, on parle beaucoup moins du phénomène inverse : le « copyfraud » ou fraude de copyright. Il ne s’agit pas de diffuser indéfiniment une œuvre protégée, mais au contraire d’effectuer une fausse déclaration de droit d’auteur entraînant la protection frauduleuse d’un contenu librement accessible. Le copyfraud est sans doute aussi répandu que le piratage. Cependant, les contrevenants sont rarement, voire jamais condamnés. Il faut dire que certains d’entre eux ont pignon sur rue : le Times britannique, la Réunion des musées nationaux, la Bibliothèque nationale de France, un département français… Définir le copyfraud Le copyfraud a été défini il y a quelques années par un juriste américain, Jason Mazzone. Ces infractions ne sont presque jamais réprimées. Le code de la propriété intellectuelle français se contente ainsi d’une définition négative : le domaine public commence lorsque les droits d’auteur expirent.

Appel à témoignage : partagez votre expérience de Twitter ! Vous utilisez Twitter régulièrement ? Votre expérience de cet outil peut être utile à d’autres utilisateurs ! Nous vous offrons la possibilité de répondre à un petit questionnaire pour vous donner l’occasion de partager quelques aspects de votre utilisation de ce média social si particulier. 6 questions vous sont posées, vous en choisissez au minimum 3, auxquelles vous répondez brièvement. Pourquoi Pegasus Data propose-t-il ce service ? Ce n’est ni pour flatter votre égo, ni pour vous catégoriser. Like this: J'aime chargement…

Apple n’aime pas la culture populaire Les industries culturelles considéreraient-elles la culture populaire comme illégitime et productrice de spectateurs pirates? Notre culture n'aurait-elle pas de valeur face à leur économie? Pier-Alexis Vial nous livre son point de vue. Pas un long billet cette fois-ci, juste une petite note pour parler d’une nouvelle invention de la firme à la pomme fleurant bon le mépris des foules et la défense acharnée du monopole des industries culturelles. Culture populaire, concurrence déloyale Ici, à Culture Visuelle, maints et maints articles ont souligné les efforts des industries légitimes pour faire passer l’acte d’appropriation d’une œuvre par le spectateur pour de la vulgaire piraterie. En bref c’est le musée et les historiens de l’art qui décident de ce qui est de l’art, ou pas, et ce sont les enjeux économiques des entreprises audiovisuelles qui les poussent à promouvoir des canaux de diffusion régulés par une autorité hautement responsable. Or, à mon avis, le débat n’est pas vraiment là.

Open Data en France Projet de loi Numérique : soutenons les (Biens) Communs !Communiqué de Regards Citoyens, le 16 octobre 2015 En dépit de la coincidence malheureuse avec le projet de loi Valter sur les données publiques, Regards Citoyens participe comme de nombreux citoyens et organisations à la consultation du Gouvernement autour de l'avant-projet de loi sur le numérique. OpenData, OpenAccess, OpenGov, Transparence... Autant de sujets que nous essayons de défendre dans nos propositions, et que nous vous invitons à soutenir ici : Ce texte offre par ailleurs l'opportunité législative de traiter plus largement de la question des biens communs à l'heure du numérique. L'Ambassade de Suède a eu la bonne idée de nous inviter à la table ronde « E-administration et e-dialogue : regards croisés Suède - France » qu'elle organisait le 2 décembre avec la mairie de Paris.

Related: