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Resume Builder. Faire un CV avec son profil sur LinkedIn Resume Builder est un outil en ligne gratuit qui permet de créer très facilement un cv à partir de son profil sur le réseau social LinkedIn. On sait maintenant que pour de nombreux secteurs d’activité posséder un compte sur LinkedIn fait partie des ressorts indispensables à toute stratégie de recherche d’emploi. LinkedIn demande une configuration minutieuse de son profil personnel pour tirer pleinement profit des avantages du réseau social. Ce ne sera pas du temps perdu… Resume Builder est un outil proposé par les labs de LinkedIn qui va faire de votre profil sur le réseau social un magnifique CV prêt à servir. Pratique parce que vous n’avez rien à faire ou presque pour vous doter d’un cv prêt à être envoyé par mail ou à être imprimé. Vous pouvez par ailleurs choisir quelles sont les rubriques de votre profil Linkedin que vous souhaitez voir apparaitre dans votre CV. Le résultat final est vraiment à la hauteur et vous obtiendrez un CV professionnel prêt à être utilisé.

Citoyen de demain : le projet Citoyen de demain : le projet Un centre de ressources en ligne vivant, interactif et pédagogique, adapté au dialogue entre enfants et adultes, pour les acteurs de l’éducation. Il entend contribuer à ouvrir les questions d’éducation citoyenne au grand public. Le site Citoyendedemain.net s’adresse aux médiateurs éducatifs (enseignants, éducateurs et parents) et aux enfants. C’est un lieu d’échange sur les notions de solidarité, de responsabilité, d’ouverture au monde ou encore, de respect de la diversité. Pour ce faire, il fédère et valorise les initiatives des nombreux acteurs éducatifs engagés au quotidien et leur donne la parole. Il propose également des ressources pour aborder les grands thèmes de la citoyenneté avec les jeunes : fiches thématiques et pédagogiques, vidéos, dessins animés. Le partenariat Citoyen de demain a été conçu en 2008 autour d’un partenariat entre l’ONG Aide et Action, la société Tralalere et l’association Deci‐dela. Pour en savoir plus... Avec le soutien de

Sharable Content Object Reference Model Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Sharable Content Object Reference Model (SCORM) est une spécification de codage permettant de créer des objets pédagogiques structurés. Visant à répondre à des exigences d'accessibilité, d'adaptabilité, de durabilité, d'interopérabilité et de ré-utilisabilité, les normes du modèle informatique SCORM cherchent à faciliter les échanges entre plates-formes de formation en ligne en maîtrisant l'agrégation de contenu, l'environnement d'exécution et la navigation Internet. Exigences de SCORM[modifier | modifier le code] Voici les principales exigences auxquelles le modèle SCORM devrait permettre, à terme, de satisfaire : Signification de SCORM[modifier | modifier le code] Dans le principe originel, SCORM permet aux concepteurs pédagogiques de distribuer leurs contenus sur une large variété de plates-formes eLearning (LMS - Learning Management Systems) sans efforts de réécriture. Découpé en plusieurs parties[modifier | modifier le code]

Un guide complet sur l'autodéfense numérique Nos ordinateurs contiennent des milliers d'informations diverses. Une mine d'or que des personnes mal intentionnées voudraient dérober pour des raisons pécuniaires, entre autres. Et puis, il y a aussi toutes ces «conversations privées» en ligne ou ces courriels qui peuvent beaucoup plus facilement qu'on le croit être interceptés par des agences de renseignements gouvernementales. Nous pensons n'avoir rien à cacher. Mis en ligne en 2010, le guide a évolué et s'est encore mis à jour en décembre 2014. Une lecture qui a de quoi donner des sueurs froides tant nos systèmes informatiques semblent, contrairement à la croyance populaire, de véritables gruyères qui peuvent nous exposer comme jamais. Il y a toutefois des solutions pour se prémunir de laisser des traces. Pour les services en ligne, les auteurs apprennent aux lecteurs à crypter leurs messages et à ajouter un certificat électronique à son navigateur pour qu'il ne soit pas un espion malgré lui. Illustration : Di Studio, shutterstock

Gestion des ressources numériques au CDI Atelier animé par Brigitte Réa lors de la journée départementale des professeurs documentalistes du 30 mai à la MDE des Yvelines. L’objectif de cet atelier était de fournir aux collègues présents des ressources numériques pertinentes et gratuites à intégrer dans leur portail (Esidoc PMB ou autres). La nécessité de l’intégration de ressources numériques semble être une évidence et elle est à distinguer de l’intégration dans le catalogue, à l’instar de ce qui nous est proposé avec Esidoc. Alors évidemment nous ne reviendrons pas sur cette évidence qui est apparue avec les nouvelles pratiques de nos usagers, l’essor fulgurant des flux électroniques et des informations sur le web et l’évolution des outils à notre disposition (agrégateurs, portails,…). Trois difficultés se posent à nous : la prise en compte des usages ; le choix des ressources et la révision de notre politique d’acquisition (concernant certaines ressources payantes à l’exemple de Pressedu ou Europresse) ; Document PDF 16p.

Comprendre Tin Can API : ce que cela change pour le e-learning - Le blog d'e-teach | e-learning & serious games Qu’est-ce que Tin Can API ? Tin Can API (ou Experience API, ou encore xAPI, selon que l’on utilise le nom donné par ses auteurs ou par leur mandant) est une norme récemment finalisée qui s’inscrit dans un dispositif destiné à remplacer SCORM. Comme sa prédécesseure, Tin Can API sert à suivre des activités de formation et à les transmettre à une plateforme de gestion de formation. Pourquoi remplacer SCORM par Tin Can API ? Tin Can est né de la volonté d’ADL, déjà à l’origine de SCORM, de proposer une norme plus souple et adaptée à la multiplicité des “unités de formation” (comme SCORM 2.0 avait essayé de le faire auparavant). A l’inverse de SCORM qui nécessite une plateforme LMS centralisant l’ensemble des contenus de formations, Tin Can étend la notion d’apprentissage à n’importe quel contenu, où qu’il se trouve et quelque soit sa nature : une vidéo sur youtube, un entretien avec un collègue, la réalisation d’une tâche ou encore la lecture d’un article de blog comme celui-ci.

La « révolution numérique », une révolution des cultures de l’information Pour expliquer le nouveau, c’est parfois bien de revisiter le passé. C’est ainsi que Divina a choisi d’introduire son propos sur sa vision de la « révolution numérique ». D’après elle, le passé le plus proche par rapport à la révolution des savoirs, c’est l’époque de la Renaissance, « qui arrive environ deux siècles après la révolution de l’imprimerie », précise t-elle. Instinctivement, on ne pense pas à la Renaissance quand on pense « révolution numérique » ; pourtant, c’est bien cette époque qui a amené les différents supports du papier, comme les encyclopédies ou les romans par exemple, donc des « nouvelles formes d’expression ». Avec le numérique, tout contenu peut être multi supports Actuellement, le numérique a un côté « inhibant » et « panique » pour les personnes qui n’arrivent pas à l’utiliser, se cachent des autres, n’osent pas l’avouer et font semblant. L’accompagnement dans cette « révolution » est donc primordial pour éviter ce type de comportements.

Prospectives du groupe mutualisation LP La formation à la recherche documentaire et donc à la culture informationnelle professionnelle des élèves de LP/LDM s’inscrit dans une évolution accrue des nouvelles technologies, dans une relation forte avec le monde de l’entreprise et de ce fait est particulièrement propice à un terrain d’innovation. Dans cet ensemble, des pistes construites les années précédentes ont été tracées, puis expérimentées par le groupe mutualisation LP/LDM. Si ces élèves manipulent effectivement normes, notices de fabricants, prescriptions de mise en œuvre dans le domaine particulier du bâtiment, ils se trouvent confrontés de plus en plus -toutes spécialités confondues- à la prégnance du numérique, que ce soit pour la recherche et le traitement d’informations professionnelles, pour la qualification des ressources professionnelles numériques, ou pour la communication à travers les réseaux sociaux -professionnels-. Nos explorations et interrogations actuelles …pour cartographier l’information .. Compétences :

Pourquoi Tin Can aura du mal à s’imposer ? | Standards e-Learning : le blog ADL – l’organisme à l’origine de SCORM – prépare activement la nouvelle génération de son standard ayant pour nom de code « Tin Can ». Une orientation résolument innovante, qui rompt avec les approches passées. Mais cette révolution va-t-elle rencontrer son public ? Nouveautés Tin Can apporte des nouveautés dans 3 domaines : Nouveau mécanisme de communication entre le contenu et le LMS (basé sur les Web Services). Le premier point fait actuellement l’objet d’un consensus dans la communauté du e-Learning puisqu’il est porté à la fois par Tin Can et AICC. Il y a aussi consensus sur l’idée que les données de suivi doivent être élargies et Tin Can apporte là une solution qui lui est propre, avec une orientation Informal Learning prononcée. Ce parti pris, tout comme le 3ème point (LRS), sont à mon sens discutables et constituent la principale faiblesse de Tin Can (que d’autres considèreront peut-être comme un atout). Une nouvelle forme de suivi Tracer l’apprentissage informel Conclusion

Trouver des sources d'informations pertinentes sur internet La recherche de sources d'informations originales et fiables sur internet est un exercice de plus en plus complexe et chronophage : du fait de l'encombrement des moteurs de recherche, les pages web contenant les informations les plus pertinentes ne sont pas nécessairement les plus visibles. Une difficulté pour les professionnels qui cherchent des informations dignes de confiance pour appuyer un argumentaire, réaliser des présentations, organiser des séminaires et des formations, ou encore faire des choix stratégiques. Pourtant, il existe un ensemble d'outils donnant accès à toutes sortes de documents de référence, et régulièrement actualisés, dans des domaines techniques très variés. Alors, comment chercher et trouver des informations de première main sur internet ? Les bibliothèques en ligne : références techniques et bibliographiques de qualité Trois bibliothèques gratuites en ligne : Les sites de diffusion de présentations et de documents originaux en ligne On peut citer notamment :

N°5 : La classe inversée en 9 épisodes sur toute l’année scolaire 2013/2014. Les webdocs de l’ESPE de l’académie de Strasbourg présente Ces webdocumentaires présentent des pratiques pédagogiques utilisant le numérique : Apprendre autrement en classe inversée : le suivi d’une classe inversée à Erstein pendant l’année scolaire 2013-2014 Encore en cours de construction (accès réservé) : Apprendre avec le numérique : le quotidien d’une école primaire Apprendre avec des tutoriels : un exemple d’utilisation de tutoriel dans un cours d’arts appliqués Et prochainement : une expérimentation avec les tablettes au lycée Kastler de Guebwiller, les mondes virtuels au lycée Koeberlé de Sélestat Le site Web : Apprendre autrement en classe inversée : le suivi d’une classe inversée à Erstein pendant l’année scolaire 2013-2014 Les épisodes sont diffusés à un rythme de 1 par mois environ. L’épisode 5 : la classe potassée ! Présentation de l’expérimentation par Michèle Archambault, documentaliste au lycée Marguerite Yourcenar

La “Small“ Data : un nouveau concept à utiliser pour l’enseignement ? Episode 2 La data est une pièce maîtresse des cultures de l’information ; celle-ci devient « big » lorsqu’il y a des gisements énormes de données, des accumulations du fait de nombreuses numérisations, beaucoup d’archives etc. C’est ainsi que Divina introduit son propos sur la notion de Big data. La data peut aussi être « open data » c’est à dire qu’elle est accessible à tous, référencée dans un code ouvert. « La Big data est depuis longtemps perçue comme une force de frappe commerciale puisqu’il s’agit d’utiliser des données de la vie privée de chacun de façon massive, de manière à interpréter les comportements des usagers et à y adapter un certain nombre de techniques commerciales de recommandations ». Avec l’idée de la Small data, ce qui est intéressant, d’après Divina, « c’est de faire de la recommandation à petite échelle par rapport à un problème que se pose un individu, typiquement dans une classe ». Divina associe la Small Data au phénomène MOOC. lu : 3173 fois

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