Les 10 émissions médias et numérique à suivre cette année Alors comme ça, tu avais cru que je te laisserai tranquille, jeune étudiant en école de journalisme, aspirant à la carte de presse et futur membre émérite de la confrérie des plumitifs et pisseurs de copie ? Tu pensais vraiment qu'une fois suivis les 22 blogs et 140 comptes twitter que je t'avais recommandé la semaine dernière tu avais fait le boulot ? Non, bien sûr. Tel un sportif de l'analyse média, nous allons continuer à te concocter un programme sur mesure. Et cette fois, on va se tourner vers le petit écran (un peu) mais surtout la radio, car comme tu le sais, #laradiocestlavie Voici donc ton programme pour l'année. Une série de 11 émissions à écouter et regarder avec assiduité. Et comme nous savons tous dans quel état se trouve un étudiant en école de journalisme un samedi matin (hem…), nous t'épargnerons l'épreuve du direct. Quoi ? Quoi ? Quoi ? Quoi ? Quoi ? Quoi ? Quoi ? Quoi ? Quoi ? Quoi ?
Atos : chez Thierry Breton, 20% des salariés doivent être mauvais | Rue89 Eco Lors d’une conférence dont Rue89 s’est procuré l’enregistrement, Atos propose d’attribuer des mauvaises notes à plus de salariés. Pour les pousser à partir ? Chez le « leader européen des technologies de l’information » [PDF], c’est un peu comme à l’école. Lors de l’entretien individuel d’évaluation, chaque année, une note est attribuée au salarié en fonction de sa performance. Cette année, les directeurs d’Atos se retrouvent dans une situation inédite. Ce ne sont pas d’éventuelles demandes d’augmentations pléthoriques qui inquiètent dans la société dirigée par l’ancien ministre de l’Economie, Thierry Breton. Pas assez de mauvaises notes Laurent Kocher est directeur général France chez Atos. Celle du 5 juin 2012 a été consacrée aux manières de faire « progresser » la gestion des ressources humaines dans l’entreprise. Concrètement, poursuit Laurent Kocher : Autrement dit : 3% des gens n’ont pas atteint leurs objectifs. Des quotas de notation ? L’explication ne vient pas tout de suite.
La vie numérique signe-t-elle la fin de l’ennui ? À quand remonte la dernière fois où vous vous êtes ennuyé ? Faites un effort et essayez de vous souvenir. En faisant la queue au supermarché ? Dans la salle d’attente du dentiste ? À l’aéroport ? Ne niez pas, je vous observe. Avec le smartphone à portée constante de main, l’ennui n’a plus cours. Les enfants sont comme nous, ils ont eux aussi le réflexe écrans dès qu’ils ont l’impression de s’ennuyer. « Je peux faire de la Wii, je peux avoir l’iPad, je peux faire des jeux sur l’ordinateur » sont des phrases pavloviennes à la mode 2.0, dès qu’un moment d’inactivité potentielle se dessine. Vous aimez ? Partager
Un nouvel accord sur le télétravail chez France Télécom ? Après avoir signé la prolongation de 6 mois d’un premier accord sur le télétravail chez France Télécom-Orange, la Confédération française de l’encadrement (CFE), la Confédération générale des cadres (CGC) et l’Union nationale des syndicats autonomes (UNSA) demandent à la direction du groupe « l’ouverture immédiate de négociations » afin de proposer avant la fin 2012 un nouvel accord triennal. En juin 2009, à l’occasion de la signature du premier accord sur le télétravail chez France Télécom, accord arrivé à son terme fin juin 2012, la CFE-CGC/UNSA a obtenu que la pratique soit basée sur le volontariat et fasse l’objet d’un avenant contractualisé, « afin que sa mise en place et son arrêt ne soient pas soumis à l’arbitraire managérial ». L’accord en l’état prévoit également une présence hebdomadaire dans l’entreprise du télétravailleur, afin qu’il ne soit pas isolé et s’assure « de bonnes conditions matérielles » lorsqu’il travaille à distance, à son domicile ou sur un site déporté.
Recueil « Serendipité et autres curiosités » Le billet « Temporalité », qui a inauguré ce blog le 28 juin 2012, évoque le raccourcissement de la mémoire dans la société numérique. Le billet « Traçabilité », la semaine dernière, souligne l’impact du numérique sur la production des documents et l’usage de l’information et, partant, sur le traitement documentaire et archivistique des traces, sur la conservation des données. Entre les deux, je me suis efforcée de montrer, gentiment, combien les technologies numériques perturbent, malicieusement, la vie quotidienne des personnes, individus ou entreprises, pour le plus grand bien de ceux qui maîtrisent l’information, et au grand dam de ceux qui la subissent. D’un côté, de nouvelles possibilités de s’exprimer, de commercer, d’apprendre ; de l’autre, de nouvelles contraintes avec la pression du temps, l’infobésité, la cybercriminalité, etc. Voici donc le recueil de mes 59 billets en –ité, intitulé « Sérendipité et autres curiosités », que vous pouvez télécharger en cliquant ici.
Créer des tableaux de bord en self-service dans MicroStrategy Express Cloud Express complète les offres Personal et Platform de MicroStrategy dans le cloud. On peut développer en quelques heures des tableaux de bord dans Cloud Express et les partager avec un nombre illimité d'utilisateurs. Lancée en octobre, cette solution en self-service constitue la troisième option du cloud Microstrategy qui a déjà réuni 20 000 utilisateurs en un peu plus d'un an. « Avec le cloud, on peut essayer de nouvelles idées sans prendre de risques sur les budgets et les délais, ce qui n'était pas possible avant », a souligné ce matin Fabrice Martin, vice président, responsable de programme chez MicroStrategy, sur le Symposium 2012 organisé par la filiale française de l'éditeur. « Nous croyons que nous pouvons faire partie de cette vague de créativité. Depuis l'été 2011, la plateforme décisionnelle de MicroStrategy est entièrement disponible dans le cloud pour développer des applications BI et mobiles. Créer un rapport en 30 minutes Deux datacenters aux Etats-Unis, un en Europe
HoneyMap La génération Y sait manifestement délimiter vie privée et vie professionnelle Si les membres de la génération Y ne peuvent pas se passer de se connecter aux réseaux sociaux, ils sont pour autant conscients de la limite que ceux-ci entrainent quant à leur notion de vie privée dans l'entreprise. Bien que l'usage des technologies lui semble presque innée, la génération Y serait plus à même qu'on ne le pense à savoir différencier sa vie professionnelle de sa vie privée. André Perret, auteur de Travailler avec les générations Y et Z,a expliqué à L'Atelier qu'à la différence de ce que l'on peut penser " il n'existe pas une seule génération Y mais plusieurs générations Y. D'ailleurs, leur relation aux outils informatiques dépend fortement de leur niveau d'éducation ", continue-t-il. Cela est par ailleurs confirmé par une étude menée par Opinion Way et mandatée par Kaspersky Lab dont les résultats ont été dévoilé ce matin. Le paradoxe d'une vie privée et professionnelle entremêlées l'une avec l'autre La connectivité, le maître mot de la génération Y
SyntheseQRCODE Google Glass: la vie en réalité augmentée, ce n'est pas si cool «Comment la réalité augmentée va foutre en l’air votre vie amoureuse»: c’est le titre que The Atlantic consacre à Sight, le petit film de près de huit minutes qui fait son chemin sur les sites spécialisés en technologie et les blogs de geeks. Sight, projet de fin d’études de deux étudiants de l’Académie des arts de Bezalel à Jérusalem, est un film d’anticipation inspiré par le projet Google Glass, présenté cette année par l’entreprise californienne qui souhaite le mettre sur le marché dès 2013. Dans ce court-métrage remarquablement réalisé, l’entreprise fictive Sight Systems propose des lentilles hyperconnectées, créant une interactivité constante avec les objets et les individus qui entourent l’utilisateur, dans un flux informationnel permanent… Un peu comme les fameuses smart-lunettes de Google, donc. Dans ce futur proche, la moindre activité quotidienne est «gamifiée»: découpe de rondelles de concombre, cuisson de l’œuf au plat, et surtout organisation d’une date pour le soir même.
Enquête : le numérique en France Quel est le poids du secteur du numérique dans l’économie française ? Le magazine L’Usine Nouvelle a réalisé une grande enquête pour en dresser le panorama, et mieux connaître les multiples aspects que revêt le secteur du numérique en France. Les résultats de cette enquête sont synthétisés sous forme d’infographie. En un an, la France a augmenté ses investissements en faveur des nouvelles technologies de 6%, pour atteindre 170 milliards de dollars en 2011, soit 133 milliards d’euros. De nombreux chiffres sont à découvrir sur cette infographie, qui dresse un état des lieux complet du numérique en France. Piratage, coût du numérique, livre papier et ebook : place aux jeunes ! La promotion Master Edition 2013-14 s'en donne actuellement à coeur joie - on voit que les vacances de Noël sont impatiemment attendues. En effet, plusieurs petites infographies viennent de fleurir, présentant des synthèses du marché français du livre, sur différents sujets. Nous reproduisons ici toutes les présentations dignement infographiées, avec sérieux et goût. Tout à fait. Les différences de coûts entre une publication papier et sa version numérique Travail réalisé par Marion Jeandaux, Laetitia Bresse-Poirier et Manon Cluse Les coûts de réalisation du livre papier et du livre numérique Travail réalisé par Caroline Duchesnes, Virginie Maillart et Flora Sallot Le piratage du livre, le serpent qui se mord la queue Travail réalisé par Caroline Bouteillé / Marie Fouqueray / Lauriane Rollier Le piratage du livre et l'offre légale Infographie réalisé par : Saune – Dinh – Langlois Pour approfondir
J’ai testé pour vous un jeu en réalité alternée : ReWild : Les sciences vues de Grenoble ReWild est un jeu qui allie randonnée en montagne ou balade en ville, résolution d’énigmes et géocaching. Le tout entre monde réel et monde virtuel. Tentés par l’aventure ? Voici un petit aperçu de ce qui vous attend... « Nos montagnes sont le terrain de phénomènes étranges qui se déroulent en ce moment même. […] À l’origine de ces phénomènes semble être une « Pierre ». Équipé d’un sac à dos, de bonnes chaussures de marche et de tout l’équipement nécessaire pour partir en montagne, nous voici prêts pour l’aventure. >> Illustrations : Emilie Peylin, Rewild