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Le Web à la puissance 2 : le Web 2.0 cinq ans plus tard

Le Web à la puissance 2 : le Web 2.0 cinq ans plus tard
On ne présente plus vraiment Tim O’Reilly et John Battelle. Tim O’Reilly, des éditions O’Reilly, est devenu l’un des gourous incontournables du web. Initiateur – et promoteur – de la notion de Web 2.0 (voir notre traduction), il demeure l’un des plus fins observateurs du changement technologique. Il y a cinq ans, nous lancions une conférence sur une idée simple, qui est devenue un mouvement. Dans notre programme initial, nous nous demandions pourquoi certaines entreprises avaient survécu à cette bulle, tandis que d’autres avaient échoué si lamentablement. De Google et Amazon à Wikipedia, eBay et Craiglist, nous constations que le logiciel jouait un rôle facilitateur, mais que la valeur était créée par et pour la communauté des utilisateurs. Les applications de l’intelligence collective reposent sur la gestion, la compréhension et l’exploitation de quantités massives de données générées par les utilisateurs en temps réel. Il est tout cela, et plus encore. En conclusion : ce qui compte

danah boyd : Ce qu’implique de vivre dans un monde de flux « Int A la Web 2.0 Expo qui se tenait mi-novembre à New York, la sociologue danah boyd a, comme à son habitude, fait une brillante présentation sur les conséquences qu’il y a à vivre dans un monde de flux, notamment en commençant à en dresser la liste des limites. Explorons dans ses pas – partiellement, mais fidèlement -, son « Streams of Content, Limited Attention : The Flow of Information through Social Media » (Flux de contenus, attention limitée : le flot d’information dans les médias sociaux). Image : danah boyd sur scène à la Web 2.0 Expo à New York en novembre 2009, photographiée par James Duncan Davidson. Vivre dans des flux Nous vivons dans des flux, comme l’expliquait Nova Spivack, c’est-à-dire dans un monde où l’information est partout. « Cette métaphore est puissante », rappelle danah boyd. « L’idée suggère que vous viviez dans le courant : y ajoutant des choses, les consommant, les réorientant. » 4 fausses idées sur la révolution numérique 1. 2. 3. 4. Inattention ? Hubert Guillaud

CaddE-Réputation Vers une vie privée en réseau « Quand je signais mes mails avec mon identifiant et mon mot de passe, ce n’était pas seulement de la provocation : ma sécurité est basée sur le fait que je sauvegarde mes données, pas sur un secret qui risquerait – si je le croyais protégé – de m’être préjudiciable. » — Laurent Chemla Pionnier de l’internet et auteur des « Confessions d’un voleur« , livre incontournable (et téléchargeable gratuitement) pour qui veut comprendre les valeurs (et l’histoire) de l’internet tel qu’il s’est développé dans les années 90, Laurent Chemla a une conception somme toute particulière de la vie privée. Les professionnels de la sécurité savent également qu’il se trouvera toujours quelqu’un de plus compétent qu’eux, disposant de plus de moyens ou de temps, et qu’aucun système n’est sécurisable à 100 %. On sait, d’autre part, que la sécurité des logiciels libres -dont le code source est librement consultable- est a priori plus fiable que celle des logiciels propriétaires, dont le code est un « secret« . .

Que faire pour les marques sans charisme numérique Toutes les organisations ne sont pas productrices de soda aux couleurs du père noël… Toutes les marques n’ont pas une « identité » forte, un charisme numérique suffisant pour inciter de manière naturelle l’interaction sur le web chez leurs consommateurs. Et pourtant, ces marques (qui sont la très grande majorité) se lancent elles aussi sur le web, notamment dans la gestion de leur e-réputation, avec pour principal modèle certains géants industriels (américains of course), très (trop) souvent pris en exemple par les experts du « social media »… Pour contextualiser ces propos voici l’histoire (fictive mais presque) de Marc, community manager (il préfère le terme plus approprié de « couteau suisse digital ») pour une entreprise conceptrice d’engins pour BTP (bétonneuses et autres grues). La marque de Marc ne se démarque pas… Marc est, à la base, webmaster. De manière judicieuse, il décide tout d’abord de créer une présence sur le web 2.0. Cela aurait pu être le titre de cet article…

Comment l’internet transforme-t-il la façon dont on pense ? (1/5 Par Hubert Guillaud le 09/02/10 | 12 commentaires | 18,511 lectures | Impression “Comment l’internet transforme-t-il la façon dont vous pensez ?”, telle était la grande question annuelle posée par la revue The Edge à quelque 170 experts, scientifiques, artistes et penseurs. Difficile d’en faire une synthèse, tant les contributions sont multiples et variées et souvent passionnantes. Que les répondants soient fans ou critiques de la révolution des technologies de l’information, en tout cas, il est clair qu’internet ne laisse personne indifférent. “Une nouvelle invention a émergé, un code pour la conscience collective qui nécessite une nouvelle façon de penser”, explique John Brockman, l’éditeur de The Edge. L’internet change la façon dont nous décidons Pour le physicien Daniel Hillis, le réel impact de l’internet a été de changer la façon dont nous prenons des décisions. Pour Marissa Mayer de Google, “l’internet n’a pas changé ce que l’on sait, mais ce que l’on peut trouver”.

quels indicateurs de mesure Lundi dernier j’ai eu l’occasion de donner une conférence au Reputation Day sur une thématique inhérente à la gestion de la réputation en ligne : les indicateurs et les formes de mesures. Plutôt que de faire un simple inventaire, j’ai axé ma présentation sur les biais et limites des indicateurs existants. Et sur la nécessité de définir des objectifs et in fine des indicateurs en adéquation avec son organisation… Voici donc ma présentation, suivie de quelques remarques et commentaires sur ces slides (qui, rappelons-le, ne se suffisent pas à eux-mêmes). Indicateurs et mesures de la réputation : apports et limites Voici quelques commentaires sur cette présentation en fonction des slides qui méritent un éclaircissement, ainsi que les articles de ce blog auxquels elles se référent (cette présentation étant un agrégat de pas mal de réflexions menées ici). ==> Slide 2 La réputation est une perception qu’il est difficile (impossible ?) ==> Slide 3 ==> Slide 6 ==> Slide 7 ==> Slide 8 ==> Slide 9

Angleterre : un rapport officiel montre (presque) la voie du Cop L’Angleterre défraye la chronique numérique en ce moment avec ses projets de passage à la riposte graduée Hadopi-like pour lutter contre le téléchargement illégal. Mais il ne faudrait pas verser trop vite dans le syndrome de la perfide Albion, car il émane en ce moment d’Angleterre des propositions vraiment novatrices en matière d’adaptation du droit d’auteur [...] L’Angleterre défraye la chronique numérique en ce moment avec ses projets de passage à la riposte graduée Hadopi-like pour lutter contre le téléchargement illégal. Mais il ne faudrait pas verser trop vite dans le syndrome de la perfide Albion, car il émane en ce moment d’Angleterre des propositions vraiment novatrices en matière d’adaptation du droit d’auteur à l’environnement numérique. Le pays qui a inventé le copyright (ne l’oublions pas) ne serait-il pas sur le point de poser les bases pour le réinventer ? Jugez-en plutôt par l’entrée en matière (traduction par mes soins) : Let’s try !

Pourquoi les entreprises doivent se doter d'un HR Community Manager? De nombreuses notes existent sur le Community Management. Je n'y reviendrai donc pas aujourd'hui, d'autant plus que les notes existantes sont très bonnes. Par contre, quand on associe le Community Management avec la RH, là ça peut devenir étrange, enfin pour certains. Pour moi, c'est mon quotidien. Cette note a pour objectif de vous expliquer en quoi l'association entre le Community Management et la RH est essentiel à mes yeux pour une entreprise. 1. Dans de nombreuses entreprises, les équipes Ressources Humaines sont vues comme coûteuses, administratives, lentes...Et pourtant (même si ça fait phrase toute faite), l'entreprise est bien composée d'hommes et de femmes, qui ont des compétences, un potentiel, un ou des talents...mais aussi une envie d'être fier de son entreprise, une vie privée...Et sans la prise en compte de tout cela, l'entreprise pourrait très vite s'essouffler et perdre des parts de marché. Ok, mais où est le comunity management là-dedans? 2. Le salaire, bien entendu. 3.

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