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Gargarismes ergonomiques

Gargarismes ergonomiques

Inventaire des contenus : modèle et méthode Ce billet a été lu 12516 fois. À votre tour? Le plan de contenu répertorie tous les contenus produits dans un projet de stratégie éditoriale. Il désigne le document (généralement dans le format d’un tableur Excel) qui inventorie tous ces contenus. Dans ce billet, je propose une définition, une méthode et un modèle à télécharger. Que ce soit dans un projet de création ou de refonte de site Web, ou lorsqu’il s’agit d’étudier l’opportunité de syndiquer des contenus à partir de sources externes, l’inventaire des contenus est un document précieux, un véritable outil de travail, qui lie toutes les parties prenantes. C’est dans cet inventaire, qui peut aussi prendre des allures de calendrier de publication, que sont identifiés, définis, décrits et commentés tous les contenus digitaux dont il est question. Téléchargez le modèle en Excel L’inventaire des contenus, c’est quoi? Comment ça marche? Supposons que nous sommes dans un projet de refonte. Comment se présente un inventaire des contenus?

Testa Mag L’expérience utilisateur des sites web s’est améliorée à pas de géant au cours des dernières années, mais il nous arrive encore souvent de tomber sur des sites qui nous font nous demander : « Mais à quoi pensaient-ils ? » Du point de vue du design, il est facile de se laisser prendre dans des querelles internes (« Non, non, c’est le contenu qui doit être au centre ») ou de perdre du temps à cause d’un choix de type de management (« j’avais dit que nous devions faire du lean UX sur ce projet »). Dans l’espoir que cela puisse aider à éviter ces écueils, voici une liste de 5 erreurs majeurs d’UX que l’on retrouve sur les sites web d’aujourd’hui. Les microformats et microdata apportés par HTML5 Microformats, microdata, nouvelle sémantique, nouveaux éléments HTML… Tant de nouveautés qui perturbent les intégrateurs web soucieux de se mettre à jour dans leurs compétences ou curieux de savoir ce dont ils peuvent déjà faire usage dans leurs intégrations. Bien que les microformats existent depuis 5 ou 6 ans, ce n’est qu’avec l’arrivée de HTML5 que la profession et les outils sont suffisamment mûres pour commencer à les exploiter réellement. Nous allons essayer de nous concentrer sur les microformats et, surtout, les microdata apportées par HTML5. Cet article a été rédigé par Geoffrey Crofte, intégrateur et designer web chez Alsacréations et pour son petit studio Creative Juiz. Également auteur de son propre blog Creative Juiz et de nombreux articles pour la communauté Alsacréations, Geoffrey apprécie les expérimentations sur CSS3 et nous les fait partager sur TryToTry, son laboratoire. Présentation Faisons les présentations avant de nous attaquer à du code. Les microformats Rendu :

iErgo Dimensionner ses fontes avec rem Par Jonathan Snook Déterminer quelle unité de mesure choisir pour la taille de notre texte peut mener à un débat houleux, même de nos jours. Malheureusement, il existe toujours des avantages et inconvénients qui rendent ces différentes techniques peu désirables. La question est alors de savoir quelle solution est la « moins pire ». Les deux techniques suivantes sont le plus souvent utilisées : taille en px ; taille en em. Analysons ces deux approches avant que je ne révèle mon troisième atout. Dimensionnement avec px Au tout début du Web, nous utilisions les pixels pour dimensionner notre texte. Pour ma part, je suis du côté de ceux qui pensent que les mises en page en pixels apportent la cohérence nécessaire, et que les utilisateurs possèdent suffisamment d’outils dédiés à l’affichage pour arrêter de penser que l’accessibilité est si préoccupante. Dimensionnement avec em L’impossibilité totale de redimensionner le texte avec IE est une frustration permanente. Dimensionnement avec rem

UX chez les opérateurs Cheat Sheet Download cheat sheet as printable PDF A5 Syntax Child: > nav>ul>li Sibling: + div+p+bq Climb-up: ^ div+div>p>span+em^bq div+div>p>span+em^^bq Grouping: () div>(header>ul>li*2>a)+footer>p (div>dl>(dt+dd)*3)+footer>p Multiplication: * ul>li*5 Item numbering: $ ul>li.item$*5 h$[title=item$]{Header $}*3 <h1 title="item1">Header 1</h1><h2 title="item2">Header 2</h2><h3 title="item3">Header 3</h3> ul>li.item$$$*5 ul>li.item$@-*5 ul>li.item$@3*5 ID and CLASS attributes #header .title form#search.wide p.class1.class2.class3 Custom attributes p[title="Hello world"] td[rowspan=2 colspan=3 title] [a='value1' b="value2"] Text: {} a{Click me} <a href="">Click me</a> p>{Click }+a{here}+{ to continue} <p>Click <a href="">here</a> to continue</p> Implicit tag names .class em>.class ul>.class table>.row>.col All unknown abbreviations will be transformed to tag, e.g. foo → <foo></foo>. Alias of html:5 <! a a:link a:mail abbr acronym, acr base basefont br frame hr bdo bdo:r bdo:l col link link:css link:print link:favicon link:touch link:rss link:atom meta meta:utf img c

UX chez les opérateurs Laws of Simplicity | By John Maeda

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