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CAE091_creativite_territoires.pdf (Objet application/pdf)

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L’université du futur existe, nous l’avons visitée, à Aalto, en Finlande C’est un après-midi d’automne plutôt vif en Finlande, et les cadres de dix-neuf entreprises viennent tout juste d’arriver sur le campus boisé de l’université d’Aalto, près d’Helsinki. Ils ne retournent pas sur les bancs de l’université pour un séminaire, ou la validation d’un MBA. Ils sont à la recherche de jeunes innovateurs. Et, pour se faire, s’apprêtent à soumettre à des étudiants un problème bien réel auquel leur entreprise est confrontée. En face, les attentes sont élevées, également : « Ce que nous attendons d’eux, c’est qu’ils nous soumettent des défis sur le mode « mission impossible ». Cet atelier, c’est l’expérimentation grandeur nature d’une innovation radicale en matière d’enseignement supérieur. Les objectifs fixés sont ambitieux : à l’horizon 2020, Aalto est priée de se hisser sur les toutes premières marches des classements internationaux : Retour à l’atelier de Kalevi Ekman. Une chose est sûre : les entreprises a-do-re-nt l’esprit Aalto. Un bénéfice pour l’UE ?

Place Publique - Média citoyen, relais d’engagements associatifs et outil de démocratie participative Par Muriel Jaouën, le 7/07/2010 Le Groupement national de la coopération publie l’édition 2010 du “Top 100 des entreprises coopératives”. Petit état des lieux d’un pan structurant du tissu économique et social français. Près de 3% de l’emploi salarié. Selon la définition de l’Alliance Coopérative Internationale (ACI), une coopérative est “une association autonome de personnes volontairement réunies pour satisfaire leurs aspirations et besoins économiques, sociaux et culturels communs au moyen d’une entreprise dont la propriété est collective et où le pouvoir est exercé démocratiquement”. Avec un chiffre d’affaires cumulé de 181 milliards d’euros, équivalent à 9,3% du PIB national, les 100 premières entreprises coopératives représentent 70% du business de la filière coopérative en France. Les 100 premières coopératives françaises emploient 674 000 personnes. Très implantées dans le tissu local, les coopératives figurent dans de nombreuses régions parmi les principaux employeurs privés.

Pour libérer les sciences, (1) par Christophe Masutti Une présentation reprise du site Framablog, un site sous licence Creatave Commons Christophe Masutti est membre de Framasoft, en charge notamment du projet Framabook, notre collection de livres libres autour du Libre. « Livres libres », cela signifie que les ouvrages sont sous licences libres, ce qui a pour effet de maximaliser leur diffusion. Il est également universitaire et à ce titre acteur et auteur de publications scientifiques. Son expérience, sa pratique et sa rigueur professionnelles nourissent le projet Framabook. Mais pourquoi, dans l’autre sens, la publication scientifique ne tirerait pas aussi profit du « modèle Framabook » ? Parce qu’il faut bien le reconnaître, la situation actuelle en est fort éloignée, jusqu’à évoquer, là encore, un « gigantesque Minitel 2.0 ». Pour libérer les sciences Le document PDF dans son intégralité Christophe Masutti - 15 décembre 2010 - version 1.0 - Licence Creative Commons By SA (version 2.0 France). Préambule Sommaire 1 Introduction 2

Extraits de "L’innovation sociale - Principes et fondements d’un concept" L’innovation sociale est couramment définie comme toute nouveauté qui répond à un besoin individuel ou collectif et qui recrée les liens sociaux indispensables pour vivre en société : santé, éducation, environnement, partage, etc. Si l’innovation sociale interpelle, il n’en demeure pas moins que sa signification, les pratiques qu’elle recouvre et ses enjeux pour les acteurs ne sont pas toujours clairement perçus. L’objectif de cet ouvrage est de clarifier l’émergence, les différentes approches et les éléments de caractérisation en vue de proposer une définition ainsi qu’une méthodologie d’évaluation de l’innovation sociale en pratiques solidaires. Emmanuelle BESANÇON est doctorante en économie au Centre de recherche sur l’industrie, les institutions et les systèmes économiques d’Amiens (CRIISEA) et chargée de mission à l’Institut Jean-Baptiste GODIN. Nicolas CHOCHOY est docteur en économie au CRIISEA et directeur de l’Institut Jean-Baptiste GODIN. Chapitre I. Chapitre II. Chapitre III.

Comment les technologies du passé peuvent-elles éclairer notre avenir La haute technologie est-elle une voie sans issue pour résoudre les problèmes auxquels notre société est confrontée ? Comment peut-on utiliser les technologies du passé pour résoudre les problèmes de demain ? C’est la question qu’a relevé Kris de Decker de Low Tech Magazine et No Tech Magazine. Le plus souvent, pour concevoir une société durable, on ignore les technologies anciennes. On s’en moque. Kris de Decker évoque alors une technologie de construction qui date de plus de 700 ans permettant de bâtir des voûtes avec des tuiles et d’économiser beaucoup d’énergie dans la construction. Image : Kris de Decker sur la scène de Lift, photographié par Swannyyy. Pour Kris de Decker, notre approche actuelle de la technologie est vouée à l’échec parce qu’elle dépend énormément des carburants fossiles. L’efficience énergétique, en fait, ne nous fait pas économiser d’énergie (voir L’efficience énergétique est un leurre). Le problème de ces formes d’énergie repose sur le stockage.

Lexique du développement durable L’innovation frugale XEnvoyer cet article par e-mail L'innovation frugale XEnvoyer cet article par e-mailL'innovation frugale Stratégie La nouvelle stratégie industrielle qui nous vient des pays émergents “L'art naît dans la contrainte et meurt de liberté”, répétait Michel-Ange. Ces campagnes indiennes reculées semblaient vouées à rester figées pour l'éternité ; et pourtant… grâce aux capteurs installés localement par Tata Consultancy Services qui collectent des informations sur le sol et les conditions météorologiques, un paysan, pourra appeler une hotline depuis son mobile afin de recevoir des conseils quant au meilleur produit à utiliser. “More with less for more” Comme souvent, la nouveauté vient de la tradition. Les quatre piliers de l'innovation frugale Au programme des créatifs : sous-traitance absolue, nouveaux business models, réutilisation de technologies existantes, et surtout recherche d'économies d'échelle dans des secteurs qui n'y étaient pas habitués. (*) cf. Par Julien Tarby

Thèses Francis Pisani : « Il faut remettre en question le concept d’innovation » “Il n’y aura pas de web 3.0 après le web 2.0″, expliquent Dominique Piotet et Francis Pisani, dans la seconde édition de leur ouvrage, “Comment le Web change le monde ?”. Analyste dans la Silicon Valley et journaliste indépendant longtemps basé en Californie, les deux co-auteurs préfèrent le terme de “Web Métis”, une imbrication de technologies et de nouveaux usages. À l’occasion de la conférence “Du web 2.0 au web métis”, ce vendredi 9 septembre à La Cantine, Francis Pisani nous ouvre une fenêtre sur le web de demain. Pourquoi parlez-vous de « Web Métis » ? Je vais répondre de façon alambiquée. Pour définir le « Web Métis », vous évoquez un futur des technologies de l’information marqué par l’hyperconnectivité, la mobilité, l’importance des réseaux sociaux… Les réseaux sociaux sont un bon exemple de ce « Web Métis ». On assiste aujourd’hui à une vraie prise de conscience du poids des nouvelles technologies de l’information et de la communication.

Social Innovation Labs: Designing whole system change Note: This blog originally appeared on the MaRS site on February 27, 2013 A colourful mix of designers, policy-makers, consultants, non-profit professionals, lab practitioners and the lab curious crowded into the MaRS auditorium last Thursday night to hear Frances Westley’s latest insights on the emerging field of labs and the potential of labs to generate and scale social innovation. With decades of experience researching and writing about complexity and systems science (including co-authoring the bestselling book Getting to Maybe: How the World is Changed) it is no wonder that Frances sold out the auditorium (which has a capacity of nearly 400 people), with 100 people wait-listed two weeks prior to the highly anticipated event. Here is why we need social innovation labs and why this process is exciting. The magnitude of change is daunting The need has never been greater for systemic change. The love child: The best of both lab worlds

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