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L'encyclopédie intéractive des insultes et jurons

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Quand la DGSE casse la crypto grand public "Nos cibles principales aujourd’hui n’utilisent plus le chiffrement gouvernemental ou militaire mais plutôt de la cryptographie grand public, car nous travaillons à 90% sur l’anti-terrorisme". C’est Bernard Barbier, le Directeur Technique de la DGSE, qui le dit. Il était l’invité de l’ARCSI à l’occasion de l’excellent colloque de l’association de réservistes. Comment les grandes oreilles de la DGSE abordent-elles alors Internet et son chiffrement grand public facile, souvent gratuit et surtout très efficace ? Pas bille en tête en tout cas. Car la DGSE a beau être dotée d’une conséquente puissance de calcul à faire pâlir le CEA ("nous nous chauffons grâce à notre super-calculateur", s’amuse Bernard Barbier), ce n’est pas toujours suffisant. La partie est terminée, alors ? On pourrait facilement imaginer la DGSE tel un collecteur de mots de passe particulièrement vorace, essayant frénétiquement des millions de hashes à longueur de journée grâce a un super-calcultateur sous amphétamines.

Avec quels mots dit-on le sexe? "Se taquiner le hanneton", "Branler en chocolatière", "Faire éternuer son cyclope", "Avoir ses coquelicots"... Agnès Pierron a recensé plus de 5 000 expressions toutes aussi inspirées dans son vaste Dictionnaire des mots du sexe. Un pavé réjouissant de 900 pages, qui explore, autour de thématiques - arts et spectacles, fruits et légumes, religion, jeux et sports, etc. - tout ce que la littérature, mais aussi le parler populaire ont pu inventer pour évoquer la gaudriole et ses à-côtés. "Une époque pauvre en création linguistique" A l'heure des ébats virtuels et des déclarations par textos, l'audace est-elle encore de mise ? A croire que parler de sexe n'est pas dans l'air du temps. L'époque serait-elle à la pudeur ? "Moi, je décharge plusieurs fois par jour" Exception notable, souligne-t-il, la publicité d'une vulgarité rare imaginée par le loueur de voitures Sixt, diffusée sur Internet.

Faites nous part de vos meilleures lectures presse « Abonnement magazine au meilleur prix avec le partenaire du site Le Meilleur de la Presse | Accueil | Olivier Marone - Responsable du site "Le meilleur de la presse" » Faites nous part de vos meilleures lectures presse Vous aussi vous pouvez nous faire part de vos meilleures lectures presse. Pour cela, vous me faites parvenir vos "meilleures" lectures - avec le titre du journal/magazine, le numéro, le texte ainsi que le numéro de page où se trouve la citation - à l'adresse e-mail suivante : Faites de même si vous voulez mettez en avant votre titre de presse favori. Vous pouvez suivre cette conversation en vous abonnant au flux des commentaires de cette note. Ceci est un essai. Votre commentaire n'a pas été déposé. Votre commentaire a été enregistré. Le code de confirmation que vous avez saisi ne correspond pas. Pour poster votre commentaire l'étape finale consiste à saisir exactement les lettres et chiffres que vous voyez sur l'image ci-dessous.

Savez-vous parler pute En javanais (la langue des prostituées), cavu veut dire «cul». Caveur veut dire «coeur». Explorant cet argot, parmi bien d’autres «langues obscures», le chercheur Daniel Heller-Roazen montre le lien qui unit les jargons criminels aux idiomes sacrés. Tout le monde connait le mot «gravos» (grosse). «J’avoue / J’en ai / Bavé / Pas vous» En 1881, Lucien Rigaud (dans son Dictionnaire du jargon parisien) écrit : «Il y eut un moment une telle fureur de javanais qu’on vit apparaître un journal entièrement écrit dans ce langage stupide.» 1. 2. 3. Dire un secret à voix haute ? Dans Fric-Frac, Marcel (Fernandel) épate son collègue de la bijouterie en lui disant que «Bonjour, le beau Marcel» se dit en javanais «Bavonjavour, laveu baveau Mavarçavel». Langue de voyous, d’agents doubles ou d’initiés… «Il apparaît que les humains ne se contentent pas de parler, et de parler des langues. Les anti-langues, ancêtres du jargon ? Quatre mots différents pour dire «cheval» : un mot de dieu, un mot de guerrier…

Le Focus - La sélection quotidienne de liens d'actualité d'Eric DUPIN Travel - Why the French don’t show excitement When I was 19 years old, after five years of back-and-forth trips that grew longer each time, I finally relocated officially from the United States to France. Already armed with a fairly good grasp of the language, I was convinced that I would soon assimilate into French culture. Of course, I was wrong. There’s nothing like cultural nuance to remind you who you are at your core: my Americanness became all the more perceptible the longer I remained in France, and perhaps no more so than the day a French teacher told me his theory on the key distinction between those from my native and adopted lands. “You Americans,” he said, “live in the faire [to do]. You may also be interested in:• Why Finnish people don’t like to chat• The odd philosophy Icelanders live by• Why people think Germans aren’t funny The moment he said it, it made perfect sense. During two-hour lunch breaks, they sat at sidewalk cafes and watched the world pass them by. My French husband agrees.

Les Atlas sémantiques, dictionnaire de synonymes et traduction 65 règles Avec les rectifications de 1990 Le NOM R. 1 LES NOMS FÉMININS en -EUR se terminent par : E, U, R, : une fleur. Sauf : heure, demeure, gageüre. Les noms masculins se terminent en -EUR sauf : beurre, leurre, babeurre et un heurt.R. 2 Les NOMS FÉMININS en I et en U s’écrivent avec un E : La mie, une avenue. R. 3 LES NOMS FÉMININS en -TÉ ou -TIÉ s’écrivent sans E : la beauté, la volonté. R. 4 Les NOMS en -ITION s’écrivent avec un T : une addition, Sauf : scission et les noms en : « mission » Les NOMS en -ATION s’écrivent avec un T : la nation Sauf « passion » et « compassion ». Après E, on écrit : ssion, « session » ; après C et P : tion, « adoption » ; après L : sion, « émulsion », « expulsion »Les noms en [zõ] s’écrivent : s, o, n, sauf gazon, horizon. R. 5 LE NOM. R. 6 LE NOM. R. 7 LES NOMS en -AU, -EAU, -EU, ont leur pluriel en X : un tonneau, des tonneaux. R. 12 Les ADJECTIFS MASCULINS en -ILE s’écrivent : I, L, E : utile Sauf : civil, puéril, subtil, vil, volatil, viril et tranquille

Le "poissard", langue des marchés Parlez-vous "poissard" ? Le langage des marchés et autres injures potagères, charcutières et bouchères Les injures, insultes, jurons et autres gros mots, dont Catherine Guennec a publié en 2013 un amusant dictionnaire, sont les révélateurs d'une "réalité pulpeuse des rapports humains" comme le dit joliment Philippe Delerm dans la préface. Rien de plus normal, car ce parler poissard est "le langage vif et familier de la halle, des marchés. D'extraction ménagère (être traité de torchon, de cruche, de moule à gaufre ou de presse-purée n'est a priori pas un compliment), l'injure peut aussi s'avérer potagère. Quand elle ne se réfère pas au monde végétal, l'insulte trouve son origine dans les traditions bouchères ou charcutières. Si le "vieux cochon" (quand il n'est pas un "double cochon borgne") n'est pas très fréquentable, il est évident qu'on ne va pas faire son meilleur ami du "mou de veau mal lavé" ou de la "figure de ris de veau".

Le louchébem, argot des bouchers Le louchébem ou loucherbem désigne l’argot des bouchers parisiens et lyonnais de la première moitié du 19ème siècle. Son processus de création lexicale se rapproche du javanais. On modifie des mots existants en suivant la règle suivante : la consonne ou le groupe de consonnes au début du mot est reportée à la fin du mot et remplacée par un « l », puis on ajoute un suffixe argotique au choix, par exemple « em/ème », « ji », « oc », « ic », « uche », « ès ». C’est ainsi que boucher devient louchébem : le « b » est remplacé par « l », déplacé à la fin du mot auquel on ajoute « em » = loucherbem ou louchébem. Il existe même un traducteur français-louchébem en ligne

10 Emotions That Can Only Be Explained in French Franz Lang / © Culture Trip Add travel ideas to a Plan and see them on a map Got it! French is a romantic language that seduces the heart like none other, so there’s no surprise it’s enriched with a wealth of words describing emotions that are tricky to articulate. Dépaysement A change of scenery can often be disorientating when you‘re no longer in your home country. Râler The French have worked up a bad reputation for their disgruntled habits over the years, especially Parisians, who have recently been labelled the biggest moaners in France. L’esprit d’escalier The phrase l’esprit d’escalier explains that irritating moment when you come up with the perfect witty comment or comeback, but the time has passed and it’s too late. L’appel du vide Ever wonder what it would feel like to jump from a tall height? La douleur exquise Since French is often thought of as the world’s most romantic language (although perhaps the Italians would argue for that title!) Related Culture Trip Stories Empêchement

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