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Triz_educ.pdf

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TRIZ : une méthodologie d'aide à l'invention TRIZ, acronyme russe de "Théorie de la Résolution des Problèmes Inventifs", est une méthodologie dédiée à l'analyse et à la résolution des problèmes techniques nécessitant des solutions innovantes, ainsi qu'une théorie sur l'évolution technologique des produits. TRIZ est issue de l'étude d'un très grand nombre de brevets dans de nombreux domaines, qui a permis de mettre en évidence un certain nombre de "motifs d'invention" caractéristiques, indépendamment du domaine d'application considéré. Ces motifs sont regroupés dans des catalogues, permettant aux concepteurs de rechercher des idées de solutions auxquelles ils n'auraient pas pensé naturellement. La recherche de solutions techniques est un aspect central des sciences de l'ingénieur. L'invention est difficile puisqu'elle demande, par définition, de produire des idées inédites et pertinentes. Cette question, un ingénieur militaire soviétique nommé Genrich Altshuller se l'est posée en 1946. 2.1. Exemple 2.2. ... et une démarche 3.1. 3.2.

Théorie de la résonance générale L’holographie est une invention récente mais bien avant qu’elle n’apparaisse, de nombreuses traditions ancestrales, religieuses et/ou philosophiques ont fleureté avec l’idée d’un jeu de miroir entre la partie et le Tout, en considérant l’Homme comme un microcosme, c’est-à-dire, un cosmos en minuscule, un reflet de l’Univers. N’est-il pas écrit dans la Genèse qu’il serait « à l’image et à la ressemblance » de Dieu ? Toute chose dans la nature, une feuille, une goutte d'eau, un cristal, une durée, est reliée au tout et participe de la perfection du tout. Chaque particule est un microcosme, et restitue fidèlement le portrait du monde. Ralph W. Emerson (tr. auct.) De fait, à partir des années 80, les physiciens ont œuvré à ce qu’ils ont appelé des « théories de tout [1] ». Quoi qu’il en soit, aucune de ces théories ne s’est sérieusement intéressée aux spécificités de la biologie ou de la psychologie. Jusqu’à présent, c’est l’inverse qui a prévalu. Figure 2. Figure 3. Conclusion

A Stupidity-Based Theory of Organizations jo, Alvesson and Spicer 2012

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