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Les fiches thématiques pour l'analyse du cinéma

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Genres de film : comment les identifier Comédie Au-delà du fait que le genre cinématographique de la comédie soit destiné à faire rire, il faut d'abord retenir que ce dernier utilise le ressort de l'humour pour souligner les vices et défauts d'une société ou d'une époque. Souvent issus de la classe moyenne, les personnages principaux doivent nécessairement sembler médiocres pour ensuite révéler petit à petit leurs aptitudes. On trouve plusieurs variétés de comédies, parmi lesquelles la comédie romantique (cf. Quand Harry rencontre Sally), la comédie dramatique (cf. Hasta La Vista) et la comédie musicale (cf. Parmi les comédies les plus marquantes de l'histoire du cinéma, on retient notamment la saga des Monty Python, Les Tontons Flingueurs ou encore The Party. Pour en savoir plus : Cinéma, notre sélection des meilleures comédies Comédies musicales au cinéma : notre sélection des meilleurs films musicaux Film romantique Pour en savoir davantage : Films romantiques, notre sélection des 10 meilleurs Film d'animation Thriller N.B. N.B.

La vie dans les camps III. La vie dans les camps 1. a. le quotidien Les détenus étaient entassés à plusieurs par châlits. Dortoirs avec des châlits de Buchenwald Dans un baraquement L'heure du maigre repas b. l'appel Témoignage d'un déporté: "Dès le petit matin, les bagnards vont vers la place d'appel en marchant sur le son d'une musique militaire jouée par la grosse caisse de l'orchestre du camp. c. Les nazis employaient cette main d'oeuvre gratuite pour effectuer des travaux particulièrement pénibles: terrassement, constructions de voies ferrées, de routes, creusement de canaux...Les femmes étaient astreintes aux même travaux que les hommes.Les SS. vendaient aussi certains détenus comme esclaves à des usines chimiques ou à des usines d'armement. Fabrication d'une voie ferrée par des prisonniers Travaux forcés au camp de Mauthausen 2. a. l'hôpital "le Revier" b.

Echelle des plans – cadrages – De quoi s’y retrouver Une des clés lorsque l’on étudie ou que l’on construit une image, c’est l’organisation des éléments proposée dans un cadre. Que ce soit le cadre du tableau, celui de la vignette de bandes dessinées ou celui de l’écran cinématographique les personnages, les objets ou le décor prennent des proportions significatives. L’exposé suivant vous propose une explication de ce que l’on appelle échelle des plans en images, ses différents niveaux et leur signification, une planche synthétique et une carte à remplir pour les élèves. . Les images sont organisées en plans. Le plan est la portion d’image représenté dans chaque case. L’échelle des plans correspond à la taille des personnages, objets ou éléments de décor présents dans l’image et leur rapport entre eux. Ainsi, selon la place qu’occupe le sujet ou le décor, sachant qu’un peu s’absenter au profit de l’autre, on pourra faire dire à l’image des choses différentes. Il permet de situer où se déroule l’action. Braveheart – Mel Gibson Très gros plan

Les séquelles de la guerre en douze séquences. ("Les désastres de la guerre" au Louvre-Lens) . Glasgow, envoyée spéciale Lever la tête. Cette injonction, nonobstant la pluie qui vous pleure continuellement dans l'oeil, c'est la ville qui vous l'impose. Glasgow vise toujours un peu trop haut. Ou on y est toujours un peu trop bas, au choix. Glasgow est née métropole, croissant à grande vitesse autour de la rivière Clyde. Ce n'est point son démon qu'on peut venir réveiller aujourd'hui en la visitant, mais bien plutôt un Don Quichotte, Charles Rennie Mackintosh (1868-1928). De telle façon que Mackintosh est aujourd'hui retourné à Glasgow sous forme de quantité d'objets, du bijou au «Mugintosh» (de «mug», chope), canonisé par des expositions, dont la plus grande qui s'est tenue à Glasgow cet été, est aujourd'hui dans trois musées des Etats-Unis. Mackintosh n'a construit qu'à Glasgow ou dans ses environs. Là haut, Mackintosh a joué clair: murs blancs, mobilier crème, lumineuses baies vitrées encaissées dans un espace surbaissé. Sans aucun élitisme, cependant.

Grammaire du cinéma |  Vallotton, l'Art et la Guerre Beaucoup d'artistes sont mobilisés, certains blessés, mutilés, hantés par la vision de cette folie meurtrière. D’autres ne reviendront pas du front, tombés au champ de bataille. Du côté français comme allemand, mais aussi des autres nationalités engagées dans le conflit. Comment représenter l’impensable ? Vallotton n’échappe pas à ces questions. A la déclaration de la guerre, le peintre voit son engagement volontaire refusé, pour raison d’âge. En juin 1917, Vallotton est enfin confronté à la réalité du conflit après avoir pu se rendre deux semaines sur le front en mission artistique aux armées.

Analyse de film La théorie du cinéma ou l'analyse de film (ou analyse filmique) ou (vieilli) la filmologie est un ensemble très varié de méthodes de recherche sur la signification, l'esthétique, la structure, la technique voire l'intérêt sociologique ou historique d'un objet filmique. La méthode d'analyse varie suivant le film. L'exercice proprement dit figure au programme de nombreux examens (BTS audiovisuel, licence de cinéma) ou concours d'écoles de cinéma publiques (Fémis, ENSLL, ESAV, INSAS) ou privées, françaises ou étrangères. L'analyse de film constitue le principal enseignement théorique du cinéma à l'Université, parallèlement à l'histoire du cinéma. Historique[modifier | modifier le code] De la justification en tant qu'art (1908) aux avant-gardes impressionnistes des années 1920[modifier | modifier le code] Après 1945, la filmologie[modifier | modifier le code] Au sortir de la seconde guerre mondiale, la thèse de Gilbert Cohen-Séat est classée secret défense. Christian Metz Portail du cinéma

CRID 14-18 le silence des peintres DAGEN Philippe, Le silence des peintres : les artistes face à la Grande Guerre, Paris, Fayard, 1996, 338 p L’entreprise menée par P. Dagen dans ce livre est pour le moins audacieuse puisqu’il entend travailler sur un vide, un silence, celui des peintres face à la Grande Guerre : « C’est moins de toiles et de dessins qu’il convient de traiter, que de leur absence. Reste à savoir quelles sources mobiliser pour travailler sur un vide. Lorsque éclate la guerre, quatre avant-gardes animaient l’univers européen de la peinture : le cubisme français, l’expressionnisme allemand, le futurisme italien et le vorticisme britannique. Le silence des peintres face à la guerre apparaît d’autant plus que d’autres supports sont largement donnés à voir dans la presse. Désireux de comprendre le système par lequel se perçoit et se contemple la société, P. En effet, les artistes, à quelque distance qu’ils soient du front, se dérobent devant la représentation de la guerre, préférant le symbolisme au réalisme.

Caméra objective et subjective La caméra subjective est au cinéma et en audiovisuel un type de prise de vues où l'on propose au public d’adopter (généralement le temps d’un ou de quelques plans) le regard d'un des personnages de l’action, obtenant ainsi des plans subjectifs. On parle aussi de caméra subjective à propos de plans qui traduisent l'état physique ou mental d'un personnage d'une scène et ne représentent pas ce qu'il voit, mais le fruit de son imagination[1]. Invention du procédé[modifier | modifier le code] Dans le film fondateur de George Albert Smith, les plans où le jeune garçon observe à travers la loupe sont tous des plans subjectifs[2] ». Caméra objective et caméra subjective[modifier | modifier le code] Cette distinction est plus rarement faite en photographie et sur d'autres critères qu'au cinéma. Caméra objective[modifier | modifier le code] Caméra subjective[modifier | modifier le code] Utilisation dans les films[modifier | modifier le code] [modifier | modifier le code] [modifier | modifier le code]

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