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Voies romaines en Gaule

Voies romaines en Gaule
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les voies romaines en Gaule sont le développement par les Romains d'un réseau routier préexistant à leur arrivée. Historique[modifier | modifier le code] L'opinion générale selon laquelle les Romains seraient à l'origine de l'ensemble du réseau de voies antiques en Gaules n'est pas exacte. Ainsi, Jules César, dans son œuvre De Bello Gallico (Commentaires sur la Guerre des Gaules), qui relate ses six années de campagne en Gaule, évoque la rapidité avec laquelle ses légions ont progressé sur le sol gaulois grâce à un réseau routier important et performant. L'étude de la vie sociale et surtout économique de l'époque celte montre bien qu'à l'arrivée de ces soldats romains existaient depuis fort longtemps de grands courants d'échanges commerciaux entre les différentes peuplades. Bien que le développement global des voies romaines en Gaule ait débuté sous le règne de Jules César, c'est sous le principat d'Auguste qu'il va prendre son essor.

Table de Peutinger - Voies romaines : carte, documents en ligne LEXILOGOS La table de Peutinger est l'ancêtre des cartes routières. Elle couvre tout l'empire romain, et même au-delà : jusqu'en Chine. C'est une reproduction, faite à la fin du XIIe siècle, d'une copie réalisée vers 350, dont l'original est encore plus ancien. Elle mesurait plus de 6 mètres de long et 30 cm de large. C'est une carte routière qui représente les principales routes de l'ensemble de l'empire romain. Elle contient quelques erreurs et inexactitudes. En bas à gauche, les bouches du Rhône, le premier affluent est la Durance. Les doubles tours repésentent une étape importante, on reconnaît : Marseille (Massilia Grecorum), cité grecque, au centre, Arles (Arelate) à gauche du Rhône Riez (Reii Apollinares) dans les Alpes de Haute Provence, en bas, à droite La maison représente des thermes : Aix en Provence (Aquis Sestis), citée fondée par Sextius, à droite de Marseille L'édifice en forme circulaire est rare : il représente ici le port de Fos (Fossas Marianas).

70801 VII.8.1 . Tempio di Iuppiter o Tempio di Giove. Temple of Jupiter. Excavated 1810, 1816 and 1820. Part 1 Part 2 Foro/Forum: Nord/North Est/East Ovest/West Sud/South Pianta del Foro / Forum Plan VII.8.1 Pompeii. One of 30 monumental sculptures by Igor Mitoraj located around the area of Pompeii, on display until January 2017. Photo courtesy of Buzz Ferebee. VII.8.1 Pompeii. VII.8.1 Pompeii. 17th December 1947. Photo courtesy of Rick Bauer. VII.8.1 Pompeii. 1944. VII.8.1 Pompeii. VII.8.1 Pompeii. VII.8.1 Pompeii. This statue dated from the time of Sulla, approximately 80BC. VII.8.1 Pompeii. 1944. VII.8.1 Pompeii. Now in Naples Archaeological Museum. VII.8.1 Pompeii, 1978. Source: The Wilhelmina and Stanley A. J78f0596 VII.8.1 Pompeii. VII.8.1 Pompeii. Photo courtesy of John Vanko. VII.8.1 Pompeii. Photo courtesy of John Vanko. VII.8.1 . VII.8.1 . Photo by Sommer and Behles. VII.8.1 Pompeii. Looking towards Arch of Augustus and Temple of Jupiter, in north-west corner of Forum. VII.8.1 Pompeii.

Randonnée : faire le chemin Bibracte - Alésia 120 km, pour randonneurs avertis Ce sentier culturel reliant deux imaginaires liés à la Guerre des Gaules, à Jules César et Vercingétorix, vous emmène des hauteurs de la ville gauloise de Bibracte jusqu’à l’oppidum d’Alésia. Un balisage spécifique « Bibracte Alésia » Comme tout chemin, le Bibracte-Alésia a son marquage, mais celui-ci est spécifique : ses couleurs sont bleu et jaune pour le différencier des GR que parfois il emprunte (GR.13 et GR tour du Morvan). Marcher n’est pas qu’une activité physique consistant à se déplacer et à changer d’espace. Jacques LACARRIERE, Préface guide les chemins de l’histoire Bibracte-Alésia Un itinéraire culturel important Cet itinéraire a été inauguré le 29 juin 1996. Autun – Augustodunum Fondée par les Romains en -15 sous le règne d’Auguste, comme « Augustodunum » « sœur et émule de Rome » (Roma celtica, soror et aemula Romae), capitale gallo-romaine des Éduens, elle était destinée à remplacer Bibracte. Bibracte Teureau de la Wivre (Theurot de la Vouivre)

Les temples grecs Le temple grec (le temple se dit en grec ancien ὁ ναός, ho naós « l'intérieur », sémantiquement différent du latin templum, « temple ») est un type d'édifice religieux développé en Grèce antique dans le cadre de la religion grecque. Les temples, qui constituaient les lieux de culte les plus élaborés du polythéisme grec, ont donné lieu à des chefs-d'œuvre architecturaux comme le Parthénon. Longtemps après la fin du polythéisme grec, l'architecture des temples grecs antiques a été l'une des sources d'inspiration de l'architecture néoclassique. Histoire La civilisation minoenne et la civilisation mycénienne, qui célébraient leurs cultes dans les maisons et les palais, ou bien en plein air, n'ont pas construit de temples. Cependant, le palais crétois et le mégaron mycénien inspireront la conception du temple grec ultérieurement, notamment au niveau de l'entrée et du porche[1]. Le temple grec n'apparaît qu'au cours des siècles obscurs (époque proto-archaïque), peut-être au IXe siècle av.

Bibracte - 2014, une campagne de fouilles fructueuse sur le mont Beuvray (Archeologia.be, 15 décembre 2014) Une construction excavée insolite À moins de 30 m en contrebas du bâtiment précédent, l’équipe suisse a entièrement dégagé un autre édifice bien plus insolite : une vaste pièce rectangulaire de 9,35 x 11 m excavée de près de 2 m dans le rocher. Avec ses murs de pierre soigneusement bâtis, cette construction qui date certainement des derniers temps de l’oppidum reste une énigme : on n’y a retrouvé aucune trace liée à son usage, ni aménagement hydraulique, ni mobilier évocateur, ni même de vestiges de toiture effondrée. Au total, le Theurot de la Roche, dont la fouille s’achèvera en 2015, aura livré une demi-douzaine de constructions répondant à des formes et des modes de construction variés : cela montre que la fonction de ce secteur de l’oppidum ne se réduit pas simplement à celle d’espace sacré. Fig. 3 : Bibracte – Mont Beuvray (Morvan, Bourgogne). Une nouvelle mosaïque dans la grande domus du Parc aux Chevaux Fig. 4 : Bibracte – Mont Beuvray (Morvan, Bourgogne).

Temple de Jupiter à Pompéi Tout indique que ce monument, renversé sans doute par le tremblement de terre de 63, était en pleine restauration à l'époque de la destruction de la ville ; sans cela, on ne saurait expliquer la disparition complète d'un grand nombre de colonnes qui n'ont point été retrouvées ; de plus, dans un souterrain existaient divers fragments d'architecture qui, évidemment, y étaient emmagasinés en attendant le moment d'être remis à leur place. Plusieurs de ces fragments paraissaient avoir appartenu à d'autres édifices. Le temple de Jupiter était élevé sur un podium ou soubassement haut de 3 mètres, auquel on montait par un escalier de 18 marches partagé par un repos. Les dix premiers degrés n'étaient que deux petites rampes a a placées aux deux extrémités de la façade et séparées par une esplanade ou pulpitum b longue de 10m 35 et large de 3m 80, qui dut servir à l'accomplissement des cérémonies publiques.

Roman drunkard found on Danish island The 4.5 cm tall Roman bronze figure represents Silenus, a mythological creature based on the Greek figure of the same name. The bronze figure was found recently on the island of Falster and can be dated back to the late Roman Iron Age. It is unknown how the figure ended up on a Danish island. (Photos: National Museum of Denmark) A bronze figure representing the Greek figure Silenus, from the time of Rome's first emperor, Augustus, has been found on the south-eastern Danish island of Falster. This find suggests that there was close contact between the Roman empire and Scandinavia, before and after the emperor's reign. A Roman on Falster The tiny bronze figure represents an elderly, bearded, balding man with thick lips and a plump nose. At first sight the figure seemed so finely detailed that the finder took it home in the belief that it was a modern object. In Greek mythology, Silenus (Greek: Seilenos) was a companion and tutor of the wine god Dionysus. Couch ornamentation The way to Falster

Archéologie : découverte exceptionnelle d’une tombe princière à Lavau - lest-eclair.fr Les archéologues ont découvert mercredi la chambre funéraire d’un prince celte du Ve siècle avant notre ère, au centre d’un tumulus (monticule au-dessus d’une sépulture) de 40 mètres de diamètre. La tombe date de la fin du Premier âge du Fer (période du Hallstatt). Elle fait partie d’une vaste nécropole comprenant des tombes de l’âge du Bronze, de l’âge du Fer et même de la période gallo-romaine. La chambre funéraire mesure 14m² et est intacte. Le défunt y repose avec son char, un riche mobilier, un grand chaudron à vin, un pichet, une passoire, des récipients. Tout semble prêt pour un banquet. Stéphane Sidonino, adjoint scientifique et technique à l’INRAP, explique l’importance de cette découverte au micro d’Alexandra Trubat, notre consœur de Champagne FM, Dans une autre tombe proche, se trouve le squelette d’une femme. La pièce maîtresse est un grand chaudron en bronze, dans lequel on mettait du vin coupé d’eau. Au pied du chaudron se trouve une passoire en argent doré.

Découverte en France d’une nouvelle tombe princière du Ve siècle avant notre ère Au centre d’un tumulus de 40 m de diamètre, le défunt et son char reposent au cœur d’une vaste chambre funéraire de 14 m², une des plus vastes recensée par les archéologues pour cette période de la fin du premier âge du Fer (le Hallstatt). Sous les niveaux d’effondrement du tumulus, la tombe contient des dépôts funéraires d’une richesse digne des plus hautes élites hallstattiennes. Disposés dans un angle, les objets les plus fastueux se composent de bassins, d’une ciste (seau) en bronze, d’une céramique fine au décor cannelé, d’un coutelas dans son fourreau. La pièce maîtresse du dépôt funéraire est un chaudron en bronze, d’environ 1 m de diamètre. Ses quatre anses circulaires sont ornées de têtes d’Acheloos, dieu-fleuve grec ici représenté cornu, barbu, avec des oreilles de taureau et une triple moustache. Le bord du chaudron est également décoré de huit têtes de lionnes.

Vindolanda - LEGION VIII AUGUSTA Vindolanda, aussi appelé fort romain de Chesterholm situé non loin du village de Bardon dans le Northumberland, est sans aucun doute l’un des sites du mur d’Hadrien les plus connus tant par son fort que par les découvertes archéologiques exceptionnellement bien conservées qui y ont été faites. Localisé sur le tracé de la Stanegate, voie romaine qui reliait le fort de Corstopitum (Corbridge) à celui de Luguvalium (Carlisle), Vindolanda était le siège d’une garnison d’auxiliaires de l’armée romaine (infanterie et cavalerie). On note la présence de la cohors IX Batavorum (fin du Ier – IIe siècle ap. J. La première publication concernant Vindolanda date du début du XVIIIe siècle et depuis de nombreuses fouilles archéologiques ont été réalisées. Les répliques du mur d’Hadrien de Vindolanda Puits et citernes Vindolanda possède un excellent réseau d’approvisionnement en eau, il dispose à proximité de nombreuses sources et ruisseaux. Les thermes le temple Le jardin et les stèles les chaussures

Ten Must See Iron Age Hill Forts In Britain | HeritageDaily The fortification usually follows the contours of a hill, consisting of one or more lines of earthworks, with stockades or defensive walls, and external ditches. Hill forts developed in the Late Bronze and Early Iron Age, roughly the start of the first millennium BC, and were in use by the ancient Britons until the Roman conquest. There are around 3,300 structures that can be classed as hillforts or similar “defended enclosures” within Britain, all worthy of considering. The following list represents ten of the most impressive examples. 1 : Maiden Castle, Dorset Maiden Castle is an Iron Age hill fort 2.5 kilometres (1.6 mi) south west of Dorchester, in the English county of Dorset. The earliest archaeological evidence of human activity on the site consists of a Neolithic causeway enclosure and bank barrow. Image Credit : Google Earth 2 : Old Oswestry Designated as a scheduled monument (number 27556) in 1997 it is now in the guardianship of English Heritage. 4 : Hambledon Hill 9 : Danebury

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