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Bornes Milliaires : Voies romaines

Bornes Milliaires : Voies romaines
1 . EXPANSION et STRATEGIE. Bien que les voies romaines ne soient pas le sujet que je désire traiter (pour maîtriser un sujet, il faut savoir se limiter !), il est difficile de faire un exposé sur les bornes milliaires sans parler des voies auxquelles elles se rapportent. Lyon Les Romains ont fait preuve de méthodologie et de technique dans tous les domaines; il en fut ainsi pour les voies de communication. Il faut cependant souligner que les Romains n'étaient pas les premiers occupants des Gaules; des peuplades régionales celtes et gauloises existaient depuis longtemps sur ces territoires, qui ne constituaient pas une véritable nation. Par le biais de leur expansion et des travaux réalisés, ce sont les Romains qui ont en fait réalisé l'unité de la plupart des pays du bassin méditerranéen. Alba Principales voies de ROME : Principales voies des GAULES : Voies principales répertoriées en France : Vienne Les Romains ont montré tout leur savoir-faire en ce domaine: Pont d'AMBRUSSUM Les haltes : Related:  GEOGRAPHIE ANTIQUE : cartes, textes, parcours

Terra Antiqua Est locus, Hesperiam Graii cognomine dicunt, Terra antiqua, potens armis atque ubere glebae Virgile, Enéide, I, 530-532 et III, 163-164 Il est une contrée que les Grecs nomment Hespérie, terre antique, puissante par les armes et la fécondité du sol Le grand poète augustéen Virgile cite une Terra antiqua, dans son Enéide, à deux reprises ; elle correspond à l'Italie ; l'auteur latin reprend ici le topos bien connu de la célébration de la fertile Italie... Mais l'empire romain ne se réduit plus à l'Italie, déjà bien avant Virgile qui écrit au Ier siècle de notre ère. Le mot "paysage" n'existe pas en latin et le concept ne se traduit pas. Les Romains s'intéressent plus à certains types de paysages, définissant rapidement littérairement un locus amoenus, un "lieu agréable", donc apprécié, opposé à un locus horridus, ou plutôt à des loca horrida, c'est à dire à des lieux qualifiés d"affreux", "horribles", donc détestés.

cartes anciennes Atlas historique Lesage 1808 En 1802, Emmanuel de Las Cases, sous le pseudonyme de A. Le Sage, publia un monumental Atlas historique. Cet ouvrage connut un énorme succès en Europe et fut réédité à plusieurs reprises jusque vers 1845. Las Cases, compagnon de Napoléon à Sainte-Hélène, est célèbre pour le Mémorial de Sainte-Hélène mais son Atlas marque aussi une étape importante dans les études historiques car il est le premier à expliquer les évènements au moyen de cartes et de tables. Vous trouverez ici les 33 feuilles de l'édition de 1808 sous forme d'images .jpg et chaque page est zoomable. La carte de Peutinger Réalisé en 1265 par un moine de Colmar et constitué de 11 parchemins hauts d'environ 34 cm qui, bout à bout, totalisent une longueur de 6,74 m., ce document a été découvert en 1494 par Conrad Meissel alias Celtes et remis en 1507 à un antiquaire d'Augsbourg, Conrad Peutinger. Cartographie ancienne

Rome. L'armée et le territoire Source : RÉCIT national de l'univers social Si l'Empire romain a pu atteindre une certaine étendue, c'est grâce à une armée disciplinée et bien entraînée. D'une guerre à l'autre, d'un territoire à un autre, l'armée attaquait les peuples des régions voisines, puis de régions de plus en plus éloignées. L'expansion territoriale une fois atteinte, l'armée eut pour fonction d'assurer la sécurité et la protection des limes, les frontières de l'empire. L'armée, permanente à partir d'Auguste, était composée de citoyens volontaires de 17 à 45 ans qui s'engageaient pour des périodes allant de 12 à 25 ans. Pour fonctionner, les légionnaires romains disposaient d'un équipement complet qui les protégeaient (bouclier, armure, etc.). La formation en tortue était une manoeuvre utilisée par les Romains pour attaquer l'ennemi en se protégeant des flèches Source : Formation défensive pour contrer la cavalerie adverse La disposition d'un fort romain

"He has a wife you know" (Search results for: maps) 10 must see roman sites across the world HeritageDaily The Roman era is one of the most well known among today’s civilization, it is an era of history that is taught at the majority of schools and was so widespread that you can visit many different parts of the world and still manage to stumble upon some Roman ruins. Listed are some of the most majestic and dominating Roman structures that still stand today that cannot be missed. 1 Palmyra Palmyra is located in Syria and its ruins are listed as a UNESCO World Heritage Site. Temple of Bel, Palmyra: WikiPedia The city of Palmyra experienced its golden years under the rule of the Romans. Palmyra contains some fascinating ruins including the Temple of Bel, the Baths of Diocletian, the agora and the Senate House. 2 Herculaneum The ruins of the city are located in Ercolano, Campania in Italy. Herculaneum: Wikimedia Herculaneum is an ancient Roman city that is unique in that it stands in almost as it did before the natural disaster that was the famous Mount Vesuvius eruption in 79AD. 3 The Colosseum

10 must see ancient greek temples HeritageDaily Back in Ancient Greece the temple was the most important building. The first temples to be constructed from stone began to appear in the 6th century. The Greek temples were not used as places of worship, but rather as monuments to their beloved gods and goddesses. Some of the best examples of Greek temples standing today are located not only in Greece, but in what would have been their ancient empire that stretched to various other locations including Italy, which is home to some of the most well-preserved Greek temples. 1 Parthenon, Acropolis The Parthenon, located atop the Acropolis is a monument dedicated to the goddess Athena, a goddess of wisdom. Parthenon: Wikimedia The Parthenon is an example of an early temple, being built in the mid 5th century and was originally constructed to replace an older temple that was destroyed by the Persians. 2 Valley of the Temples Valley of the Temples: WikiPedia 3 Temple of Hephaestus Temple of Hephaestus: Wikimedia 4 Paestum Paestum: WikiPedia

Digital Atlas of the Roman Empire Mapping Strabo's Geographica Recently Google Maps Mania reviewed the Hestia Project's Herodotus Timemap. Herodotus, sometimes known as the Father of History, was a fifth century Greek historian. In his 'Histories' Herodotus recounts the origins of the Great War between the Greeks and Persians and the rise of the Persian Empire. The Hestia Project's Herodotus Timemap connects the text of the Histories with a Simile timeline to allow users to visualize geographical references in the Histories on a Google Map. If Herodotus was the 'Father of History' then the title 'Father of Geography' could be given to the Greek philosopher, historian and geographer Strabo. To accompany the publication of Duane W. The Strabo Map uses Mapbox to add place-name mentioned in the Geographica to an interactive map. The map tiles used in the map are the same AWMC map tiles, as used in the Pleides gazette of ancient places.

40 maps that explain the Roman Empire by Timothy B. Lee on August 19, 2014 Two thousand years ago, on August 19, 14 AD, Caesar Augustus died. He was Rome's first emperor, having won a civil war more than 40 years earlier that transformed the dysfunctional Roman Republic into an empire. The rise and fall of Rome The rise and fall of RomeIn 500 BC, Rome was a minor city-state on the Italian peninsula. The rise of Rome Rome's military Rome's powerful maniple formation Rome's powerful maniple formationIn the early years of the republic, the Roman infantry used a version of the Greek phalanx. The republic becomes an empire Julius Caesar conquers Gaul Julius Caesar conquers GaulIn 58 BC, Julius Caesar took command of Rome's northern frontier and set out to conquer Gaul, which corresponds roughly to modern-day France. The lost city of Pompeii The eruption of Mount Vesuvius The eruption of Mt. The culture of Rome The journey of Aeneas The journey of AeneasVirgil, who lived from 70 BC to 19 BC, was one of ancient Rome's greatest poets.

Géographie Plusieurs sites sont consacrés aux noms latins désignant des villes et des peuples. On en signalera quelques-uns : Les cartes disponibles sur le Web ne remplacent évidemment pas les atlas imprimés. Sur le Web, il existe plusieurs sites consacrés aux noms latins désignant des villes et des peuples. Sur la valeur des atlas parus avant 1987 : Foss C., Classical Atlases, dans CW, t. 80, 1987, p. 337-365. Bengtson H., Milojcic V. En matière d'atlas géographique et historique, il faut faire une place particulière à une réalisation prestigieuse qui vient de se terminer, le Tübinger Atlas des Vorderen Orients (TAVO) (Tübingen Atlas of the Near and Middle East). Cornell T., Matthews J., Atlas du monde romain, Paris, 1984, 240 p. : trad. française de Atlas of the Roman World,, Oxford, 1982, 240 p. On rencontre aussi des ouvrages qui organisent un voyage dans un pays ou une ville à partir de textes littéraires. Adams C., Laurence R.

La cartographie qui prouve que l'expression "tous les chemins mènent à Rome" est vraie Benedikt Gross, Philipp Schmitt et Raphael Reimann, trois membres du collectif artistique Moovel Lab, ont modélisé un document répertoriant 486 000 point de départs en Europe dont toutes les routes mènent vers la ville millénaire. Tout le monde a au moins une fois dans sa vie employé l’expression "tous les chemins mènent à Rome". Un dicton qui fait référence aux grands travaux de voirie entrepris par l’empereur Auguste pour relier tous les points stratégiques du vaste ensemble conquis par la civilisation romaine, depuis le nord de l’Écosse jusqu’à la Turquie. Soit 80 000 km de voies praticables. Un réseau gigantesque pour l’époque qui faisait de Rome la capitale et le "centre du monde". 486 700 points de départ Aujourd’hui, trois Allemands membres du collectif artistique Moovel Lab, ont voulu démontrer que le proverbe tenait toujours la route. Tous les chemins ne mènent pas qu'à la Rome italienne Vous nous aimez déjà ?

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