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Les croyances les plus répandues que nous avons sur autrui

Les croyances les plus répandues que nous avons sur autrui
Il y a quelques semaines, je vous proposais un classement (purement informel) sur les dix croyances limitantes les plus répandues sur soi-même. Étant donné que les rapports humains c’est aussi avec les autres, je vous propose cette semaine un top dix des croyances sur l’Autre. A l’instar du billet sur les croyances sur soi, ce classement n’a rien de hiérarchique. Il est établit suivant un ordre purement subjectif issu de ma seule boite à penser. Je pense même que l’ensemble de ces croyances sont toutes aussi limitantes les unes que les autres. En bonus track pour chaque croyance citée, je vous propose une piste de réflexion afin de tenter de voir les choses sous un autre angle. Avec cette conclusion issue de la pièce de théâtre Huis clos, de Jean-Paul Sartre, nous avons presque résumé les neuf autres croyances qui vont suivre. Question: « Si l’enfer c’est les autres, qu’en est-il de nous? Je ne nie pas l’existence de ce type d’éventualité. Je m’explique. A la semaine prochaine Related:  Croyances limitantes

Top 10 des croyances sur soi Vous connaissez mon intérêt pour les croyances, que je considère être la pierre angulaire dans tout processus de changement. Pour rappel, une croyance est une pensée construite et très personnelle dont nous avons l’intime conviction qu’elle est valide, vraie, réelle, authentique et véritable et qui nous sert de repère dans nos actes quotidiens, notre vision du monde, nos jugements sur nous-mêmes, les autres ou le temps. Parfois, voire même souvent, nos freins, nos blocages, nos difficultés quotidiennes sont issues de certaines de ces croyances qui se qualifient alors de limitantes. A noter qu’il n’y a pas une croyance plus limitante qu’une autre; elles le sont toutes à priori et à des degrés divers pour chacun. Ah! Question: « Comment pouvez-vous essayer quelque chose de nouveau en respectant votre besoin de sécurité? J’en connais qui ont été poursuivi en justice pour discrimination et pour moins que ça :-). Déjà, la réussite est un concept trop vague pour s’y appuyer assurément.

Les croyances les plus répandues que nous avons sur autrui (suite) Nous avions vu la semaine dernière cinq des dix croyances les plus répandues sur l’Autre. Voici cette semaine la suite de ce classement (qui, je le rappelle, n’en a que le nom) avec toujours à la clé une ou plusieurs pistes à explorer pour tenter de voir les choses un peu différemment. Certes, cette croyance pourrait s’apparenter à soi-même, mais elle débouche invariablement sur une autre croyance qui s’y attache tout naturellement: « … donc l’Autre a tort, à priori » J’avais partagé avec vous une expérience relative à cette croyance dans « La guerre des mondes« . Nous sommes ici en plein dedans. Équipement de série, oui, mais avec un sacré vice de fabrication! Qui peuvent-ils être? Question: « Qu’est-ce qui vous fait dire que votre réalité est LA Réalité? En tout cas chez mon voisin, c’est une réalité; sa pelouse est nickel, pendant que la mienne ressemble à la savane africaine :-). Question: « Et si ce qui vous manque, vous le cherchiez dans ce que vous avez?

Pourquoi voulons-nous être rassurés ? Dans d'autres situations nous avons peur de l'avenir et de ce qu'il peut apporter : précarité matérielle, perte d'un être cher et donc peur de l'abandon, souffrance et déchéance physique, peur de la violence d'un conflit qui se profile etc. Les objets de la peur sont dans ce cas bien réels, ils ne sortent pas d'une imagination fantasque, ils sont possibles mais toute la question est celle de leur plausibilité. Comme nous savons qu'il nous faut agir sans connaitre l'avenir nous demandons à autrui de nous rassurer, comme nous le faisions avec nos parents, en lui demandant qu'il nous fasse voir le côté positif et agréable des choses, qu'il nous parle de nos forces et de la confiance qu'il a en nous, ou juste par des paroles quelque peu magiques qui agiront comme un calmant provisoire. Si nous reprenons l'exemple de notre séducteur terrorisé par l'idée de l'abandon, de la solitude, du vide, il pourra se demander "pourquoi ai-je peur d'être abandonné ?

Attitude et comportement dans le rapport cause-effet : quand l’attitude détermine l’acte et quand l’acte détermine l’attitude 1Cet article propose de traiter de la relation cause-effet entre les attitudes et les comportements à travers deux champs théoriques classiques de la psychologie sociale expérimentale : la persuasion et la dissonance cognitive. La relation entre attitude et comportement occupe une place centrale dans la psychologie sociale. Cette discipline, majoritairement expérimentale aujourd’hui, étudie les comportements, les états mentaux et processus mentaux chez l’Homme en société. 1 Eagly et Chaiken (1993, p.1) dans leur ouvrage de référence sur les attitudes définissent l’attitu (...) 2Le concept d’attitude occupe une place centrale en psychologie sociale depuis les années trente et maintient encore aujourd’hui cette position. Figure 1 : Exemple d’une échelle de mesure d’attitude en psychologie sociale 2 Davidson et Jaccard (1979) ont pour exemple mesuré l’attitude de femmes à l’égard de la pilule con (...) Figure 2 : Changer l’attitude pour changer le comportement

Les croyances Depuis le début de ma reconversion dans le domaine du développement personnel et du coaching professionnel, il y a une notion qui reste, à mes yeux, comme fondamentale dans tout processus de changement ou de développement personnel, les systèmes de croyances. Le mot croyance est habituellement utilisé dans les domaines de la religion ou des quêtes spirituelles. Nous retrouvons alors des expressions comme “avoir la foi”, “être de confession X ou Y”, “Pratiquer tel ou tel culte”, “avoir des convictions religieuses”, etc. Si elle en fait effectivement partie, la notion de croyance s’élargit bien au-delà de la spiritualité. Dans le champ humain, les croyances sont de l’ordre des certitudes, des convictions profondes que nous avons vis à vis de ce que nous percevons comme notre réalité, le monde qui nous entoure et avec lequel nous interagissons en permanence. Pour imager la structure d’une croyance, j’aime utiliser la métaphore d’un temple d’où la photo illustrant le billet…) Pourquoi?

« La chasse aux ‘’croyances limitantes’’ permet de prendre sa vie en main et d’en devenir l’acteur » Pour la deuxième fois, le blog reçoit Marjorie Llombart, experte auprès des femmes à la recherche du métier qui les fait vibrer. Souvent confrontée à des cas où les propres croyances des personnes se révèlent des freins majeurs au changement, la coach a accepté d’évoquer ce sujet pour Les Nouveaux Audacieux. Entretien autour de ces pensées négatives qui peuvent arbitrer la réussite ou l’échec d’une reconversion. Qu’appelez-vous une « croyance limitante » ? Pour commencer, j’aime à citer une pensée du Dalaï Lama : « Sème une pensée, tu récolteras un acte ; sème un acte, tu récolteras une habitude ; sème une habitude, tu récolteras un caractère ; sème un caractère, tu récolteras une destinée ». Autrement dit, pour changer les résultats de ses actions, il faut commencer par changer ses pensées, ses croyances. Pourquoi ces croyances « limitantes » sont-elles si puissantes ? Quelles sont les grandes familles de « croyances limitantes » ? Comment reconnaître à coup sûr une croyance limitante ?

Comprendre la peur et la dépasser Peut-on comprendre la peur et s’en débarrasser ? La peur se manifeste sous différentes formes : obsessions, perfectionnisme, addictions au travail, angoisses, agitation mentale, besoin de contrôle etc… Nous sommes tous un peu victimes de la peur d’une façon ou d’une autre, sans même nous en rendre compte parfois. Comment s’en sortir, et ne plus avoir peur ? La peur est parfois bien utile… En reconnaissant l’utilité de la peur, on peut l’apprécier, l’apprivoiser et même s’en faire une alliée. De même que pour aller de l’avant, il faut prendre appui sur un point fixe : avant de transformer éventuellement la peur en autre chose, il faut déjà savoir quelle est sa fonction positive. En effet, la peur provoque plusieurs effets intéressants : Cette émotion naturelle n’est donc pas à rejeter. Comprendre la peur : elle n’est souvent qu’un fantasme C’est ainsi que nous sommes tous plus ou moins victimes de peurs déraisonnables, chroniques, et inconscientes, qui n’apportent rien de vraiment utile…

Le fonctionnement des croyances Nous avons vu la semaine dernière quelle était la structure d’une croyance. Nous l’avions comparée à un temple composé de piliers principaux et secondaires auxquels il est parfois utile de faire quelque travaux de rajeunissement ou de modification de structure. Un accompagnement en coaching professionnel peut remplir cette mission. Nous allons voir aujourd’hui comment fonctionne une croyance ou un système de croyances, quelle est sa dynamique, son évolution, sa capacité à se camoufler ou à agir au grand jour bref tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur les croyances sans jamais osé le demander. Depuis notre premier jour et jusqu’au dernier, nous évoluons en permanence en relation avec notre environnement ou plutôt nos environnements. La plupart de nos croyances se sont construites dans notre enfance selon différentes sources Voyons quelques exemples de croyances qui, en fonction d’une même situation, peuvent être soit limitantes, soit aidantes. La vie est dure. J’explique.

Croyances limitantes Sylvaine Pascual – Publié dans Vie professionnelle / Trait d’union A qui bon vous mettre la rate au court-bouillon pour aller enrichir un patron de toute façon plus large que vous? Et dire qu’il y a des gens qui y laissent leur confiance en eux et leur moral, alors qu’on vous le répète de partout: les grugeurs de Pôle Emploi qui vivent peinards, heureux et épanouis sont légions. Ca n’a pas de sens, autant les rejoindre et donner une fois pour toute raison à tous ceux qui ont fait fond de commerce de leurs jugements sur les chercheurs d’emploi, sur leur faible motivation comme leur bêtise opérationnelle. D’ailleurs en réalité, qui se fatiguerait à chercher un job alors qu’être payé à rien foutre, c’est un rêve d’autant plus accessible qu’en ces temps sinistres, rien de plus facile que de se faire virer ou de négocier une rupture conventionnelle. Celui-là j’y suis très attachée, d’autant qu’il est facile à mettre en place, puisqu’il est abondamment recommandé. L’égo est merveilleux.

En finir avec la peur d'être rejeté Avez-vous la peur du « regard des autres » ? Avancez-vous dans la vie avec la crainte de ne pas être accepté ? Évitez-vous certaines situations sociales de peur de ne pas y trouver votre place ? Rassurez-vous, vous n’êtes pas seul La plupart des gens vivent avec ce sentiment. Mais intéressons-nous d’abord à ce qu’est le « rejet social« . Rejet social Nous parlons de rejet social lorsqu’il y a « exclusion délibérée d’une relation ou d’une interaction sociale ». La sensation éprouvée par une telle exclusion peut être extrêmement douloureuse. Certains lui donnent une origine anthropologique. Observez par exemple : lorsque vous discutez avec vos proches (amis ou famille), vous n’éprouvez aucun stress à converser. En revanche, que se passe-t-il lorsque vous devez converser en dehors du cercle de vos amis ? Cette origine évolutionniste est fondamentalement intéressante pour comprendre les fondements de notre peur. Voyons à présent de quelle manière nous allons pouvoir nous en libérer.

La mise à jour d'une croyance Voici la dernière partie de ce dossier sur les croyances. Nous allons voir aujourd’hui comment mettre un peu plus de conscience sur nos croyances limitantes, et s’interroger sur une anecdote dont le sujet principal est le thème de ce dossier. Quelques petits rappels avant tout: Une croyance est une conviction profonde sur la réalité que nous percevons de notre environnement.Elle joue un rôle essentiel voire exclusif dans nos stratégies d’adaptation individuelles et nos comportements au sein de notre environnement.Elle n’est ni bonne, ni mauvaise. La question qui titille à ce stade de l’exposé est :« Quand est-il nécessaire de faire évoluer une croyance limitante ? Plus concrètement, il nous arrive parfois d’avoir conscience que certains de nos comportements soient inadaptés ou que certaines de nos stratégies soient inefficaces et pourtant nous continuons à reproduire le même fonctionnement qui irrémédiablement entraînent les mêmes états et résultats. Cela pourrait ressembler à:

Pourquoi choisit-on la file d'attente qui n'avance pas ? Le stress de la file d'attente fait partie des petites tensions du quotidien, parce qu'en position d'attente on a très souvent l'impression d'avancer moins vite que les autres. Ce qui agace au fond c'est l'impression qu'il n'y a pas de hasard. Comme si dans l'ordre des choses, nous étions condamnés à attendre plus que les autres. C'est aussi le témoignage de notre impuissance face à un monde dont l'ordre nous échappe. En réalité si l'on croit que l'on est toujours dans la mauvaise file d'attente, c'est parce qu'on est dans la même position que ceux qui croient que tout relève d'une décision divine. Finalement croire que nous tombons toujours sur la mauvaise file d'attente, c'est croire que notre existence ne relève pas de nos choix.

La blessure de rejet… 7 moyens pour vous en libérer Vous avez probablement lu mon récent article intitulé « Êtes-vous affecté par la blessure de rejet ? ». Suite à ça j’ai reçu tellement de témoignages que je me suis empressée de vous écrire la suite via ce nouveau texte, pour aider chacun à passer à l’action en vue de se libérer toujours plus de ce sentiment inconfortable qu’est le rejet. Ce n’est aucunement un hasard si je suis aujourd’hui conférencière internationale, formatrice en entreprise et auteure de 7 livres sur une multitude de sujets majeurs en lien avec la libération émotionnelle, la santé, les relations affectives, la joie de vivre. Je peux vous dire que si je fais ce métier, c’est suite à mes souffrances qui ont duré tant d’années et que j’ai dû transformer si je voulais survivre. On a tous été ou nous sommes encore influencés à différents degrés par la blessure de rejet. Voici 7 moyens pour vous aider à vous en libérer grandement. Inutile de se sentir vexé.

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