background preloader

Nous ne serons plus jamais déconnectés…

Nous ne serons plus jamais déconnectés…
Jenna Wortham (@jennydeluxe) pour le New York Times a commis un de ces papiers faciles sur les vertus de la déconnexion à l'heure d'un monde toujours plus connecté. Alors qu'elle se rendait à la piscine, elle a été invitée à déposer son téléphone et a pu profiter pleinement de sa journée, sans avoir à consulter avec anxiété ses comptes Facebook et Twitter pour regarder ce que ses amis faisaient. La peur de manquer quelque chose (Fomo, pour Fear of Missing Out) que décrivait Caterina Fake, cofondatrice de Flickr, s'évaporait quelques instants. Notre connexion permanente aux médias sociaux nous rend plus attentifs à ce que l'on rate et vous donne le faux sentiment de participer à ce que font les autres par leur intermédiaire, estime Caterina. Mais ce n'est pas une peur, c'est un plaisir, lui répondait l'entrepreneur Anil Dash en évoquant la joie de manquer quelque chose (Jomo pour Joy of Missing Out). Image : cc Staying Social par Leon Fishman. A quoi sommes-nous vraiment "accros" ? Related:  next world

Kit Kat offre un break sans Wifi Le Wifi est désormais disponible partout : dans les bars, restaurants, trains, aéroports, supermarchés…elle est même disponible sur le Mont Everest. Besoin d’un break ? A Amsterdam et Amstelveen, la marque a installé des No-Zone WiFi qui, dans un rayon de cinq mètres, bloquent les signaux afin que les gens puissent échapper aux e-mails, mises à jour et autres envahisseurs d'espace. Dans ces endroits privilégiés, ils peuvent s’adonner à la lecture, à la discussion et surtout à une pause Kit Kat bien méritée.Une initiative de JWT Amsterdam. Disruptions: Life's Too Short for So Much E-Mail Tony Cenicola/The New York TimesRoyal Pingdom, a Web site that monitors Internet usage, said that in 2010, 107 trillion e-mails were sent. Corporate employees sent and received 105 e-mails a day. Just thinking about my e-mail in-box makes me sad. This month alone, I received more than 6,000 e-mails. It’s not that I’m so popular. Last year, Royal Pingdom, which monitors Internet usage, said that in 2010, 107 trillion e-mails were sent. Sure, some of those e-mails are important. All of this has led me to believe that something is terribly wrong with e-mail. I’ve tried everything. Last year, I decided to try to reach In-box Zero, the Zen-like state of a consistently empty in-box. Meanwhile, all of this e-mail could be increasing our stress. A research report issued this year by the University of California, Irvine, found that people who did not look at e-mail regularly at work were less stressed and more productive than others. Ms.

Avec Internet et les écrans, mon cerveau a-t-il muté ? - L'actu Médias / Net Lecture en diagonale, perte de concentration... le Net et les technologies numériques bousculent nos façons de penser. Faut-il s'en inquiéter ? Pas forcément. On vous explique pourquoi. Sur le mur d'une galerie d'art de Toronto, ce slogan : « Mon cerveau d'avant Internet me manque » (1). « Mon cerveau d'avant Internet me manque » ? Les pupilles baladeuses Au Lutin (Laboratoire des usages en technologies de l'information numérique), à Paris, des chercheurs observent au plus près le lecteur du XXIe siècle en activité. Ainsi, sur écran, nous avons les pupilles baladeuses. Sur la Toile, le cheminement de la pensée n'est pas contrôlé par l'auteur, mais par le lecteur. Comme le résume l'essayiste américain Nicholas Carr dans un livre remarquable (meilleur que son titre : Internet rend-il bête ? Mon cerveau fait du jet-ski « En échange des richesses du Net, nous renonçons à notre bon vieux processus de pensée linéaire. » Nicholas Carr, essayiste J'apprends, donc je me reconfigure N'empêche.

Internet ça change la vie "Révolution numérique". C'est l'expression consacrée des verbiages politiciens, mais concrètement ça veut dire quoi ? Laurent Chemla raconte en une allégorie le chamboulement Internet. Un des problèmes majeurs qu’on rencontre, quand on essaie de comprendre l’impact d’Internet dans nos sociétés, c’est de prendre le recul nécessaire : il est si difficile d’imaginer notre vie sans lui qu’on n’arrive pas à voir ce qu’il change. Il nous manque la possibilité de comparer notre monde à un monde sans réseau informatique global pour appréhender vraiment tout ce qu’il a changé et tout ce qu’il changera. Il est plus facile – du coup – de tenter l’exercice de l’allégorie. Il était une fois Imaginons quelque chose de vraiment très improbable : les Mayas se sont plantés et la fin du monde n’est pas pour dans un mois. Au tout début, les fichiers sont rares. Une nouvelle économie Dix ans plus tard, le réplicateur est devenu un équipement standard présent chez tout-un-chacun. Un monde nouveau Déclencheur

Les 3 dernières études à découvrir [France] Mais qui sont les nouveaux déconnectés ?…. Les étuis smartphones : un marché à 133 millions d’euros…. [E-commerce] La livraison : toujours source d’insatisfactions pour les internautes…. Zoom sur trois nouvelles études. [France] Mais qui sont les nouveaux déconnectés ? Havas a-t-il voulu créer le buzz ? L’étude indique ainsi que 25% des foyers français n’ont pas accès à internet, un chiffre qui grimpe à 57% pour les foyers dont les revenus sont inférieurs à 1500 €. Ainsi, 65,2% des sondés déclarent avoir envie de se déconnecter des nouvelles technologies tandis que 59,7% le font effectivement par intermittence. Au niveau des réseaux sociaux, 62,9% des interrogés estiment qu’ils peuvent devenir une véritable drogue alors que 39,5% considèrent l’inaccessibilité à internet comme un véritable manque. Fort de ces résultats, Havas Media a identifié 4 catégories de populations déconnectées : Les Minitélites, qui représentent plus de 2M d’individus.

‘Mind uploading’ featured in academic journal special issue for first time (Credit: stock image) The Special Issue on Mind Uploading (Vol. 4, issue 1, June 2012) of the International Journal of Machine Consciousness, just released, “constitutes a significant milestone in the history of mind uploading research: the first-ever collection of scientific and philosophical papers on the theme of mind uploading,” as Ben Goertzel and Matthew Ikle’ note in the Introduction to this issue. “Mind uploading” is an informal term that refers to transferring the mental contents from a human brain into a different substrate, such as a digital, analog, or quantum computer. It’s also known as “whole brain emulation” and “substrate-independent minds.” Serious mind uploading researchers have emerged recently, taking this seemingly science-fictional notion seriously and pursuing it via experimental and theoretical research programs, Goertzel and Ilke’ note. For example, Neuroscientist Randal A. Introduction Ben Goertzel And Matthew Ikle’ Digital Immortality: Self Or 0010110?

Mettez le wifi en sourdine et vivez deconnectés Demain des spots et des restos "wifi-free" vous offriront des havres de déconnexion. Pour couper les fils avec votre vie virtuelle le temps d'une pause... Demain, dans le monde de l'ultra-connexion où votre t-shirt sera branché sur le web, où vos lunettes augmenteront la réalité et où votre sac à main parlera avec votre portable, les places dans les zones "No-Wifi-Zone" seront chères et prises d'assaut. On y discutera à l'ancienne autour d'un café au lieu de tweeter, on s'y racontera des potins non-connectés. Et les restos les plus "hype" afficheront fièrement le label "Wifi Cold Spot". De quoi se faire de nouveaux (vrais) potes. En attendant, pratiquez la déconnexion de manière progressive et douce.

Retransmission de la séance publique annuelle 2012 de l'ACADEMIE FRANCAISE Sous la Coupole avec les discours de Jean-Loup Dabadie, Hélène Carrère d’Encausse et Michel Serres En 2012, La séance publique annuelle de l’Académie française s’est tenue le jeudi 6 décembre 2012 sous la Coupole de l’Institut de France. Cette retransmission vous permet d’écouter dans l’ordre : le discours sur les Prix littéraires, par Jean-Loup Dabadie, le discours du Secrétaire perpétuel Hélène Carrère d’Encausse, et le traditionnel discours sur la vertu, prononcé cette année par Michel Serres. L’Académie française, dont la rentrée pour ses travaux sur le dictionnaire a lieu le dernier jeudi de septembre, tient traditionnellement sa séance publique annuelle le premier jeudi de décembre. 1. © Brigitte Eymann 2. Hélène Carrère d’Encausse © Didier Plowy 3. Michel Serres Pour lire les discours : Pour lire l’intégralité de ces discours, consulter le site de l’académie française, www.academie.francaise.fr rubrique Actualité.

I’m still here: back online after a year without the internet I was wrong. One year ago I left the internet. I thought it was making me unproductive. I thought it lacked meaning. I thought it was "corrupting my soul." It's a been a year now since I "surfed the web" or "checked my email" or "liked" anything with a figurative rather than literal thumbs up. And now I'm supposed to tell you how it solved all my problems. But instead it's 8PM and I just woke up. I didn't want to meet this Paul at the tail end of my yearlong journey. In early 2012 I was 26 years old and burnt out. I thought the internet might be an unnatural state for us humans, or at least for me. My plan was to quit my job, move home with my parents, read books, write books, and wallow in my spare time. My goal would be to discover what the internet had done to me over the years But for some reason, The Verge wanted to pay me to leave the internet. My goal, as a technology writer, would be to discover what the internet had done to me over the years. This was going to be amazing. Read next

Serres : "Ce n'est pas une crise, c'est un changement de monde" Michel Serres est une vigie plantée en haut du mât de notre époque. Du haut de son gréement, de ses 82 ans, de sa culture encyclopédique, de son temps partagé entre les cultures française et américaine qu'il enseigne, ce philosophe académicien nous décrit les changements qu'il observe sur l'équipage humanité que nous sommes. En curieux de tout qu'il est, il guette avec impatience et gourmandise les évolutions qui nous arrivent, comme un des matelots de Colomb aurait scruté l'horizon dans l'espoir de nouvelles terres. Son constat sur notre époque est simple : le monde, depuis cinquante ans, traverse une révolution comme l'humanité n'en a connu jusque-là que deux d'une telle ampleur. Avec un constat pareil, un autre que lui serait grognon et inquiet. La crise est-elle bientôt finie? Par exemple… Nous étions 50% d'agriculteurs à la fin de la guerre et ils ne sont plus que 1%. Pourquoi? «Il y a eu trois secousses dans les années 1960 qui ont précédé le tremblement de terre des années 1980.»

D’images et d’eau fraîche - Ode à Pinterest L’une des raisons pour lesquelles les mises à jour de Périphéries sont devenues si rares, c’est que j’ai été avalée par les réseaux sociaux. Maintenant, quand j’ai envie de recommander un livre, au lieu de me fatiguer à synthétiser le propos de l’auteur, à le décortiquer et à le commenter, à le mettre en relation avec des lectures passées, je balance deux lignes sur Facebook ou sur Twitter : « Lisez ça, c’est super. » Une grande avancée pour la finesse de la pensée et la richesse du vocabulaire. Dans son étude des usagers du téléphone portable, le sociologue Francis Jauréguiberry (1) analyse ce que change dans les relations humaines le fait d’avoir à disposition des moyens de communication instantanée, et de pouvoir atteindre n’importe qui, n’importe quand, par un appel ou un SMS — mais sa réflexion vaut aussi pour un statut Facebook ou un tweet. Denys Finch Hatton en safari Lettre d’Eugène Delacroix à son marchand de tableaux, 28 octobre 1827 Bref. Dans le « New Yorker » Bovarysme 2.0

Related: