background preloader

Encyclopédie multimédia de la Shoah

Encyclopédie multimédia de la Shoah
Related:  Fascisme, nazisme, antisémitisme et Shoah

Mémorial de la SHOAH - Musée, centre de documentation juive contemporaine. La Shoah Mais la ruine de l'Europe, causée par la Première Guerre mondiale et renforcée par la crise économique mondiale de 1929, plongea dans la pauvreté un grand nombre de personnes. En 1933, l'Allemagne, comme l'Italie en 1925, porta au pouvoir des dirigeants fascistes qui proposaient des solutions radicales. Le parti nazi, abréviation de Parti national-socialiste, arriva au pouvoir. Les nazis gouvernèrent en prônant la haine et la xénophobie, et en favorisant un climat de peur. Leur postulat était que tous les individus n'étaient pas égaux, qu'il existait des groupes "supérieurs" et "inférieurs". Ils estimaient que certains individus, particulièrement les juifs, se situaient au bas de l'échelle humaine et étaient des êtres dangereux qu'il fallait éliminer physiquement : c'est la "solution finale", mise en place en 1942. Ces idées ont conduit au plus grand massacre systématique qu'ait connu l'humanité.

A l’école, on instrumentalise la Shoah sans réfléchir à ses origines | Journal d’un prof d’histoire Luc Chatel, alors ministre de l’Education, en visite au Mémorial de la Shoah, à Paris, avec des élèves en janvier 2010 (MARTIN BUREAU/AFP) Fixée au 27 janvier, la « journée de la mémoire des génocides et de la prévention des crimes contre l’humanité » – c’est son nom – s’est accompagnée, dans les établissements scolaires, des traditionnelles injonctions administratives, si souvent revenues qu’on n’y prête plus guère attention. Elle prend place néanmoins cette année dans un contexte très particulier, qui voit des polémiques inopportunes, sans guère de rapport avec la réalité historique, obscurcir considérablement la cause que l’on prétend défendre. Polémiques politiciennes mal venues Après beaucoup d’autres, et s’appuyant sur des sources aussi peu sérieuses, le ministre de l’Education nationale a cru nécessaire de joindre sa voix aux déplorations habituelles pour regretter « la connaissance totalement insuffisante par la jeunesse française de l’histoire » de la Shoah. La Shoah détournée

Mémorial de la Shoah Le 7 avril 1994 au matin, le génocide des Tutsi au Rwanda débutait à Kigali et allait faire en trois mois plus d'un millions de victimes. Cette date a depuis été désignée par l'ONU Journée internationale de réflexion sur le génocide de 1994 au Rwanda et permet chaque année de se souvenir pour être capable de continuer à agir. En 1994, alors que la France commémorait le 50ème anniversaire des sombres épisodes de la Seconde guerre mondiale, comme la rafle des enfants d'Izieu le 6 avril 1944, et que le "plus jamais ça" résonnait dans tous les esprits, un nouveau génocide débutait au Rwanda. Tout ce qui est mort comme fait, est vivant comme enseignement écrivait Victor Hugo. En savoir plus

Le choc des images, le poids des mots Non, ce ne sont pas des survivants d'Auschwitz mais des rescapés, après la seconde guerre mondiale, de l'hôpital psychiatrique de Clermont-de-l'Oise. « Nous vivions dans une ambiance de camp de la mort » Dr Requet, Psychiatre alors au Vinatier Cette photo figure dans le rapport de la direction de l’hôpital de Clermont-de-l’Oise, en 1945, où il est précisé que l’état squelettique des malades ici représentés n’est pas exceptionnel. À Clermont-de-l’Oise, de 1940 à 1944 inclus : 3 536 morts Soit en 1939 : 5,8 % de l’effectif de l’année Au Vinatier (Lyon), de 1940 à 1944 inclus : 3 227 morts Etc., etc. - Soit près de 70 % des malades mentaux alors internés. - Soit 1,81 morts par « extermination douce » pour 1 000 habitants (en Allemagne, en comparaison, il y eut 1,85 morts par « extermination dure » pour 1 000 habitants). - Si les nazis n’avaient pas exigés la livraison en Allemagne des juifs de France, - Mais que ceux-ci aient été internés dans des Pithiviers et des Beaune-la-Rolande, Aragon

Zola : "Pour les juifs" Cet article a été publié dans Le Figaro le 16 mai 1896, un an avant que ne commence véritablement l’affaire Dreyfus. En prenant parti publiquement pour les juifs, Zola voulait s’opposer aux campagnes antisémites de La Libre Parole, le quotidien dirigé par Édouard Drumont. Nous reproduisons ici ce texte, tel qu’il a été repris dans le recueil intitulé Nouvelle Campagne (Fasquelle, 1897). Pour les Juifs Depuis quelques années, je suis la campagne qu’on essaye de faire en France contre les Juifs, avec une surprise et un dégoût croissants. Cela m’a l’air d’une monstruosité, j’entends une chose en dehors de tout bon sens, de toute vérité et de toute justice, une chose sotte et aveugle qui nous ramènerait à des siècles en arrière, une chose enfin qui aboutirait à la pire des abominations, une persécution religieuse, ensanglantant toutes les patries. Et je veux le dire. D’abord, quel procès dresse-t-on contre les Juifs, que leur reproche-t-on ? Et tout cela est vrai. Eh quoi ! Ah !

The Nazis Next Door: Eric Lichtblau on How the CIA & FBI Secretly Sheltered Nazi War Criminals JUAN GONZÁLEZ: We end today’s show with investigative reporter Eric Lichtblau, author of a new book that unveils the secret history of how America became a safe haven for thousands of Nazi war criminals. Many of them were brought here after World War II by the CIA and got support from FBI Director J. Edgar Hoover. AMY GOODMAN: Now, after interviews with dozens of agents for the first time, he has published his new book. Welcome back, Eric, to Democracy Now! ERIC LICHTBLAU: Sure. JUAN GONZÁLEZ: And, Eric, talk about the CIA head, Allen Dulles, brother of John Foster Dulles, the secretary of state under Eisenhower, and his role in shaping this policy. ERIC LICHTBLAU: Right, right, yeah, Dulles was one of the intelligence titans of the 1950s, one of the original cold warriors. Now, the irony is that a lot of these guys, a lot of these ex-Nazis used as spies by the CIA, by the FBI, really turned out to be bad spies. ERIC LICHTBLAU: Right. ERIC LICHTBLAU: Right. ERIC LICHTBLAU: Yeah.

AUSCHWITZ • Quand le "Telegraph" révélait dès 1942 le massacre des Juifs par les nazis Le journal britannique The Daily Telegraph publie un article de son édition du 5 juin 1942, qui annonçait le massacre de Juifs en Pologne, trois ans avant la fin de la Seconde Guerre mondiale. Courrier international 28 janvier 2015 | Partager : Alors que le monde commémore les soixante-dix ans de la libération du camp d'Auschwitz le 27 janvier, le quotidien britannique The Daily Telegraph publie un article qui annonçait dès 1942 l'existence des chambres à gaz et le massacre perpétré contre les Juifs par les nazis. Sous le titre "Les Allemands tuent 700 000 Juifs en Pologne : voyage dans les chambres à gaz", l'article parlait trois ans avant la fin de la Seconde Guerre mondiale du "plus grand massacre de l'Histoire". "Les hommes âgés de 14 à 80 ans sont conduits dans un même endroit, souvent un square ou un cimetière, et sont tués avec un couteau, une arme à feu ou des grenades. Ils ont dû creuser leur propre tombe en amont", pouvait-on lire à l'époque.

Royals told: open archives on family ties to Nazi regime | UK news Buckingham Palace has been urged to disclose documents that would finally reveal the truth about the relationship between the royal family and the Nazi regime of the 1930s. The Sun’s decision to publish footage of the Queen at six or seven years old performing a Nazi salute, held in the royal archives and hitherto unavailable for public viewing, has triggered concerns that the palace has for years sought to suppress the release of damaging material confirming the links between leading royals and the Third Reich. Unlike the National Archives, the royal archives, which are known to contain large volumes of correspondence between members of the royal family and Nazi politicians and aristocrats, are not compelled to release material on a regular basis. “The royal family can’t suppress their own history for ever,” said Karina Urbach of the Institute of Historical Research at the University of London. Many expressed incredulity that the paper had published the actions of a child.

Pour le rôle de la SNCF dans la Shoah, Paris va verser 100 000 euros à chaque déporté américain Paris va verser 60 millions de dollars (environ 49 millions d'euros) aux victimes étrangères transportées par les trains de la SNCF vers les camps de la mort durant la seconde guerre mondiale, selon les termes d'un accord passé avec Washington dont les négociateurs ont dévoilé vendredi 5 décembre la teneur. Les « quelques milliers » de déportés survivants américains devraient ainsi recevoir environ 100 000 dollars chacun, selon l'ambassadrice française aux droits de l'homme, Patrizianna Sparacino-Thiellay. L'accord, qui devrait formellement être signé lundi, porte en effet sur la création d'un fonds d'indemnisation doté par la France, dont le montant sera versé aux autorités américaines en faveur de « quelques milliers » de déportés non français et de leur famille, a précisé la diplomate. « La SNCF n'a jamais été tenue pour responsable de la déportation. Le rôle de la SNCF dans le génocide juif fait l'objet de débats depuis des années aux Etats-Unis.

Toni Morrison on Primo Levi’s defiant humanism The Complete Works of Primo Levi is far more than a welcome opportunity to re-evaluate and re-examine historical and contemporary plagues of systematic necrology; it becomes a brilliant deconstruction of malign forces. The triumph of human identity and worth over the pathology of human destruction glows virtually everywhere in Levi’s writing. For a number of reasons, his works are singular amid the wealth of Holocaust literature. First is his language – infused as it is with references to and intimate knowledge of ancient and modern sources of philosophy, poetry and the figurative uses of scientific knowledge. Everywhere in the language of this collection is the deliberate and sustained glorification of the human. For this articulate survivor, individual identity is supreme; efforts to drown identity are futile. His disdain for necrology is legend. Melancholy and sorrow reside more in his poetry than in his prose. In the first, memory and sorrow are fixed and eternal.

Related: