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Egypte - Vallée du Nil

Egypte - Vallée du Nil

Cité perdue Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cette page liste les cités perdues soit mythiques, soit historiques, disparues à la suite d'un déclin fatal, d'une guerre ou d'une catastrophe. L'adjectif perdues désigne dans cette expression des lieux qui n'existent plus en tant que cités, que leur localisation soit connue ou inconnue. Catégories de cités perdues[modifier | modifier le code] Dans l'imagination populaire, les villes perdues furent des lieux d'habitation prospères et bien peuplés. Leur disparition a été si complète qu'aucune connaissance de la ville ne subsistait jusqu'à leur redécouverte.Leur localisation a été perdue, mais leur mémoire a été maintenue grâce à des mythes et des légendes.Leur existence et leur localisation ont été toujours connues, mais elles ne sont plus habitées. Afrique[modifier | modifier le code] Asie[modifier | modifier le code] Proche et Moyen-Orient[modifier | modifier le code] Asie centrale[modifier | modifier le code] Angkor Cahokia

Machu Picchu Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Machu Picchu (du quechua machu : vieille, et pikchu : montagne, sommet)[note 1] est une ancienne cité inca du XVe siècle au Pérou, perchée sur un promontoire rocheux qui unit les monts Machu Picchu et Huayna Picchu sur le versant oriental des Andes centrales. Son nom aurait été Pikchu ou Picho[1]. Selon des documents du XVIe siècle, trouvés par l'archéologue italien Lucas Pittavino, Machu Picchu aurait été une des résidences de l’empereur Pachacútec. Abandonnée lors de l’effondrement de l'empire inca, Machu Picchu, la ville sacrée oubliée durant des siècles, est considérée comme une œuvre maîtresse de l’architecture inca. Localisation[modifier | modifier le code] Situation des ruines de Machu Picchu, dans le Cañón del Urubamba Le site se trouve à l’est de la Cordillère des Andes, aux limites de la forêt amazonienne[note 2] situé au Pérou (province d'Urubamba), à cent trente kilomètres de Cuzco[note 3]. Accès[modifier | modifier le code]

Photos | Zeugma et Apamée : deux villes antiques englouties par les eaux Les cité antiques Apamée (en actuelle Syrie) et Zeugma (en actuelle Turquie) furent fondées à la fin du IVe siècle avant J. C., par Séleucos 1er. Ces villes, situées à la frontière turco-syrienne, sont aujourd'hui disparues sous les eaux du barrage turc de Birecik. Elles se trouvaient sur la route communément appelée, depuis le XIXe siècle, « route sud de la soie », qui reliait la Méditerranée à l'Orient. La mission archéologique « Zeugma-moyenne vallée de l'Euphrate » a exploré ces deux sites majeurs (Zeugma-Séleucie et Apamée), avant qu'ils ne soient partiellement engloutis dans les eaux, en même temps qu'une cinquantaine de sites, pour la plupart inédits, dont Horum Huyuk (site daté de l'époque du bronze et fouillé par les Français).

Chichén Itzá Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La présence d'une cité maya à cet endroit est due à la présence de deux puits naturels (cénotes) qui constituaient un trésor inestimable dans cette région dépourvue d'eau. Le site doit d'ailleurs son nom à cette source d'eau souterraine : Chi signifie « bouche » et Chén, « puits »[2]. Itzá (« sorcier de l'eau » en maya yucatèque) est le nom du groupe qui, selon les sources ethnohistoriques, constituait la classe dirigeante de la cité. À plus d'un égard Chichen Itzá demeure une énigme : sa chronologie, à cheval sur le Classique terminal et le Postclassique ancien, demeure floue ; l'identité des Itzá est incertaine et, surtout, la nature exacte des liens indéniables entre la cité maya et le Mexique central fait toujours l'objet de débats. Histoire[modifier | modifier le code] Époque préhispanique[modifier | modifier le code] Les premières traces d'occupation et de construction, à Chichén Itzá, ont été datées des VIIIe ou IXe siècle[3].

Site archéologique de Volubilis Archaeological Site of Volubilis The Mauritanian capital, founded in the 3rd century B.C., became an important outpost of the Roman Empire and was graced with many fine buildings. Extensive remains of these survive in the archaeological site, located in a fertile agricultural area. Volubilis was later briefly to become the capital of Idris I, founder of the Idrisid dynasty, who is buried at nearby Moulay Idris. La description est disponible sous licence CC-BY-SA IGO 3.0 Site archéologique de Volubilis La capitale de la Maurétanie, fondée au IIIe siècle av. موقع وليلي الاثري تأسَّست العاصمة الموريسكية في القرن الثالث ق.م. source: UNESCO/ERI La description est disponible sous licence CC-BY-SA IGO 3.0 瓦卢比利斯考古遗址 古城建于公元前3世纪,曾是北非古国毛里塔尼亚的首都,是罗马帝国的一个重要前哨,有着许多优雅精致的建筑物。 Археологические памятники Волюбилиса Волюбилис - столица Мавритании, основанная в III в. до н. э., - стал важным форпостом Римской империи и был украшен многими прекрасными зданиями. Sitio arqueológico de Volubilis ヴォルビリスの古代遺跡 source: NFUAJ

Babylone Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Babylone occupe une place à part en raison du mythe qu'elle est progressivement devenue après son déclin et son abandon qui a lieu dans les premiers siècles de notre ère. Ce mythe est porté par plusieurs récits bibliques et également par ceux des auteurs gréco-romains qui l'ont décrite et ont ainsi assuré une longue postérité à cette ville, mais souvent sous un jour négatif. Son site, dont l'emplacement n'a jamais été oublié, n'a fait l'objet de fouilles importantes qu'au début du XXe siècle sous la direction de l'archéologue allemand Robert Koldewey, qui a exhumé ses monuments principaux. La redécouverte de Babylone[modifier | modifier le code] Murs de Babylone le soir en 1970 Les explorations des sites de la Mésopotamie antique débutèrent dans le courant de la première moitié du XIXe siècle et se firent plus intenses dans les décennies qui suivirent. Les premières explorations et fouilles du site[modifier | modifier le code] Avant 539 av.

Site de Palmyre Valeur universelle exceptionnelle Brève synthèse Oasis du désert de Syrie au nord-est de Damas, Palmyre abrite les ruines monumentales d'une grande ville qui fut l'un des plus importants foyers culturels du monde antique. Au carrefour de plusieurs civilisations, l'art et l'architecture de Palmyre allièrent aux Ier et IIe siècles les techniques gréco-romaines aux traditions locales et aux influences de la Perse. Mentionnée pour la première fois dans les archives de Mari au IIe millénaire av. La découverte des ruines de la cité par des voyageurs aux XVIIe et XVIIIe siècles a influencé par la suite les styles d'architecture. Critère (i) : La splendeur des ruines de Palmyre qui se dressent dans le désert syrien au nord-est de Damas témoigne de la réalisation esthétique unique d'une oasis caravanière prospère, tour à tour indépendante et soumise à Rome du Ier au IIIe siècle. Intégrité(2009) Authenticité (2009) La grandeur et la splendeur des éléments essentiels est bien mise en valeur.

Pétra Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour l’article homophone, voir Petra. Pétra (de πέτρα petra, « rocher » en grec ancien ; البتراء Al-Butrāʾ en arabe), de son nom sémitique[1] Reqem ou Raqmu (« la Bariolée »)[2],[3], est une cité nabatéenne pré-islamique de l'actuelle Jordanie située dans le Wadi Rum. Les nombreux bâtiments, dont les façades monumentales sont directement taillées dans la roche, en font un ensemble monumental et unique qui, depuis le 6 décembre 1985, est inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO. Géographie[modifier | modifier le code] Carte de la région Pétra est située à mi-chemin entre le golfe d'Aqaba et la mer Morte à une altitude de 800 à 1 396 mètres au-dessus du niveau de la mer, dans un fond de vallée de la région montagneuse d'Édom, à l'est de la vallée de l'Arabah. L'activité commerciale engendrée par les caravanes et les taxes perçues produisaient d'importants profits pour les Nabatéens. Plan détaillé de la ville de Pétra, Jordanie.

sans titre Pétra, le site le plus magique du Proche-Orient (élu parmi les nouvelles merveilles du monde par des millions d’internautes) est une double merveille, naturelle et architecturale. Naturelle d’abord, avec ses défilés, comme le Siq, et ses falaises de grés aux dessins colorés. Pétra tire son nom du grec « pierre » ou « roche », mais son premier nom était « Reqmu » qui signifie multicolore. Architecturale ensuite, avec ses vestiges romains, mais surtout avec ses imposants tombeaux, creusés puis sculptés dans la roche des montagnes par les nabatéens. Ce lieu magique a inspiré la littérature, dont Hergé dans une des aventures de Tintin (Coke en Stock), et le cinéma (Spielberg et La dernière Croisade).

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