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Les services d’archives partagent un objectif commun: rendre toujours plus accessible à l’ensemble de la population l’exceptionnel patrimoine dont ils ont la garde. Dans le prolongement des efforts soutenus des dernières décennies pour diffuser les archives, la vingtaine de membres du Groupe d’archivistes de la région de Montréal (GARM) joignent leurs ressources et ont recours à la Toile. C’est la façon la plus démocratique et la plus efficace de donner accès à l’information. Nous sommes heureux de livrer ici, avec l’aimable autorisation des Éditions du Boréal, le texte condensé de la première édition de Brève histoire de Montréal de l’historien Paul-André Linteau, le tout enrichi par plus de 700 documents d’archives. Nous tenons à remercier le ministère du Patrimoine canadien, Bibliothèque et Archives Canada, ainsi que le Conseil canadien des archives, dont l’aide financière a permis la réalisation de ce projet. Denys Chouinard Président du GARM

Les conquêtes en Amérique Dès les premiers voyages des explorateurs européens en Amérique, les puissants royaumes de l'époque ont mis la main sur des terres nouvelles qui étaient pleines de richesses potentielles. Les Européens ont rapidement rencontré les différents peuples amérindiens qui peuplaient ces territoires. Ces rencontres ont parfois donné lieu à des alliances et d'autres fois à des conflits. Autant pour les Européens que pour les Amérindiens, ces nouvelles rencontres ne se sont pas produites sans conséquences. L'approche colonisatrice des pays variait selon l'époque et les avantages offerts par le nouveau territoire : Plusieurs groupes ont subi les conséquences négatives liées à la colonisation de l'Amérique, en particulier les Amérindiens et les esclaves africains. Les Amérindiens Une bonne partie des Amérindiens de toutes les régions de l'Amérique n'a pas survécu à l'arrivée massive des Européens. Les groupes survivants ont vu les colons imposer leur culture et leur mode de vie. L'esclavage

J'ai la mémoire qui tourne Les SAÉ ont été développées en lien avec le Programme de formation de l’école québécoise. Programmes disciplinaires. Les SAÉ sont principalement destinées aux programmes de: Univers social - Géographie, histoire et éducation à la citoyenneté; Français, langue d'enseignement; Science et technologie et Éducation physique et à la santé. Compétences disciplinaires. Dans chaque programme abordé par la SAÉ, des compétences disciplinaires sont identifiées en lien avec les activités à évaluer. Compétences transversales. Domaines généraux de formation. Programmes disciplinaires. Compétences transversales. Domaines généraux de formation.

Le site de l'Histoire. Voyages historiques et culturels La Nouvelle-France racontée : 104 histoires de Nouvelle-France a Jacques Cartier 1534-1542 | Musée virtuel de la Nouvelle France On ne sait pas comment Jacques Cartier a été initié à la navigation, mais Saint-Malo, la ville où il est né entre l’été et l’hiver 1491, était alors l’un des plus importants ports d’Europe. En 1524, il aurait accompagné Giovanni da Verrazzano et participé ainsi aux explorations officieuses engagées par le roi de France. Une dizaine d’années plus tard, Jacques Cartier est un navigateur assez expérimenté pour que François 1er lui demande d’entreprendre l’exploration officielle de l’Amérique du Nord. Il ne fait pas de doute que la route maritime qu’il emprunte, en 1534, lui était déjà familière. Itinéraires Vers les Terres Neuves Le 19 mars 1534, Cartier reçoit la mission de « faire le voyage de ce royaume es Terres Neuves pour descouvrir certaines yles et pays où l’on dit qu’il se doibt trouver grant quantité d’or et autres riches choses. » Le 20 avril suivant, le navigateur malouin appareille avec deux navires et 61 compagnons. Mensonge et prise de possession Du Saguenay jusqu’à Hochelaga

Images du Bas-Canada (1790-1816) par le peintre George Heriot « Silhouette de George Heriot, vers 1810 Georges Heriot est né à Haddington (Écosse) en 1759. Il a fait ses études à la Royal High School d’Edinbourg (1769-1774). En 1781, il publie A Descriptive Poem Written in the West Indies. Un peu plus tard, il aurait étudié à la Royal Military Academy de Woolwich. En 1783, il travaille au Ordnance Department de Woolwich. En 1792, il est à Québec, toujours à l’emploi du Ordnance Department. Il expose a la Royal Academy of Arts en 1797 certaines de ses oeuvres. George Heriot démissionne en janvier 1816 et retourne quelques mois plus tard en Angleterre. Il est décédé le 22 juillet 1839 à Chelsea, Angleterre. Oeuvres Plusieurs lieux sont représentés dans ses oeuvres: l’Irlande, le Québec, l’Ontario, le Nouveau-Brunswick, la Nouvelle-Écosse, la Grande-Bretagne, etc. Les oeuvres qui suivent proviennent du site du musée McCord. Montréal, 1810 Vue de la baie Saint-Paul depuis le fleuve Saint-Laurent. v. 1807 Canadiens des provinces d’en haut près de Montréal, 1815

Les camps de concentration, 1933-1939 Le terme camp de concentration désigne un camp dans lequel des gens sont détenus ou confinés, généralement dans des conditions très difficiles et sans respect des normes juridiques acceptées dans les démocraties constitutionnelles quant à l'arrestation et l'emprisonnement. Les camps de concentration (Konzentrationslager, KL ou KZ) furent un élément essentiel du régime nazi entre 1933 et 1945. Les premiers camps de concentration en Allemagne furent créés peu après la nomination de Hitler au poste de chancelier en janvier 1933. Dans les semaines après l'arrivée au pouvoir des Nazis, la SA (Sturmabteilung ou Sections d'assaut), la SS (Schutzstaffel, escadron de protection, garde d'élite du Parti nazi), la police et les autorités civiles locales mirent en place de nombreux camps de détention pour incarcérer les opposants politiques, réels ou supposés, à la politique nazie. L'unité de SS-Totenkopfverbände de chaque camp était divisée en deux groupes.

Musée virtuel de la Nouvelle France La Nouvelle-France : comment dresser un portrait fidèle d’un ensemble aussi vaste, sans craindre de laisser de côté des pans entiers de son histoire? C’est le défi que nous nous sommes lancé en renouvelant ce musée virtuel. Deux grands objectifs ont guidé notre démarche. D’abord, étendre la portée de l’exposition de façon à embrasser la Nouvelle-France dans sa totalité, de l’Acadie à la Louisiane, en passant par le Canada et les Pays d’en haut. Ensuite, présenter un large éventail des facettes de l’expérience coloniale française. Ces thèmes principaux se subdivisent en une variété de rubriques que le lecteur pourra tout à loisir explorer, comme l’alimentation, la santé, les divertissements, les conflits ou encore les sciences. Afin de fournir au lecteur une vue précise des spécificités de la Nouvelle-France et des facteurs qui ont influé sur sa destinée, nous n’avons pas hésité à déborder de ses frontières spatiales et temporelles. Cadran solaire et boussole de poche, vers 1750 <!

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