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Google Chrome tisse sa toile en Europe

Les Fab Labs, ou le néo-artisanat Fabriquer soi-même ce dont on a besoin, réparer, au lieu de consommer des objets que l'on jette au moindre dysfonctionnement : tel est le programme des FabLabs, nés au début des années 2000 au MIT grâce au physicien Neil Gershenfeld. Dans Tintin et le lac aux requins, le professeur Tournesol invente un engin révolutionnaire : le photocopieur en trois dimensions. On met un objet d’un côté, un peu de pâte de l’autre et en un tournemain l’original est reproduit à l’identique. Une telle machine existe depuis quelques années sur un principe pas très éloigné de ce qu’avait imaginé Hergé. On charge un modèle 3D dans la mémoire d’une imprimante qui, point par point, dépose des morceaux de colle, de plastique, de métal ou même de sucre selon les coordonnées spécifiées et recommence à l’étage suivant jusqu’à obtenir, par stratification, un objet en relief. Mais c’est un cours d’EMT deluxe, car il naît dans une grande université américaine, le Massachussetts Institute of Technology. illustir

Adrian Johns L'impression 3D, ce sera formidable... s'ils ne foutent pas tout en l'air ! L’impression 3D est en train de naître sous nos yeux. Demain il sera ainsi possible de reproduire toute sorte d’objets chez nous aussi facilement, ou presque, qu’un texte numérique se couche sur le papier à l’aide de notre bonne vieille imprimante 2D. Les conséquences potentielles de la démocratisation d’un tel outil donnent le vertige et suscitent espoir et enthousiasme parmi les makers du monde entier[1] Pour rappel, l’impression 3D est une technique qui permet de produire un objet réel à partir d’un fichier CAO en le découpant en tranches puis en déposant ou solidifiant de la matière (plastique, cire, métal…) couche par couche pour, en fin de compte, obtenir la pièce terminée. C’est l’empilement de ces couches qui crée un volume. Si le concept et la technologie vous semblent encore un peu obscurs, je vous invite à regarder cette courte vidéo. Pour le moment on se déplace donc chez ceux qui disposent d’une telle imprimante, imprimante encore rudimentaires dans ses possibilités.

Exporter la liste de ses followers Twitter sur Excel On peut avoir besoin d’établir une liste complète de tous ses followers sur Twitter. L’application pour Twitter Export.ly permet de réaliser des exports à exploiter sur Excel ou sur tout autre logiciel capable de traiter des données. Pour utiliser Export.ly il faudra le payer d’un tweet qui permet de faire la promotion de l’application. J’ai réalisé un test avec mon compte Twitter pour obtenir la liste de mes 2000 followers. Les informations sont correctement agencées et contiennent les champs suivants : Les Comptes RH à suivre absolument sur Twitter Flavien CHANTREL vient de publier hier sur son Blog "Le Blog du moderateur" une liste très exhaustive de comptes Twitter "Les Comptes Twitter à suivre absolument" et je suis très honoré d'en faire partie ! 180 Twittos sont ainsi mentionnés et répartis en 8 familles : "Travailleurs du Web", "Community Management", "Médias et Journalisme", "Veille", "Blogueurs", "Blogging/Référencement", "Emploi" et "Détente". Si je figure au sein de la famille "Emploi", au milieu de 28 Twittos, certains acteurs majeurs de l'Emploi et des Ressources Humaines n'y figurent pas et j'avais envie de vous les faire (re)découvrir !!! Voici donc 53 60 (53 + 5 "oublis" + 2 inclassables !) comptes Twitter que je vous invite à suivre d'urgence dans les RH ! Accédant à l'interface d'administration de mon Blog sur un PC qui n'est pas le mien, cela bugue du côté des liens associés aux comptes, j'ai donc décidé de vous les livrer de façon un peu brute. Conseil Emploi @F_m_R @BeginWith @PierreDenier @ConseilEmploi @Helia_fr

Hype : un outil de création HTML5 Hype [1.0 – US – 23,99 €] est une solution qui permet de faire des pages web animées en HTML5. Son éditeur, Tumult, insiste sur le fait que son application ne nécessite pas de connaissances particulières. Il s'agit d'un outil WYSIWYG offrant la possibilité de réaliser du contenu optimisé aussi bien pour un navigateur web traditionnel que pour un iPhone ou un iPad. L'application vous permet de créer des animations interactives assez complexes à l'aide d'une timeline. Tumult insiste sur le fait que son logiciel a été conçu avec "l'esprit Mac" et est particulièrement flexible. Nous avons développé, nous intégrons, vous utiliserez Read this post in: Anglais Quelle que soit la manière dont nous l’appelons, Entreprise 2.0, social business ou jenesaisquoi collaboratif, ce que nous pouvons actuellement observer est, aux dires des éditeurs, une évolution de plus en plus marquée vers une certaine maturité des principales plateformes. Au cours de son dernier symposium, le Gartner Group a tenu une session intitulée «Managing Social Software Maturity: Supporting Pioneers and Settlers» (gérer la maturité des applications sociales: aider les pionniers et les colons), et prédit un marché proche du milliard de dollars pour les plateformes collaboratives en 2011. Les défauts de la Méthodologie Projet Les méthodes de conception et d’intégration de la plupart des applications métiers actuelles sont toujours dérivées du modèle design-build-run. J’ai rencontré récemment le conseiller clientèle de ma banque afin d’ouvrir un nouveau compte d’épargne. Un fossé qui s’agrandit La leçon à tirer du bouton «J’aime» Un appel aux éditeurs

Le Tweenbot est parmi nous ! Connaissez-vous le Tweenbot ? Créé il y a plus de 2 ans, le Tweenbot n’est pas exactement à la pointe de l’intelligence artificielle ou de la biomécanique. Au contraire, ses deux principales qualités sont les suivantes : il est bête, et il a du mal à se déplacer ! Et pourtant, tout le concept du Tweenbot est là : laissé libre dans des lieux publics, le Tweenbot compte entièrement sur l’aide des humains pour arriver à destination. Aujourd’hui, le tweenbot est à deux doigts d’arriver chez vous grâce à Kickstarter, la plateforme de financement de projets créatifs. Source : IEEE Spectrum Tags: geek stuff, hacking, robot

Enquête sur les utilisateurs des Wikipédia. Qui sont les répondants ? Sur les 13627 réponses utilisables, 30,8% proviennent de femmes et 68,3% d’hommes (le reste n’a pas répondu à la question), alors que la répartition des internautes entre hommes et femmes est de 51%-49%, en France. La répartition des âges est la suivante (illustration 1) : Cette répartition est à mettre en regard de la répartition des internautes (en France, en 2010) : On voit que les wikipédiens qui nous ont répondu sont plus jeunes que la moyenne des internautes. Ils sont aussi beaucoup plus nombreux que les internautes à avoir une « profession » où la recherche d’information tient une place importante : lycéens et étudiants (on retrouve l’effet âge), mais aussi les cadres, avec une grosse sous-représentation des ouvriers et des employés. Sur cette population de répondants, la grande majorité sont de « simples » lecteurs. Où l’on constate que la « règle » des 80-20 (80% d’utilisateurs et 20% de contributeurs) semble à peut près respectée dans Wikipédia aussi...

Can We Ever Digitally Organize Our Friends? « Design « kev/null In Design , Technology on 15 July 2011. When Google+ launched last week, one of the most discussed features was Circles. In case you haven’t read a single blog, Tweet, or Google+ post in the last week (and yet, somehow stumbled into this dark corner of the internet), Circles is Google’s way of allowing you to group people. You can put anyone into a one or more Circles such as “Friends”, “Acquaintances”, “Co-workers”, “People I Eat Brunch With”, “Cyclists”, etc. And you have to put a person in at least one group. @ rodbegbie ‘s Circles Many discussions have ensued about how people are organizing their Circles. I’ve been thinking about grouping and organization of friends for a long time. Why We Need Groups I’ve noticed from reading a number of articles about Groups, Circles, Lists, etc. is the variety of use cases and needs. Privacy One reason for needing groups is because you’re only comfortable with certain people seeing what you’re talking about. Interest Context Local Context Event Context

Digital Oxytocin: How Trust Keeps Facebook, Twitter Humming The most surprising takeaway from the recent Pew Research Center study, "Social Networking Sites and Our Lives," wasn't that 80% of Americans regularly use the Internet or that 60% of web users have a social network account--double the number in 2008, with the vast majority on Facebook (52%) and Twitter (33%). Nor is it that people have gone gaga over smartphones, with one in three Americans owning one. Rather, it's the idea that the Internet, in particular social networks, engender trust, and the more time you spend on them the more trusting you become. As the report put it, "The typical Internet user is more than twice as likely as others to feel that people can be trusted," with regular Facebook users the most trusting of all. "A Facebook user who uses the site multiple times per day is 43% more likely than other Internet users and more than three times as likely as non-Internet users to feel that most people can be trusted." There's a good reason for this.

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